Et voila le bénéfice. Caricature russe.
alors, on y va :
Etats-unis : bond de 85 % des annonces de licenciements en août,
mais chanson contraire sur la tribune :
la crise financière a peu de conséquence en dehors du logement,
Ah bon ?
Le dollar glisse nettement après un mauvais indicateur immobilier aux USA . C’est pas une conséquence lourde ?
Comme l’on voit, certains (la tribune) on sans doute des actions dans les usines de vaseline…
Sans rire, on voit des effets forts au niveau des entreprises. Le ralentissement a ceci de paradoxal qu’il déclenche des dépôts de bilan (pour certain), car 10 années de prospérité ont entrainés de fort mauvaises habitudes, et un relâchement de la gestion, si ce n’est son déclin complet.
Mais en même temps, les entreprises survivantes se voient submerger par le travail.
En effet, il faut finir les chantiers à l’abandon, suivre ses propres chantiers, et en même temps, le déclin de la concurrence sur les appels d’offres fait gonfler certains carnets de commandes.
Comme on voit, crise financière globale, mais conséquences micro-économiques inverses (pour certains).
Si du moins, la rupture du crédit ne touche pas les survivants…
Autre chose, à ne pas oublier, le bâtiment est très consommateur de produits industrialisés… Ferrailles, énergie, matériel, etc…
Et ça, ça ne se passe pas aux USA.
La crise est donc appelée à métastaser durement l’économie réelle.