Le crédit hypothécaire rechargeable, a été euthanasié, discrètement, avec les prêts à taux variables.
Il pouvait apporter « 20 milliards d’euros supplémentaires de pouvoir d’achat ».
Enfin la première année seulement.
Après, cela en retire.
Et oui, c’est un fusil à un coup, à moins bien sûr d’augmenter indéfiniment l’endettement…
« Si le recours à l’hypothèque était plus facile, les banques se focaliseraient moins sur la capacité personnelle de remboursement de l’emprunteur et plus sur la valeur du bien hypothéqué « .
Pauvre Nicolas.
Il a bien des problèmes avec la réalité.
Même le sarkozyste Frédéric Lefebvre se laisse aller à une quasi-critique : il ne parle guère de la mesure phare de Nicolas, appelée à disparaitre d’elle même.
Les banques sont hors services, l’immobilier entame sa baisse ici, et baisse fortement ailleurs.
Quand au prêt à taux variable, il a bénéficié d’une euthanasie très en douceur.
En effet, d’après certains, son taux dépasse les taux fixes.
Raison sans doute pour laquelle on s’autorise à durcir la législation, on ne voulait pas trop peiner les banques, dans ce contexte, elles ne prendront pas mal les choses.
Encore des choses qui font « pschitt »… Heureusement que la plupart des lois tombent en désuétude en France sitôt publiées. On vivrait en enfer sinon.