La peste ou le choléra ? Cruel dilemme. Coincé entre l’explosion de l’endettement public et la menace d’un plongeon durable de l’économie, le gouvernement français a fait son choix. Celui de laisser filer la dette déjà colossale de notre pays. Présenté aujourd’hui, le budget 2010 a beau en effet être désigné comme un budget « de sortie de crise » (sic), il n’en prolonge pas moins l’effort de relance engagé cette année. Une manière d’avouer qu’on ne croit pas vraiment à la reprise. Ou, si l’on préfère, que la seule chance de reprise pour l’économie française, c’est sa mise sous perfusion. Prix de cette perfusion : un déficit record de 8,5% du PIB.
De 141 milliards d’euros cette année, le déficit de l’Etat serait ramené à 115 milliards, mais ce sont les comptes sociaux, alourdis par la montée du chômage, qui plomberont l’ensemble. Avec la coûteuse réforme de la taxe professionnelle, ils porteront donc le déficit des administrations publiques à 8,5% du PIB, soit davantage qu’en 2009 (8,2%) et surtout très loin des 3% autorisés par le traité de Maastricht. Quant à la dette, elle explosera à 84% du PIB (sans compter le grand emprunt !), contre 77,1% prévus pour cette année.
« L’intégralité de la dégradation du déficit de près de 5 points du PIB est due à la crise », ont expliqué Christine Lagarde, ministre de l’Economie, et Eric Woerth, ministre du Budget. Ils disent « assumer » le niveau historique du déficit annoncé, arguant qu’un redressement trop rapide des finances publiques risquerait d’étouffer le début de reprise constaté.
Le budget 2010 ne se contente pas en effet de ne pas compenser (par une hausse des impôts) les pertes de recettes fiscales causées par la crise. Il engage de nouvelles dépenses destinées à sortir plus rapidement l’économie française de la crise. Mais au sein même de la majorité, certains ne font pas la même analyse : « Hors effet du plan de relance, le déficit reste stable à plus de 100 milliards d’euros, un niveau jamais atteint hors période de guerre », remarquent dans un communiqué Charles de Courson, Nicolas Perruchot et Philippe Vigier, députés Nouveau Centre et membres de la commission des Finances. Ils estiment que le déficit structurel de l’Etat est « aujourd’hui sous-évalué par le gouvernement à 45 milliards d’euros » et que l’absence de perspectives de réduction de ce même déficit est très préoccupante.
Il y a de quoi s’inquiéter : Eric Woerth table sur une réduction progressive du déficit à partir de 2011, à condition que la croissance reparte franchement pour atteindre 2,5% chaque année… On peut rêver ! Pire encore, la dette de la France, nourrie par tous ces déficits, fait boule de neige. Elle devrait atteindre 88% du PIB en 2011, 90% en 2012 et 91% en 2013. Ce qui pourrait entraîner une dégradation de la note attribuée à la France et une augmentation des intérêts versés aux créanciers.
Une fois de plus, on prétend guérir une crise de l’endettement par plus de dette encore, une crise du crédit par plus de crédit encore. C’est méconnaître que l’économie obéit à des cycles : expansion-récession, endettement-épargne. A vouloir faire l’impasse sur l’indispensable purge des excès du passé, on ne fait que reculer l’échéance. Plus dure sera la chute.
Sources : AFP, Le Figaro
A lire aussi : Le déficit public pourrait être révisé à la hausse selon Woerth
Excellent commentaire. Merci Olivier. On crache sur les papy boomers, mais on est en train d’acter la même démagogie…
Etant donné que dans les autres pays industrialisés, la dette publique atteint les mêmes pourcentages, voire davantage, la question 1 est :
« LES ETATS OCCIDENTAUX POURRONT-ILS UN JOUR REMBOURSER LEUR DETTE PUBLIQUE ? »
Réponse : non.
Les Etats occidentaux ne pourront jamais rembourser leur dette publique. Leur dette publique va même continuer à augmenter (dépenses de santé qui explosent, vieillissement de la population, énergie qui va devenir de plus en plus chère, etc.)
Question 2 : quelle solution les Etats occidentaux vont-ils choisir pour ne pas mourir asphyxiés par leur dette publique ?
1- Première possibilité : la guerre (envahir les pays musulmans pour leur voler leur pétrole, etc.)
2- Deuxième possibilité : l
Il faudrait quand même que les Français fasse preuve de consistance, d’un coté chacun veut garder les fonctionnaires, les indemnités chômages, la sécurité sociale, sans baisse des prestations et sans hausse des prélèvements … bref l’état providence au secours du quidam et maintenant on s’étonne du déficit !!!
Un peu de sérieux au moins sur ce blog ,
On le sait tous , on n’a plus les moyens de financer le train de vie du pays FRANCE il faut donc accepter de réduire les prestations versées, allèger les charges de l’état, réduire le nombre de fonctionnaireq … politiquement incorrect mais INDISPENSABLE si on pense un peu à l’avenir , c’est là que nous allons voir le VRAI courage de nos politiques … je crains d’être très déçu !!!
@BA : Tout à fait d’accord, la question cruciale est celle du remboursement de la dette. Cela étant, je crois que le choix est entre l’inflation et la guerre (Alain Minc lui-même l’a rappelé récemment), avec bien sûr un net avantage à l’inflation dans nos sociétés démocratiques…. mais que la « répudiation », comme vous dites, est pour le moins difficile.
D’ailleurs l’article auquel vous renvoyez le dit clairement à propos de l’Islande : « la dette n
La crise actuelle N’est PAS une crise comme les crises précédentes.
La crise actuelle est la fin d’une civilisation : la civilisation de l’énergie abondante et de l’énergie pas chère.
La crise actuelle apparaît au moment où tous les Etats occidentaux sont en train d’être asphyxiés par leur gigantesque dette publique.
Cette dette publique ne pourra JAMAIS être remboursée en raison de plusieurs nouveautés historiques (dépenses de santé qui explosent, vieillissement de la population, énergie qui va devenir de plus en plus chère, nécessité d
En tout cas il est clair que le deficit(la dette) se retrouve directement dans le PIB. Est que tout l’augmentation du PIB depuis mainenant 30 ans n’est du qu’a l’augmentation de la dette. Le problème qui reste toujours le même est de savoir de quoi est faites cette dette et de savoir quelle fraction de cette dette permet au PIB de Croitre alors que le pouvoir d’achat décroit.
En fait ont pourrait trés bien modelisé le problème de la façon suivante.
Pourcentage de dette = augmentation PIB = pauperisation de l’état = enrichissement du secteur privé = diminution du pouvoir d’achat(inflation)
Je tremine par pouvoir d’achat, car dans un système capitaliste il est préferable d’avoir beaucoup de consommateur peut riche mais solvable plutot qu’une minorité de trés riche ne dépenssant rien. Hors c’est la minorité de trés riche qui malheureusement profite de la dette.
Si quelqu’un a les détails de la repartition de la dette. Cela serait trés interessant de bien l’étudier et de mettre le lien.
Dans l’ordre,
l’inflation qui conduit à la guerre puis de nouvelle 30 glorieuses
Oui, le Gaulois, tu as peut-être raison.
Nous avons le mobile de la guerre : voler des réserves de combustibles fossiles.
Nous avons le prétexte : l’Iran est en train de construire la bombe atomique.
Envahir l’Iran est donc une hypothèse très intéressante pour les années qui viennent. L’entreprise Total et les entreprises pétrolières anglo-saxonnes doivent trépigner d’impatience.
A mon avis c’est une stratégie qui risque de couter trés cher a l’espéce humaine. D’ailleurs j’ais du mal a voir quoi que se soit d’humain dans un telle scénario. Les état gagneraient beaucoup plus a nationnaliser les banques plutot que d’allé faire la guerre. M’enfin nationnaliser les banques c’est une autre façon de voir la guerre.
Vous vous prenez pour qui à vouloir partir en guerre? Avec quelle argent?
Fort des victoires en Irak ou en Afganistant peut-être?
Ce sont les créditeurs de la dette occidentale qui déclareront la guerre pour cause de traite non payé. Vous pensez pas qu’il vont venir frapper avec un huissier et un serrurier.
Pour les 60 ans du communisme la Chine fait défiler des missiles qui peuvent atteindre l’Amérique. L’amérique du sud est en train d’acheter des rafales pour protéger ses matieres premières.
Il faudra être assis sur la lune pour compter les points lors la prochaine guerre, bientôt.
L’Iran a toute les cartes en mains pour faire monter le pétrole. Je crois que ce n’est pas du bluf, vu la décorreletion entre la baisse du dollard et la hausse du pétrole il faut sans doute prendre au sérieux le nucléaire iranien.
Tout ce qu’on peut nous prendre c’est de la terre agricole. On est à l’abris tant que M.Sarkosy ne fait pas trop de dette à l’extérieur, mais ce n’est pas le chemin qu’il prend…
Je voulais dire la baisse de l’euro/dollar c’est dire le raffermissement du dollar
@CSS
Le danger est bien que la crise fasse oublier que c’est les papyboomers qui ont lancés la boule de neige de l’endettement, sinon la crise n’aurait pas couté cher. Je compte bien sur les papyboomers pour faire la preuve par Alsheimer qu’ils y sont pour rien. Nous avons un président mitterandiste qui utilise les mêmes méthodes. Ce coup ci ce n’est pas le fait d’une génération mais d’un usurpateur dans une circonstance il faut le reconnaitre extreme.
> envahir les pays musulmans pour leur voler leur pétrole
1°) le pétrole n’appartient pas aux pays musulmans, ni aux musulmans qui y sont ; il se trouve dans le sous-sol d’endroits sur les quels il y a une majorité de musulmans, mais ces deux faits ne sont nullement causalement corrélés.
2°) il ne s’agit pas de voler le pétrole, ces gens étant avides de jouir et peu capables de produire, il ne demandent qu’à le vendre ; d’ailleurs l’Irak exportait beaucoup plus du temps de Saddam, à l’heure actuelle ils en font des réserves, utilisant ces crétins d’écolos pour répandre le bruit que le pétrole s’épuise et donc qu’il est logique que le prix en soit élevé ; rappelons que c’est le racket étatique qui coûtze cher, non le pétrole.
3°) Si la guerre est déclarée avec l’Iran, elle le sera à cause d’Israël et pour nulle autre raison.
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> énergie qui va devenir de plus en plus chère
Faux ; il reste énormément de pétrole, encore plus de gaz naturel, du charbon (qu’on peut liquéfier grâce au procédé allemand perfectionné par Sasol) pour 1000 ans, de l’uranium pour encore plus et quasiment une infinité d’hydrogène pour la fusion ; fusion qui, elle-même, ne récupère qu’un millième de l’énergie comprise dans toute matière.
D’autre part, les cellules photovoltaïques progressent.
L’énergie, c’est ce qui nous manquera le moins, pour peu qu’on ne se laisse pas gouverner par une bureaucratie abrutie par la culpabilisation écolo.
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Le problème est bien la dette, et il est facile de s’en sortir :
1°) supprimer le statut de fonctionnaire
2°) porter la retraite à 65 ans pour les hommes, 70 pour les femmes
3°) réserver l’emploi et la protection sociale en France aux Français, faisant ainsi partir 5 millions de ventres surnuméraires
4°) rembourser la partie de la dette publique contractée auprès d’étrangers
5°) baisser drastiquement les impôts et l’interventionnisme de l’état.
Alors la créativité fera redémarrer l’économie.
@ Dadounet,
Le pétrole arabe appartient aux pays arabes comme le pétrole canadien appartient aux Canadiens. Ce qui est naturel.
Je trouve l’OPEP assez honnête dans ses déclarations. Il ont dénoncés la spéculation et la manipulation sur le marché quand le baril flirtait les 140$, ce qui a été avéré. L’OPEP garde constante valeur d’un baril de brut. C’est la valeur du dollar qui fluctue. Quand le $ baisse, les Arabes en demandent plus pour ne pas être floué. Quand le $ et en hausse ils demandent moins de $ pour un baril (impression de baisse du prix)
Je trouve que l’OPEP fait un commerce intelligent et honnête.
Je n’ai pas le même sentiment des producteurs de dollars!
L’argent de la dette qui n’a pas été flambée est sur le compte en banque des soixanthuitards qu’il suffit de mettre en perce comme une bonne barrique, pour payer au moins les interets de la dette qu’ils ont contractés.
1) Suppression des niches fiscales.
Il existe environ 4865 niches fiscales différentes qui représenteraient un manque à gagner pour l’
@ el gringo
En taxant à mort les énergies importées il va être très difficile d’exporter en étant compétitif comme souhaité dans votre chapitre 6.
On pourrait demander à M. le président d’utiliser un téléphone quand il a quelque chose à dire plutôt qu’un avion.
Je suis pour les paradis fiscaux à l’intérieur de l’Europe pour la raison suivante; au moins c’est une réserve d’argent qui échappe aux délires des gouvernements organisateurs de chaos économiques et monétaires.
Sinon vous avez oubliez le suicide collectif.
1°) le pétrole n’appartient pas aux pays musulmans, ni aux musulmans qui y sont ; il se trouve dans le sous-sol d’endroits sur les quels il y a une majorité de musulmans, mais ces deux faits ne sont nullement causalement corrélés.
Voici une déclaration qui à tout pour lancer une polémique. il me semble que c’est BILL CLINTON qui parle ainsi alors que l’on s’attendrait à uneparole de faucon.
Quelqu’un peut_il confirmer pour BILL CLINTON???
par ailleurs à partir d’une telle déclaration
je me demande ce que signifie « la propriété privée » et la valeurd’une signature.
si vous avait envie d’exprimer vos idées…
je me demande ce que signifie « la propriété privée »
A priori rien chez les communistes mon cher Bill. C’est ce qui les caractérise.
Si c’est une phrase du gars Bill il y peut être une mauvaise traduction sur la première partie de la phrase. La dernière partie est juste. Les musulmans était là bien avant que le pétrole n’intéresse qui que ce soit. Je vois pas pourquoi utiliser le terme musulman d’ailleurs. A moins que la phrase soit sortie de son contexte.
« fusion qui, elle-même, ne récupère qu’un millième de l’énergie comprise dans toute matière »
Quelqu’un maitrise la fusion et en extrait de l’énergie ?
Il faut arrêter de fumée la moquette !
On peut toujours augmenter les taxes, ça ne fera que faire fuir les taxés, qui iront employer des gens ailleurs !
C’est typiquement le mensonge qui nous fait tant de mal, issu d’une incompréhension de l’économie, laquelle est basée sur des êtres qui réagissent et non sur de la matière qui subit.
Il faut une coopération entre les riches et les pauvres, ce qui fera marcher la machine, et non de la haine qui la bloque ; c’est pourquoi le communisme ne peut être qu’un échec – de même que le féminisme, basé sur la bêtise hargneuse au lieu de la coopération entre le père et la mère, si nécessaire pour élever les enfants.
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Diminuer le nombre de flics serait excellent, surtout si on vire enfin la racaille étrangère, mais ils servent de percepteurs auxiliaires, on va donc continuer à nous en tartiner le bord des routes.
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Détruire l’euro, les états européens suiveurs de la France s’en chargent ; la différence avec le dollar, c’est que l’Europe n’a pas d’ultima ratio regis qui pourrait faire accepter une monnaie torche-cul de force.
Seule une monnaie basée sur l’or, non tripatouillable par les hommes de l’état et les banquiers à la Goldman-Sachs permettrait d’assainir les finances.
http://www.la-chronique-agora.com/articles/20091002-2163.html
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Tout l’argent public n’est pas détruit dans une politique nuisible et une bureaucratie parasitaire, on construit aussi Iter pour avoir une énergie nucléaire propre.
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La propriété privée concerne les biens qu’on crée ou qu’on achète, pas ceux qui ont été placés par la nature sous nos pieds ; ceci dit, je préfère aussi l’Opep à la Fed US ! C’est toute la différence entre l’usage et l’abus ; on avait empêché un riche Japonais de se faire enterrer avec son tableau de van Gogh.
Il me semble que le pétrole appartient plus à ceux qui ont inventé son usage qu’à ceux sous les pieds desquels il se trouve par hasard ; il n’y a de ressource naturelle que l’esprit humain.
@ dadounet
« Il faut une coopération entre les riches et les pauvres, ce qui fera marcher la machine, et non de la haine qui la bloque ; c’est pourquoi le communisme ne peut être qu’un échec » –
Tès bien Monsieur, très bien, seulement il y a un defaut conceptuel dans votre propos.
comment expliquer aux pauvres qu’ils doivent le rester et ne pas se révolter. et comment leur expliquer qu’ils doivent travailler sans se plaindre et collaborer avec les riches afin que le système perdure identique à lui même( c’est à dire que le transfert d’individu de la classe des pauvres vers la classe des riches reste trs marginal et rare)
Il faudrait un système ressemblant aux castes de l’inde ou les individus ne peuvent échapper à leur caste de pauvres ou d’intouchables.
Encore quand le système fonctionne correctement et est bien géré, les pauvres arrivent à vivre à élever leur familles, les pauvres ont l’espoir d’une vie meilleure au moins pour leurs enfants, dans ce cas là, on peut supposer que les pauvres ayant atteind ou dépassé le minimum vital, et ne pensent plus à révolter chaque jour, collabore alors avec les riches.
Mais dans les cas ou les pauvres se retrouvent sans travails, sans moyens de subsistance, sans securité médicale sanitaire etc..et il semble que ces situations se répete sans cesses et sont nomées CRISES ECONOMIQUES je ne vois pas ce que les pauvre feront d’autres que des jaqueries.
Voici pourquoi il me semble que le système sue vous défendez ne peut pas marcher
@Dadounet
« On peut toujours augmenter les taxes, ça ne fera que faire fuir les taxés, qui iront employer des gens ailleurs !
C’est typiquement le mensonge qui nous fait tant de mal »
La fracture concernant les taxes n’est pas tant entre les riches et les pauvres mais entre ceux qui qui entreprennent quelque chose, (quelque soit le niveau et les moyens de départ) et les glandouilles. Les taxes fossilisent un pays et favorisent une pandémie de glandeurs et d’assistés.
« Il me semble que le pétrole appartient plus à ceux qui ont inventé son usage qu’à ceux sous les pieds desquels il se trouve par hasard ; il n’y a de ressource naturelle que l’esprit humain. »
S’il faut appliquer cette théorie au pétrole, il faut l’appliquer universellement. Cela veut dire aussi que vous trouverez toujours quelqu’un de plus intelligent que vous pour prendre vos biens personnels, avec la bonne raison que vous êtes trop « con » pour les posséder.
Je rappel quand même puisque vous vous lancez dans une hiérarchie des peuples en fonction de leur ressources intellectuelles, que toute approche mathématique dans le monde, du prix du baril à la physique quantique, se fait avec des chiffres arabes.
« de même que le féminisme, basé sur la bêtise hargneuse au lieu de la coopération entre le père et la mère, si nécessaire pour élever les enfants. »
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VU dans la presse ce jour:
http://fr.news.yahoo.com/55/20091004/tod-faire-le-mnage-tous-les-jours-prvien-17baed7.html:
Monde – Une étude menée sur 110 000 femmes ménopausées démontrerait qu’effectuer des tâches ménagères de façon quotidienne réduirait les chances de contracter un cancer du sein. Lire la suite l’article
…
Non mais sans blague!!!
allez les femmes du blog finance et d’ailleurs…Aux plumeaus Aux balais…
Certainement des études financées par Dad..
Belge, je regarde souvent « Question pour un champion » et je suis étonné de voir le nombre de pensionné paraissant très bien conservé.
Je me dis, soit en France, ils ont un élixir de jouvence, soit ils sont pensionné en pleine fleur de l’âge. Souvent, ces champions de retraités ont exercé leurs talents dans l’administration.
Français et Belge, nous sommes dans un bateau, nommé Titanic et l’iceberg n’est plus très loin.
Nos 2 pays sont grangrénés par une administration qui les ruines. En Belgique, nous avons en plus des politiciens qui confondent taxes et tiroirs caisse,
La seul solution que trouve nos supers-sinitres est l’augmentation des taxes.
Trop is te veel.
@Roseline Bachelot,
Mais enfin Roseline, chatouiller les araignées au zénith du plafond, raffermi évidemment le soutien de la poitrine. Cela dit il faut commencer bien avant la ménopause, comme tout traitement, le plutôt c’est le mieux!
Au plaisir de vous lire sur ce blog, c’est un vrai délice de vous répondre…
PS;c’est bien de citer les sources du plagia
Les Suissesses apprenaient à gérer un budget et à tenir une maison, c’est pourquoi la Suisse
@Dadounet
Elle vient d’ou la phrase sur les suisses parce que celle là elle bonne. Je sens qu’elle va mettre de l’ambiance dans les consensus bien pensant, mais j’aime bien citer mes sources.
> Elle vient d’où la phrase sur les suisses
Ben, de moi !
Désolé, ça fait pauvre pour une citation, mais c’est vrai, ma cousine (comme toutes les autres depuis je ne sais quand) a suivi une formation scolaire purement féminine à la tenue d’un ménage ; mon grand-père (avec les autres garçons) devait entretenir le feu de bois dans la classe à la petite école et les filles la nettoyer, ainsi que les toilettes ; je pense que les gamins étaient plus responsables à l’époque, ce qui ne les empêchait pas de s’amuser, alors que maintenant ils vont bientôt nous interdire de rouler devant les écoles tellement ces crétins en sortent en courant sans regarder autour d’eux.
Excellent papier dans les Echos de Jean Peyrelevade (on ne le présente plus) sur « l’effet boule de neige » de la dette publique française, « qui va désormais jouer à plein ».
Il montre bien que malgré tous les efforts pour réduire à l’avenir les dépenses publiques, la charge croissante de la dette (les intérêts) réduira à néant l’effet positif de cette politique volontariste (la réduction du solde primaire). D’où, à politique constante, un déficit public qui ne descendra jamais sous les 8% du PIB, son niveau actuel.
Conséquence inévitable de la répétition de ces déficits gigantesques année après année : la dette, en pourcentage comme en valeur absolue, grossira comme une boule de neige.
La France n’échappera donc pas à une politique de rigueur.
http://www.lesechos.fr/info/analyses/020165551036-demain-la-rigueur.htm
augmenter les frais hôteliers d’ospitalisation,baisser le taux de remboursement d’une centaine ? de médicaments,résultera quand même à un déficit supplémentaire de 4 milliards d’Euros
ç’est le résultat de quoi,
qui,cotise
qui , sera moins rembousé
qui,sera remboursé à 100%
qui, s’en fout de tout çelà
[…] qui s’est produit. Profitant de l’absence de gouvernement économique européen, le laxisme et la gabégie budgétaires ont survécu, éclatant au grand jour en même temps que la crise. Il eût fallu attendre, avant de […]