Voici une analyse d’une crise immobilière, celle de 1991-1998, et des risques systémiques qu’elle peut engendrer. En voici les grandes lignes : récession, remontée des taux de 1 point, alourdissement fiscal, baisse du rendement immobilier, baisse de la solvabilité des ménages avec une durée alourdie passage de 6 à 10 ans pour les prêts, écrasement de la demande en bureaux, le tout entraînant un krach immobilier.
En fait ce n
Les crédits étaient passé de 6 à 10 ans: ouah!
Et maintenant, on parle de 30 ans…
Quel bel avenir!
Et oui, TFBouygues, on se frotte les yeux, mais dans le monde ils disent qu’il n’y a rien d’alarmant. Ils nous prennent pour des moutons (je n’emploie jamais le mot, mais là… je me dis qu’ils exagèrent).
baie..baie… les moutons sont toujours plus nombreux . anegdote; une collegue de boulot proprio de son apt avec un credit sur 25 ans variable . elle a recue ses dernieres traites modifiees a la hausse . elle croyait que la banque avait fait une erreure . la seule erreure qu’elle avait faite etait de suivre le conseil de son banquier , le jour de la signature du contrat .
Salut bubure !
Oui, ta collègue fait partie des endettés à taux variable.
Qui a les chiffres – % des taux fixes et variables.
Je crois savoir qu’en quelques années, on est passé de 20% de Français endettés à taux variable à 36%.
Je ne retrouve pas le tableau.
Qui aurait ces chiffres sous la main ?
Marie