Un lotissement, comme toute zone habitée, bouge et évolue. Humainement mais aussi physiquement.
Les plantations ne sont pas rares, et l’on peut compter couramment plus de 100 plantations dans une parcelle.
Le temps passant, les petits arbres sont devenus grands, les bosquets se sont étoffés, les cyprès, thuyas sont devenus grands et vu de loin, les résultats peuvent être spectaculaires. En effet, souvent les maisons, les toits se remarquent à peine, tellement les arbres ont grandis, se sont épaissis, vu d’une route, il est souvent impossible de deviner ce qui est derrière. On devine plus qu’on ne voie qu’on est en zone habitée.
Aujourd’hui, on étudie l’influence de l’ habitat sur l’incendie. Et on arrive à des conclusions soient très simples, soient surprenantes :
– les incendies dans ces régions peuvent cumuler et multiplier les deux facteurs de risques. A savoir, combustible bois + Fossile des maisons (gaz, fioul) + matériaux,
– soit, là aussi, les soins apportés à la construction et des maisons correctement ignifugées permettent de passer en dessous d’un seuil de dangerosité important. En gros, la végétation a peu d’importance dans ce cas là.
Ces études ont été modélisées sur des incendies en Californie et dans l’espace méditerranéen qui apparemment ont les mêmes facteurs de risques.
La conclusion est clair. Pour éviter l’incendie, il faut donc bien construire…
Salut tempête Fernand ces séismes en Amérique de sud les inondations en Philippine en Russie volcan et canicule mortel en Japon incendie en Portugal en Californie météorite tempête solaire ces catastrophes naturelles des punitions d’ALLAH aux êtres humains de convertir a l’islam aujourd’hui pour éviter leurs exterminations par des catastrophes apocalyptique si la fin du monde pour éviter la peur le jour de ce cataclysme et l’enfer réchauffement climatique mensonge satanique merci
Mehdi, tu chantes, chante tant que tu veux, mais heureusement nous ne sommes plus au Moyen Âge. Il ne faut pas tout mélanger.