Merci à J-Christian Tirat (Valeurs Actuelles) de nous rappeler l’incident précédent du 29 octobre 2003
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Incident du 29 octobre 2003
« libération d
Très sérieuse vigilence de la part de VA pour cet incident de 2003… mais M. Tirat devrait vérifier parmi tous ceux qui ont dissimulé volontairement de nombreuses informations techniques comme l’ancienne direction de la SNPE-2001 si ses muses électriques du type Bergeal/EDF-RTE ne sont pas plus mensongères et dissimulatrices dans cette affaire AZF. Désigner un coupable avec une dénonciation de dissimulations… à ce sujet… il y a de la concurrence parmi les directions de l’époque (EDF-RTE, EDF-GDF, SNPE, CEA-DAM, Total…) mais sur le terrain, il est beaucoup plus facile d’imaginer un très grand premier bang par l’explosion d’un poste électrique chemin des Etroits à deux pas de la SNPE remplacé en toute hâte en faisant contrôler les accès routiers par l’armée que dans une usine bourrées de salariés affairés qui ont, pour la très grande majorité, autant morflé dans les années suivantes qu’à AZF (même le compte des victimes définitives n’est aujourd’hui pas si éloignées de celui d’AZF) !
Mais du côté d’EDF-RTE tout va bien, on a à la fois les média pour soutenir la version officielle et les média pour soutenir une version de secours chère à la CEI de Total !
Ca risque d’être un peu trop voyant à terme quand les anciens salariés de la SNPE donneront en détail ce que l’on a demandé (pour certains) de cacher !
Chantre (peut-être subtilement manipulé) d’EDF, M. Tirat, et en fait cela durait depuis 2004…!
TOULOUSE, 11 juin 2007 (AFP) – 18h36
La fuite d’acide à l’usine Isochem relance le débat sur sa présence à Toulouse
Certains élus et associations ont relancé le débat sur la présence à Toulouse de l’usine chimique Isochem, après la fuite d’acide chlorhydrique survenue lundi dans cette entreprise voisine de l’ancienne usine AZF, dont l’explosion avait fait 30 morts en septembre 2001. « Isochem a malheureusement fait la preuve que même s’il maîtrise la technique d’intervention, son existence auprès d’un site aussi prestigieux que va être le Canceropôle devient inadéquate », a déclaré à l’AFP le conseiller municipal Bernard Andreu, soulignant cependant la « maîtrise parfaite de cet incident », qui n’a fait aucune victime. « Isochem ne pourra continuer durablement dans ce secteur-là.
S’ils ne sont pas capables d’arriver à incident zéro, on ne pourra pas admettre leur cohabitation », a poursuivi M. Andreu, qui s’est rendu sur le site d’Isochem (groupe Société nationale des poudres et explosifs, SNPE) en tant que délégué aux risques majeurs, sécurité et accessibilité. Entre 6H30 et 6H45, une fuite d’acide chlorhydrique a généré un important nuage blanc irritant mais non toxique dans cette usine employant 98 salariés. Le plan d’organisation interne a été déclenché et la zone sécurisée, selon la préfecture. Les Amis de la Terre Midi-Pyrénées se sont également inquiétés de la proximité du Canceropôle et des zones classées Seveso. « Les fenêtres du futur hôpital, des laboratoires et des différents bâtiments vont s’ouvrir sur un environnement extrêmement toxique, vraisemblablement pour de longues années encore », ont-t-ils déclaré dans un communiqué. Cette association dénonce depuis de nombreuses années la présence de « ce site en zone inondable à proximité de terrains (…) chargés de milliers de tonnes de nitrocellulose des ballastières et qui constitue une des zones les plus dangereuses de l’agglomération toulousaine ». De leur côté, les Verts de Toulouse ont à nouveau demandé le déménagement en dehors de Toulouse des usines de production chimique et l’arrêt de leur production.
Dans un communiqué intitulé « Combien de drames faudra-t-il avant de tirer les leçons? », ils estiment que « la démonstration est faite que, malgré les efforts de sécurité, les risques majeurs persistent ».
Cette fuite vient à point et Les Amis de la Terre et autres associations vont en profiter pour demander la fermeture du site et tant pis pour les salariés et leur famille, il n’auront qu’à aller chercher du travail ailleurs!!!
Et je partage le sentiment de Mr Grésillaud en ce qui concerne la souffrance des salariés de la SNPE
« Cette fuite vient à point et Les Amis de la Terre et autres associations vont en profiter pour demander la fermeture du site et tant pis pour les salariés et leur famille, il n’auront qu’à aller chercher du travail ailleurs!!! »
Le travail avant la sécurité des gens?? A quoi sert le travail? une amélioration de la vie? ou juste une valeur en soit????
Le travail ne doit jamais passer avant la sécurité des personnes…Alors pourquoi renouveler les erreurs du passé et aller construire un centre de recherche comme le cancéropole à proximité du site SNPE. En choisissant la lutte contre le cancer, sujet sensible et bien sûr capital, sur un terrain dévasté par une catastrophe nos décideurs ont fait un grand coup médiatique…!Mais les terrains autour de Toulouse pour accueillir ce projet n’auraient certainement pas manquer.
Cela me fait penser aux personnes qui font construire à proximité d’un aéroport ou d’une scierie (j’ai lu l’exemple il n’y a pas longtemps)parce que les terrains ne sont pas cher et qui s’empressent de faire une association de riverains pour demander la fermeture de l’activité qui crée les nuisances!
On nous rabat les oreilles d’une fuite d’HCL mais pourquoi ne parle t’on pas des incinérateurs d’ordures ménagères qui lancent tous les jours dans l’atmosphère quantité de produits autrement dangereux…mais là ce sont les Municipalités et les Régions qui sont concernées alors motus!
Pour l’instant on n’a pas trouvé mieux que le travail pour s’assurer une qualité de vie (quoique là dessus on pourrait aussi discuter…) Alors laissons les entreprises travailler et repensons l’occupation des sols en fonction sinon notre tissus industriel ne sera bientôt qu’un souvenir et notre pays vivra du tourisme!!!
Merci à J-Christian Tirat (Valeurs Actuelles) de nous rappeler l’incident précédent du 29 octobre 2003
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Incident du 29 octobre 2003
« libération d
Très sérieuse vigilence de la part de VA pour cet incident de 2003… mais M. Tirat devrait vérifier parmi tous ceux qui ont dissimulé volontairement de nombreuses informations techniques comme l’ancienne direction de la SNPE-2001 si ses muses électriques du type Bergeal/EDF-RTE ne sont pas plus mensongères et dissimulatrices dans cette affaire AZF. Désigner un coupable avec une dénonciation de dissimulations… à ce sujet… il y a de la concurrence parmi les directions de l’époque (EDF-RTE, EDF-GDF, SNPE, CEA-DAM, Total…) mais sur le terrain, il est beaucoup plus facile d’imaginer un très grand premier bang par l’explosion d’un poste électrique chemin des Etroits à deux pas de la SNPE remplacé en toute hâte en faisant contrôler les accès routiers par l’armée que dans une usine bourrées de salariés affairés qui ont, pour la très grande majorité, autant morflé dans les années suivantes qu’à AZF (même le compte des victimes définitives n’est aujourd’hui pas si éloignées de celui d’AZF) !
Mais du côté d’EDF-RTE tout va bien, on a à la fois les média pour soutenir la version officielle et les média pour soutenir une version de secours chère à la CEI de Total !
Ca risque d’être un peu trop voyant à terme quand les anciens salariés de la SNPE donneront en détail ce que l’on a demandé (pour certains) de cacher !
Chantre (peut-être subtilement manipulé) d’EDF, M. Tirat, et en fait cela durait depuis 2004…!
TOULOUSE, 11 juin 2007 (AFP) – 18h36
La fuite d’acide à l’usine Isochem relance le débat sur sa présence à Toulouse
Certains élus et associations ont relancé le débat sur la présence à Toulouse de l’usine chimique Isochem, après la fuite d’acide chlorhydrique survenue lundi dans cette entreprise voisine de l’ancienne usine AZF, dont l’explosion avait fait 30 morts en septembre 2001. « Isochem a malheureusement fait la preuve que même s’il maîtrise la technique d’intervention, son existence auprès d’un site aussi prestigieux que va être le Canceropôle devient inadéquate », a déclaré à l’AFP le conseiller municipal Bernard Andreu, soulignant cependant la « maîtrise parfaite de cet incident », qui n’a fait aucune victime. « Isochem ne pourra continuer durablement dans ce secteur-là.
S’ils ne sont pas capables d’arriver à incident zéro, on ne pourra pas admettre leur cohabitation », a poursuivi M. Andreu, qui s’est rendu sur le site d’Isochem (groupe Société nationale des poudres et explosifs, SNPE) en tant que délégué aux risques majeurs, sécurité et accessibilité. Entre 6H30 et 6H45, une fuite d’acide chlorhydrique a généré un important nuage blanc irritant mais non toxique dans cette usine employant 98 salariés. Le plan d’organisation interne a été déclenché et la zone sécurisée, selon la préfecture. Les Amis de la Terre Midi-Pyrénées se sont également inquiétés de la proximité du Canceropôle et des zones classées Seveso. « Les fenêtres du futur hôpital, des laboratoires et des différents bâtiments vont s’ouvrir sur un environnement extrêmement toxique, vraisemblablement pour de longues années encore », ont-t-ils déclaré dans un communiqué. Cette association dénonce depuis de nombreuses années la présence de « ce site en zone inondable à proximité de terrains (…) chargés de milliers de tonnes de nitrocellulose des ballastières et qui constitue une des zones les plus dangereuses de l’agglomération toulousaine ». De leur côté, les Verts de Toulouse ont à nouveau demandé le déménagement en dehors de Toulouse des usines de production chimique et l’arrêt de leur production.
Dans un communiqué intitulé « Combien de drames faudra-t-il avant de tirer les leçons? », ils estiment que « la démonstration est faite que, malgré les efforts de sécurité, les risques majeurs persistent ».
Cette fuite vient à point et Les Amis de la Terre et autres associations vont en profiter pour demander la fermeture du site et tant pis pour les salariés et leur famille, il n’auront qu’à aller chercher du travail ailleurs!!!
Et je partage le sentiment de Mr Grésillaud en ce qui concerne la souffrance des salariés de la SNPE
« Cette fuite vient à point et Les Amis de la Terre et autres associations vont en profiter pour demander la fermeture du site et tant pis pour les salariés et leur famille, il n’auront qu’à aller chercher du travail ailleurs!!! »
Le travail avant la sécurité des gens?? A quoi sert le travail? une amélioration de la vie? ou juste une valeur en soit????
Le travail ne doit jamais passer avant la sécurité des personnes…Alors pourquoi renouveler les erreurs du passé et aller construire un centre de recherche comme le cancéropole à proximité du site SNPE. En choisissant la lutte contre le cancer, sujet sensible et bien sûr capital, sur un terrain dévasté par une catastrophe nos décideurs ont fait un grand coup médiatique…!Mais les terrains autour de Toulouse pour accueillir ce projet n’auraient certainement pas manquer.
Cela me fait penser aux personnes qui font construire à proximité d’un aéroport ou d’une scierie (j’ai lu l’exemple il n’y a pas longtemps)parce que les terrains ne sont pas cher et qui s’empressent de faire une association de riverains pour demander la fermeture de l’activité qui crée les nuisances!
On nous rabat les oreilles d’une fuite d’HCL mais pourquoi ne parle t’on pas des incinérateurs d’ordures ménagères qui lancent tous les jours dans l’atmosphère quantité de produits autrement dangereux…mais là ce sont les Municipalités et les Régions qui sont concernées alors motus!
Pour l’instant on n’a pas trouvé mieux que le travail pour s’assurer une qualité de vie (quoique là dessus on pourrait aussi discuter…) Alors laissons les entreprises travailler et repensons l’occupation des sols en fonction sinon notre tissus industriel ne sera bientôt qu’un souvenir et notre pays vivra du tourisme!!!