… Garder le troupeau de mouton.
Ben Bernanke appel les banques à une « réponse vigoureuse« , digne de Necker, qui au début de la révolution demandait à ses concitoyens de renoncer volontairement à 20 % de leurs revenus, pour équilibrer les finances.
Pour lui, avec sa fortune, c’eût été léger…
« Réduire les procédures de saisies qui peuvent être évitées permettrait de promouvoir la stabilité pour les ménages, les quartiers, et l’ensemble du pays. Même si les prêteurs ont intensifié leurs efforts, on peut, et il faut en faire plus « .
Traduction : la crise subprime est en train de détruire le pays. Il faut donc, pour lui aller plus loin.
Il faut que les banques renoncent à une partie du capital prêté et non plus seulement réduisent les intérêts.
« L’ampleur et les incertitudes entourant les pertes prévisibles lors d’une saisie laissent penser qu’il y a une marge de manoeuvre considérable pour négocier un accord « . Et de rajouter :
« une réduction du principal pourrait être un moyen relativement plus efficace d’éviter des défauts de paiements et des saisies « .
Il ressort la banqueroute partielle, pour éviter la banqueroute générale.
En attendant, une banqueroute semble bien se profiler, c’est celle de Citigroup.