En Espagne, on commence à paniquer et à solder. Une maison avec piscine 80 % moins chère que ses voisines ? C’est en Espagne ! Et la France, est-elle protégée par la ligne Maginot ?
« Pour José Moreno, promoteur immobilier à Fuenlabrado, au sud-ouest de Madrid, la grande braderie a démarré. Premier prix de ses maisons avec piscine : 84 000 euros, jusqu’à cinq fois moins que les tarifs pratiqués par ses concurrents. A Madrid, un réseau d’agences propose des rabais sur certains logements pendant la période des soldes. Dans toute l’Espagne, c’est le même scénario : les stocks gonflent à vue d’oeil, les prix stagnent, le client se fait rare. Un vent de panique a même soufflé lorsque la Caixa Catalunya a prédit une chute des prix aussi brutale qu’entre 1993 et 1996. » Source : L’Expansion, Immobilier : l’angoisse de la contagion
‘Et l’Australie qui a ouvert le bal, et dont nous avions suivi ici même le début de la baisse brutale, n’est plus seule, les USA, et l’Espagne qui décroche en ce moment même, font partie du club des pays où l’immobilier ne devait pas baisser, je dis bien baisser.
c’est tout betement bien fait . l’economie reelle reprend toujours la main , c’est comme les lois de la nature , tou ou tard il faut payer ses erreures . en france ils ont joues le jeux des speculateurs alors la meme regle s’appliquera . j’aimerais entendre a nouveaux les arguments des professionnels qui affirmaient que le marche etait sain , peu d’offres et beaucoup de demande . bref comme en espagne quoi . l’argent facile ne dure qu’un temps apres il faut payer facture . sarko ne veut pas payer pour les autres alors il essaie de freiner la machine qui est en point mort et n’a plus de freins . ce sera un atterissage catasrohique comme tous les krachs .
Les interventions de ce matin sur ce blog m’inspirent les réflexions suivantes:
Que l’on vienne d’acheter (à tort ou à raison), que l’on cherche à acheter ou que l’on se désespère de pouvoir acheter, l’honnêteté intellectuelle exige que l’on fasse preuve d’un minimum d’objectivité et que l’on essaie de ne pas tomber dans le piège du haussier ou du baissier, selon nos intérêts propres (conscients ou inconscients). Ce sujet est devenu tellement irrationnel et affectif!
En effet:
1) Il n’y a pas un Marché Immobilier. Le marché est fait d’une multtitude de micromarchés locaux qui répondent chacun à une logique propre, tant en terme de typologie de produits mis en vente que de sociologie d’acheteurs potentiels, chaque catégorie ayant par ailleurs une surface financière propre, ce qui autorise des réactions tout à fait différentes sur le marché.
Bref, ce marché est tout sauf homogène. Sans compter les différences d’approche entre logement neuf et ancien et l’impact que peut avoir la nature du tissu économique sur l’avenir de ce marché (en particulier dans les villes moyennes de province)
Il faut se garder de généraliser et il faut se concentrer sur le segment de marché qui vous intéresse. Pour illustrer que le prix dans l’absolu n’est pas un argument imparable, je dirais que chez moi à Paris, les ventes à 800-900.000
Alors là je dit « Monsieur Cateri »!
Bravo, j’applaudis des deux mains !
Enfin une reflexion digne, claire, et sensée… Du bonheur.
Si seuleument, oui si seuleument la France pouvait avoir autant de jugeote !
Bonjour Fred,
Monsieur Cateri est une fait une Madame Cateri, sur le point d’accoucher, immobilisée et qui n’a d’autre occupation que la lecture, d’où mes réflexions… nombreuses….Bien à vous!
Madamme, je vous salue également votre propos est plus interessant que chochant.
Bonne Journée à vous
Pour « sos bien fait » : l’argument de la pénurie de l’offre sur la demande est toujours utilisé par nos communiquants (qui a dit ‘menteurs’ ?) préférés. Je ne les citerai pas, vous savez de qui je parle…
Nous sommes dans une société de communication. La règle est devenue de ne plus vérifier les informations mais de les diffuser telles quelles. J’appelle ca de la propagande…
3) Comme je l’ai déjà expliqué dans ce blog, quand bien même les prix chuteraient brutalement, les taux d’intérêts restant au même niveau, cela stimulerait une nouvelle demande qui ferait remonter les prix, l’offre restant égale par ailleurs
Hé non, là il y un problème et je vais essayer de faire court.
En ce moment, tout le monde vit à crédit en particulier les US (depuis 1945) et nous autres européens.
En France, je rappelle qu’elle se décompose de 2500 milliards d’euros soit 16 000 milliards de francs (avec engagement de retraites) auquel il faut ajouter la dette privée, cad le déficit commercial, les emprunts des particuliers et entreprise, etc.
Ceux qui détiennent la dette du monde sont essentiellement les pays asiatiques et notamment la Chine et le Japon.
En échange des biens qu’ils fournissent avec des salariés-esclaves contre des dollars-bidons et l’euro qui l’est tout autant, ils demandent un minimum de garantie aux états et aux banques.
Je court-circuite une partie technique pour aboutir au fait que cette garantie est, en ce moment, basée sur la consommation des ménages et la valeur des biens immobiliers (il n’y a plus assez de production industrille ou agricole pour contre balancer les exportations asiatiques).
La consommation et l’immobilier étant liés (si votre bien baisse, aurez-vous le moral et envie d’acheter ?), et si l’un ou les deux baissent, la Chine et les autres pays créanciers vont se débarasser de l’IMMENSE réserve de dollars et autres monnaies papier qui ne valent rien et contre lesquelles elles ne peuvent rien obtenir, faisant écrouler la valeur de ces devises et en même temps exiger des rendements supérieurs des dettes des états. Les taux vont exploser !
Mais à ce moment-là, les banques occidentales feraient faillite, il y aurait beaucoup de monde dans les rues, etc.
Et je me demande pas si ce scénario va arriver mais quand il va arriver
Pour Cateri : ton raisonnement est fort juste.
Il est vrai que prendre un emprunt sur 30 ans me parrait totalement absurde. J’ai déjà du mal à avoir une visibilité sur les 2 prochaines années, alors 30 ans !!!!
Par contre, j’ai bien peur que beaucoup de gens ne poussent pas la reflexion aussi loin que toi.
En général, cela peut se résumer à (c’est du vécu) : le bien me plait, il va me passer sous le nez (bah oui, y’a pénurie), je signe tout de suite au prix demandé, parce que sinon je vais le rater.
Bonjour Cateri,
« Je me félicite qu’il y ait dans ce blog des interventions attestant d’une bonne maturité d’analyse » En effet, et c’est pour cela que je continue de façon régulière à partager mon point de vu avec d’autres personnes. Les blogs seront ils un de nos futurs outils démocratiques ???
En tout cas dans l’immédiat, je te souhaite une bonne fin de grossesse.
Pour Jérome : je te rejoins (malheureusement) sur tout ce que tu as dit.
en ce qui concerne la consommation des ménages : elle a été favorisée par la politique menée depuis une 30e d’années, avec les résultats que cela donne : disparition du tissu industriel, quasi disparition des entreprises innovantes ou à forte valeur ajoutée, ceci entrainant une chute irrémédiable du niveau des exportations et de la balance commerciale de la France (qui exporte en France, à part Airbus ?).
Le fait que notre nouveau président veuille relancer le pouvoir d’achat (par exemple à l’aide de la mesurette sur les déductions des emprunts immobiliers) illustre le fait qu’il n’y aura pas de changement (malgrè son discours) : on va toujours favoriser la demande.
Alors qu’en favorisant l’offre (mais c’est beaucoup moins facile parce que cela ne peut pas se faire avec des MESURETTES, mais avec de véritables réformes), nous pourrions avoir des entreprises innovantes, compétitives, tournées à l’internationale (c’est un minimum dans un contexte de mondialisation comme le notre), qui gagnent des parts de marché au lieu d’en perdre.
Notre seule chance réside dans un fort tissu d’entreprises à trés forte valeur ajoutée, tournées à l’international. Pour tout le reste, nous ne pouvons pas faire le poids face aux chinois et indiens.
Pour revenir à la contagion depuis l’Espagne : MAIS NON, rien à craindre, c’est comme le nuage de tcherno… 😉
Pour finir sur mon histoire de favoriser l’offre, comment faire ?
Mettre le paquet sur l’éducation, la formation, sur la recherche fondamentale et appliquée pour que la France retrouve un niveau d’innovation correcte, ce qui aura un impact majeur sur le volume des brevets déposés. La France étant actuellement loin derrière les USA, Chine, Japon, Indes, etc… ce qui est trés inquiétant pour l’avenir…
Recession, qui a dit recession !!! Le cyle habituel consécutif à une crise immobilière, après on a une recession…
Etats-Unis : la croissance n’a atteint que 0,6% au premier trimestre en rythme annuel
[ 31/05/07 – 14H49 ]
En première estimation, le PIB avait été annoncé en hausse de 1,3%. Les économistes tablaient sur 0,8% de croissance
On savait l’économie américaine en phase de ralentissement. Mais son ampleur a désagréablement surpris. Le PIB américain a progressé d’un maigre 0,6% au premier trimestre en rythme annuel, selon la deuxième estimation diffusée par le département du Commerce. Non seulement, la performance est plus deux moins importante que celle annoncée initialement (1,3%) mais elle est également inférieure aux attentes des économistes qui, en moyenne, anticipaient 0,8% de croissance économique.
Plus d’infos à suivre
Jérôme,
Je partage entièrement votre analyse sur l’impact psychologique (négatif) de la valorisation des actifs immobiliers sur la consommation des ménages (dans un sens et dans l’autre) ainsi que sur les réactions potentielles des financiers chinois….dans le cas d’une baisse très importante (brutale ou pas) de l’immobilier.
Je me plaçais davantage dans une logique de faible correction (5-10%), ce qui est marginal compte tenu de l’évolution de + 100% ces dernières années.
Mon avis est que dans ce cas, si les taux restent inchangés ou presque, certains acheteurs potentiels vont passer à l’acte et comme l’offre n’est pas très élastique en ce moment, cela contribuerait à faire revenir les prix à leur niveau antérieur. C’est pourquoi je pense que nous devrions rentrer dans une phase de stabilité tant que des facteurs exogènes de type crise boursière ou évènement géopolitique majeur ne sont pas suceptibles de faire évoluer cet « équilibre ».
Je vous rejoins donc sur votre argument de « rapatriement » des fonds, ainsi que sur celui de Benjamin sur les conséquences de notre dépendance énergétique, sans compter que les épargnants chinois vont nécessairement gagner en maturité et progressivement effectuer des placements autres que de racheter des bons du Trésor américain.
La prise de participation de 10% dans le capital de Blackstone augure d’autres opérations du même genre, aux US et en Europe avec un risque évident que la Chine se positionne progressivement sur nos créneaux à forte valeur ajoutée (démarche déjà engagée d’ailleurs!)
Et vous savez comme moi que ces pays émergents ne sont pas dans la même logique temporelle que nous. Nous en 5 ans, nous commençons à réfléchir. Eux, ils font une révolution.
En 1995, à Shanghaï, les cables téléphoniques pendaient dans les arbres. Aujourd’hui, ils ont un train à sustentation magnétique.
Il y a environ 10 ans, l’usine Citroën à Wuhan était considérée comme étant plus « reculée que reculée ».
Les repères ont changé. Regardez où se trouve Chongqing et son effervescence. C’est autrement plus « dans les terres ».
Quand on a vécu dans ces pays là, on sait bien que ce ne sont pas quelques malheureuses gesticulations sur la déduction des intérêts d’emprunt ou l’augmentation du pouvoir d’achat par l’endettement qui nous permettront d’assurer notre indépendance face à ces pays.
C’est pourquoi, je pense comme vous que notre mode de focntionnement actuel est en sursis. Pour combien de temps, je ne sais pas, mais je m’attends à de nombreux bouleversements d’ici 10 ans.D’où l’importance de la vitesse de relèvement des taux comme l’explique justement Benjamin.
C’est l’une des raisons pour lesquelles je suis aussi opposée aux prêts immobiliers à « rallonges ». En effet, quelle sera notre marge de manoeuvre, en particulier celle des ménages modestes qui fonctionnent au maximum de leurs possibilités financières, lorsqu’ils auront à faire face à un endettement personnel majeur et à assumer en outre l’endettement d’un Etat dont nous savons d’après les critères de Maastricht qu’il n’y a plus de marge de manoeuvre. Et pourtant, la dette, il faudra bien l’assumer un jour ou l’autre de même que la réduction des prestations sociales publiques compte tenu de l’évolution démographique à venir dans les 20 ans.
Dépense publique ou projet personnel, même combat. Seule l’accumulation patiente d’un apport personnel ou la réduction de nos dépenses permet de créer un effet de levier, source de notre future liberté d’action.
Pour cateri, James et les autres, je vous invite à parcourir ces liens :
http://linflation.free.fr/pages/17alhomepag.html (2006)
http://www.horizons-et-debats.ch/31/31_21.htm (2005)
Tout ce que vous dites est très juste, mais ce sont des conséquences, les causes étant le système monnétaire qui amène la BCE, par exemple, a faire entrer dans le cerveau de tous les européens que 2+2=8. En effet avec 8% de création monnétaire en 2005, il y a eu 2% de croissance et 2% d’inflation, version INSEE et autres organismes « officiels ». Quel pipeau !
On aurait du avoir 6 % d’inflation avec les taux qui vont avec, et ça en 2005. La FED, elle pas folle, ne communique même plus sa masse monnétaire, la M3, surtout depuis le conflit irakien.
Alors où va cet excès ? Et bien dans les actifs financiers et l’immobilier. La bulle internet a crevé en 2000, mais l’une chassant l’autre, c’est l’immobilier qui a pris la relève. Regardez aussi les matières premières avec le pétrole notamment !
La Chine a pour fonction de nous abreuver de biens pas chers pour absorber cet excès de liquidités, dont on pourrait se dire que nos chers gouvernants des banques centrales ont compris les méfaits. Hé bien non, en ce moment, on bat records sur records dans l’abreuvement de crédits et ils sont obligés de continuer et de plus en plus forts sinon tout s’écroule (en fait comme je le disais plus haut, ce n’est pas de savoir si mais quand).
On est dans le jeu du premier qui sortira s’en tirera sans trop de casse et les suivants … aïe !
http://www.europe2020.org/
Ecoutez l’actualité, entendez les prix des fusions-acquisitions, admirez ces torrents de dollars et d’euros dont les financiers ne savent plus quoi faire ! Ca fait monter toutes les bourses, mais où est la véritable création de valeur ?
La ruse est de maintenir hermétique ce réservoir colossal de fausse-monnaie hors de la sphère réelle, ce qui fait que les salaires ne montent pas puisqu’il n’y a pas d’inflation, version INSEE.
Ca me dégoute, ça me file même la gerbe. En 2000, ça touchait les valeurs internet, pas quelque chose de vital, là c’est l’immobilier, c’est quand même plus embêtant de ne plus avoir de toit, demain l’énergie (c’est même déjà le cas) et après la nourriture ?
Tout part de ces financiers internationaux et de cet argent ex-nihilo, de cette monnaie papier. Ils rackettent le monde pour qu’ils puissent se payer, non pas du nécessaire mais du superflu, et ça je ne l’accepte plus.
Notre pantin « président » Fouquet’s et Bolloré’s Yacht Jet privé est le digne représentant de cette oligarchie prête à tout (guerres, faux attentats, terreur, divisions pour mieux régner, …) pour conserver sa main mise.
Seul le travail apporte de la valeur et crée de la richesse …
Bonjour Jérôme,
Je rejoins votre analyse sur l’instrumentalisation des taux, de la création de masse monétaire et de l’inflation.
J’ai un sourire crispé lorsque je vois nos dirigeants parler de maîtrise de l’inflation et de contrôle du pouvoir d’achat alors que le poste logement a explosé dans le budget des ménages et que cette dépense incontournable n’est pas prise en compte dans les analyses.
Mais au-delà des banquiers, vous constatez comme moi que ce sentiment d’enrichissement facile à travers notamment la valorisation trop rapide des actifs immobiliers et l’endettement trop facile a pénétré tous les étages de la société française.
Vous avez raison, la valeur travail doit être réhabilitée mais pas au sens où l’entend notre président, à savoir gagner plus pour consommer plus mais dans le sens ajustez votre train de vie à la vraie richesse créée par votre travail.Mais là, la chite risquerait d’être rude!
Nous ne sommes plus dans les 30 glorieuses, tout le monde le scande mais mais manifestement il faut un temps d’intégration psychologique de cette affirmation, dont j’espère qu’il ne sera pas trop long.
Bien à vous, bonne journée,
Le poste logement pour l’INSEE : 13.5 % de votre budget. Cela comprend l’eau, le gaz, l’electricité, le loyer. Après cela vous comprenez pourquoi on a 2% d’inflation. Et en plus l’INSEE le justifie très bien et le plus naturellement du monde : http://www.insee.fr/fr/indicateur/indic_cons/info_ipc.htm#q9
(monnétairement, on devrait avoir des taux à au moins 7-8 % depuis au moins 3 ans ce qui aurait fortement régulé l’immobilier entre autres)
Alors si vous dépensez 13,5% de son budget pour son loyer (y compris celui des vacances si si), son énergie, son eau et sa concierge vous pouvez croire comme un gros bêta à l’inflation telle que la conçoit nos soit-disant élites (et accessoirement aux 2 millions de chômeurs (5 ou + ?) et tous les chiffres dits officiels).
L’ennui, c’est que cette inflation, elle sert de référence pour beaucoup de choses : SMIC, retraites, prestations sociales, et j’en passe.
Vous noterez que l’achat d’un bien immobilier ne passe même plus dans votre budget, c’est un investissement, même en résidence principale ! On croit rêver …
Si demain la Chine arrête d’exporter ou exporte moins (recentrage progressif sur son marché intérieur, explosion du pétrole donc transport prohibitif, …) c’en est fini des produits pas chers. Et si la baguette passait à 1000 euros avec une bonne hyper-inflation, qu’adviendrait-il de vos 100 000 euros patiemment économisé ?
Mais il y a un gros loulou pour ceux qui tirent les ficelles en coulisse : le pétrole et la fin de l’énergie bon marché. Quoi qu’on en dise, on est pas loin du « peak-oil », peut être déjà passé, peut être encore 10 ans, mais c’est pour maintenant. Et ça c’est leur cauchemar !
Fini la petite chinoiserie au supermarché, fini le petit touriste occidental ou le bon petit businessman à l’autre bout du monde tous les 4 matins, fini le transport maritime pas cher, fini le passage par la case dollar avant d’acheter du pétrole ou des matières premières (c’est comme chez IKEA, vous passez en caisse pour obtenir un morceau de papier puis après vous allez retirer votre marchandise, ce qui maintient artificiellement le cours du dollar US en ce moment), finie les armées et l’armée US en particulier (hors missiles nucléaires), en gros fini le mondialisme version finance international avec son bras armé US
Et ça se voit que c’est la panique, car pour moi et je demande à personne de me croire, mais le 11 septembre 2001 est une vaste supercherie sauf pour les pompiers et les employés morts dans les tours (http://www.reopen911.info) ayant servi de prétexte au remodelage du moyen-orient et à la sécurisation du pétrole restant (notamment l’Irak) et la propagande actuelle contre l’Iran ne laisse rien présager de bon.
De même le prétendu « réchauffement climatique » (http://www.climat-sceptique.com/) qui n’est que la manière d’introduire doucement le manque d’énergie à venir, donc la rupture du mode de vie. Propagande, choquer l’opinion, guerres, mensonges, voilà à quoi ils sont prêts pour défendre leurs privilèges et ce n’est pas une première dans l’histoire.
C’est une crise de système et vous voulez savoir quoi, je l’attends et je l’espère car elle fera le ménage (surtout du matérialisme) et on pourra en croisant les doigts repartir sur des bases plus saines.
Par contre il y va y avoir de la casse !
Bonne journée malgré tout !
Jérome,
je suis d’accord avec toi malheureusement se seront tjs les mêmes qui vont trinquer! Les dirigeants qui mettent le souk avant de partir avec la caisse!
Les délits d’initiés des potes de sarko (et de ceux de mitterand avant)… tout ca sans sanction!
Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi ca ne pette pas… mais pour expliquer ca nous avons TF1!
de Hudson: « Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi ca ne pette pas… mais pour expliquer ca nous avons TF1! »
Fallait saisir l’occaz’ le 22 avril 2007, mais bon à peine 1 Français sur 10 était volontaire au changement radical…
Bonjour,
les derniers post qui précèdent sont bien construits, avancent des idées neuves (taux à 8%…) mais la conclusion que vous semblez partager respire quand même beaucoup la théorie du complot avec tous les bons côtés qu’on lui connaît…
Je peux me tromper mais il n’en faudrait pas beaucoup pour que vous finissiez par nous expliquer que c’est la faute d’un « certain peuple » « très présent dans certaines professions »…
Je trouve que vous dévalorisez ce blog sous couvert d’analyses pointues qui sont finalement radicales, excessives et dont l’idéologie sous jacente n’est pas assumée.
Cdt.
RdeM
@RdeM
Le post sent bon la disqualification directe : théorie du complot + tout le tralala. Vous feriez un bon flic de la pensée.
Au début je me m’intéressais pas à tout ça, comme tout le monde pour le 11/09, ça m’a choqué, puis vers 2003, j’avais entendu les thèses d’urluberlus qui avançait l’idée que c’était la CIA qui avait « fait le travail », le COMPLOT quoi !
On se dit qu’ils sont fous, et pourquoi contesterait-il quelque chose d’évident et que « tout le monde s’accorde à dire qu’il n’y a pas à remettre en cause » (la phrase type du consensus-bourrage de cerveau).
Et puis étant scientifique de formation et curieux, on finit par d’abord par constater des choses bizarres : les tours sont tombés parfaitement droites sur leurs fondations, alors que l’asymétrie de l’impact aurait voulu qu’elles penchent pour ensuite tomber n’importe comment et surtout la POUSSIERE ??? Personne ne se pose la question, mais sur ce genre d’effondrement, on aurait dû avoir des macro déchets, donc des énormes morceaux au sol. Et puis la vitesse de la chute : 10 secondes, la vitesse d’une chute dans le vide, alors que la résistance de chaque étage impactant le précédent aurait dû ralentir le tout, etc etc.
Et des arguments très troublants, il y en a des dizaines d’autres. Alors, le complot, oui on peut en parler …
Est-ce que le certain peuple dont vous parlez est celui qui met à feu et à sang une certaine partie du monde avec une certaine puissance financière et militaire venu d’un certain grand pays ?
Et comme la loi française ruine pratiquement à vie et envoie en prison FERME quiconque parle mal ou pense mal de certains sujets ou de certaine Question : auto-censure !
Je suis quelqu’un de libre, et si j’ai envie de dire quelque chose, viendra un jour très proche où on le dira haut et fort, et même plus que cela on le fera résonner dans toutes les têtes jusqu’à ce que l’on chasse ces imposteurs.
La Vérité, mère des libertés, est absolue et finit toujours par s’imposer …