François Baroin, Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l’état vient de publier un premier bilan 2010 sur l’Impôt de solidarité sur la fortune : le nombre de déclarations imposables à l’impôt de solidarité sur la fortune s’établit au début du mois de juillet à près de 562 000, contre 539 000 à la même date en 2009, et le montant de l’impôt total déclaré s’élève à 3 290 millions d’euros contre 3 130 millions d’euros l’an passé à la même époque.
Petite année pour l’ISF pourrait-on penser… c’est sans doute la crise. Eh bien pas du tout, c’est plutôt la poursuite d’une tendance lourde qui se manifeste depuis 2007 : le nombre de ménages assujettis à l’ISF augmente, alors que les recettes fiscales diminuent dans le même temps.
Rappelons que l’SF est un impôt sur la fortune français payé par les personnes physiques et les couples détenant un patrimoine net supérieur à 790 000 euros (seuil au 1er janvier 2010). C’est un impôt progressif assis sur la partie supérieure du patrimoine (dépassant donc les 790 000
Le nombre de contribuables assujettis à l
Disons qu’il y en a encore qui savent se débrouiller dans les circonstances actuelles.
Par contre, le fait que cet impôt rapporte d’autant moins qu’il touche plus de personnes est sûrement dû au fait que les plus riches se sont expatriés, préférant investir et embaucher ailleurs – la conséquence logique et inéluctable de la haine sociale qui motive le vote à gauche, lequel ruine la France.
une mise au point pour certains esprits etriques.que cela soit la droite ou la gauche au pouvoir.les riches ont toujours ete tre bien servis.
Certes.
Toutefois, dans un gouvernement réellement de droite, c’est à dire ne se permettant pas de voler les cons-tribuables, les riches doivent se rendre utiles pour s’enrichir encore plus.
L’état, ce cancer bureaucratique qui ruine les pays occidentaux, permet, sous prétexte de redistribution, aux enfants de riches de faire de longues études inutiles payées par les travailleurs, aux propriétaires de terrain de le voir se renchérir fortement lorsqu’il passe constructible, aux patrons d’embaucher à bas prix des immigrés (attirés par le mirage de l’état-providence) tout en laissant la casse sociale et les frais de délinquance qu’ils engendrent aux frais des travailleurs…
Les contrôles fiscaux ont rapporté moins : 14,7 milliards d’euros cette année, 500 millions de moins qu’en 2008 et 1,7 milliard de moins qu’en 2007. S’il faut y rajouter 700 millions d’euros provenant des évadés fiscaux qui se sont dénoncés, ceux-ci ne compensent pas la baisse.
Ces contrôles fiscaux ont représenté un peu moins de 4 000 « examens de situation personnelle ». C’est bien peu. Avec l’affaire Bettencourt, on s’était rendu compte que les riches n’étaient pas contrôlés souvent… Quant à les faire payer, c’est encore autre chose. Par ailleurs, la presse a souligné qu’il y avait 7,6 % d’assujettis à l’ISF de plus cette année par rapport à l’an passé. Mais les sommes versées au fisc n’ont pas augmenté en proportion. Et il y a mille et un moyens légaux de ne pas payer, en investissant dans la « recherche », les PME, les DOM-TOM… ou les micro-partis politiques créés pour permettre de tourner la loi.
Les contrôles fiscaux ont rapporté moins : 14,7 milliards d’euros cette année, 500 millions de moins qu’en 2008 et 1,7 milliard de moins qu’en 2007. S’il faut y rajouter 700 millions d’euros provenant des évadés fiscaux qui se sont dénoncés, ceux-ci ne compensent pas la baisse.
Ces contrôles fiscaux ont représenté un peu moins de 4 000 « examens de situation personnelle ». C’est bien peu. Avec l’affaire Bettencourt, on s’était rendu compte que les riches n’étaient pas contrôlés souvent… Quant à les faire payer, c’est encore autre chose. Par ailleurs, la presse a souligné qu’il y avait 7,6 % d’assujettis à l’ISF de plus cette année par rapport à l’an passé. Mais les sommes versées au fisc n’ont pas augmenté en proportion. Et il y a mille et un moyens légaux de ne pas payer, en investissant dans la « recherche », les PME, les DOM-TOM… ou les micro-partis politiques créés pour permettre de tourner la loi.
Tant qu’on cherchera à voler les gens ayant de l’argent de côté, on appauvrira la France, car tous ceux qui le peuvent fuiront ; on ne sortira de la mouise qu’en étant un pays où il vaut le coup d’investir honnêtement.
Si vous n’étiez pas motivés que par la haine, vous qui ne savez raisonner qu’en subventions, devriez être pour subventionner les investisseurs.