Il n’y a pas que EADS et Airbus que gêne l’euro fort.
Si certains pays pétroliers, membres de l’Opep semblent ne pas voir d’un bon oeil la flambée de l’euro par rapport au dollar, les groupes de luxe européens craigent désormais que leurs perspectives de croissance ne soient freinées par un tel phénomène.
Certains experts estiment même que les maisons pourraient avoir recours à la délocalisation.
Les experts du secteur estiment que la conjoncture économique mondiale devrait se dégrader en 2008, pronosticant également que l’euro puisse atteindre 1,50 dollar. Début novembre, la devise européenne a atteint un nouveau record, à 1,4737 dollar.