Une fois de plus la sonnette d’alarme a été tirée en Espagne. Le surendettement galope, et il dépasse les limites du raisonnable. « Les Espagnols consomment trop, accèdent trop à la propriété de leur logement, et l’économie du pays, bien que très dynamique, reste vulnérable et doit rééquilibrer sa croissance, notamment en muselant la demande intérieure et en accroissant la productivité », a affirmé l’OCDE dans un rapport rendu public il y a quelques jours.
« Les Espagnols consomment trop, s’endettent trop, notamment pour se loger » et des rumeurs folles, sur des prétendus prêts sur 60 ans en France, tentent de rassurer, à tort, les jeunes qui se lancent dans des prêts ad vitam eternam. » Pourtant, régulièrement on exhorte les espagnols de ne plus acheter d’immobilier, pas à crédit.
La hausse très rapide de l’endettement des ménages et des prix du marché immobilier pourrait menacer la stabilité macroéconomique », affirme l’organisation qui préconise la fin des aides à l’accession à la propriété et l’incitation au développement d’un marché locatif. Souvenez-vous des mises en garde lancées régulièrement par la Banque Centrale espagnole.
L’OCDE rapelle une fois de plus qu’une politique budgétaire restrictive est indispensable pour maitriser la surchauffe de la pierre.
Je vous rappelle qu’en Espagne, comme en Italie, à cause de l’infaltion il était très peu intéressant de louer des logements, et à défaut de biens disponibles, nos voisins du sud devaient acheter leur toit. Leur accession à la propriété est aussi une démarche « culturelle », dans le sud la propriété ayant une autre valeur sociale que dans le nord de l’Europe. Et même si l’
Bonjour Marie.
Un papier très intéressant sut le Net Espagnol, daté du 6 février 2007, qui va sûrement t
Merci INFINIMENt Cébibi, Marie
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