Matières premières et plus spécifiquement métaux se regroupent à pas de géant. Ainsi après le mariage annoncé hier entre Arcelor et Mittal, c

Toute l'actualité de la planète finance sans langue de bois…
Matières premières et plus spécifiquement métaux se regroupent à pas de géant. Ainsi après le mariage annoncé hier entre Arcelor et Mittal, c
Les commentaires sont fermés.
Inco relève son offre sur Falconbridge dans sa fusion avec Phelps Dodge
MONTREAL, 26 juin 2006 (AFP)
Le géant canadien du nickel Inco a relevé lundi de 5,2% son offre publique d’achat sur son rival national Falconbridge dans le cadre de sa fusion avec la société américaine Phelps Dodge, a indiqué le groupe dans un communiqué.
Inco, numéro deux mondial du nickel, offre 53,83 dollars canadiens (48,45 USD) pour le titre de Falconbridge, quatrième groupe mondial du secteur, ainsi valorisé à quelque 20,6 milliards de dollars canadiens (18,5 milliards USD).
L’offre précédente d’Inco s’élevait à 51,17 dollars canadiens (46,05 dollars USD), valorisant Falconbridge à 19,6 milliards (17,6 milliards USD).
La nouvelle offre est « la première étape » de la fusion tripartite annoncée lundi entre les deux groupes canadiens et l’américain Phelps Dodge visant à la formation du leader mondial du nickel baptisé « Phelps Dodge Inco Corporation », a précisé Inco dans un communiqué.
L’offre de Phelps Dodge sur Inco n’est toutefois pas « conditionée » par le succès du mariage entre ce dernier et Falconbridge, également convoité par le suisse Xstrata.
La direction de Falconbridge a donné son aval à la fusion avec Inco et, dans un deuxième temps, à celle avec Phelps Dodge, mais les actionnaires ont encore le loisir d’opter pour l’offre non sollicitée d’Xstrata.
Les actionnaires de Falconbridge « benéficieront à la fois de l’offre relevée d’Inco et des avantages consentis aux actionnaires d’Inco dans le cadre de son plan de fusion avec Phelps Dodge », a fait valoir la direction d’Inco.
Cette double opération valorisera à 62,11 dollars canadiens (55,90 dollars USD) l’action de Falconbrige, ce qui represente 18,3% de plus que l’offre non sollicitée du suisse Xstrata, estime Inco.
Le groupe minier suisse Xstrata a relevé mardi son offre d’achat sur Falconbridge de 52,50 à 46.34
Eramet s’envole (+7,15%) après surenchère de Xstrata sur Falconbridge
PARIS, 11 juil 2006 (AFP)
Le titre du groupe minier Eramet grimpait mardi après-midi après le relèvement de l’offre du suisse Xstrata sur Falconbridge, spécialisé, comme le Français, dans la production de nickel, qui alimentait les spéculations sur une consolidation plus large du secteur.
A 15H55 (13H55 GMT), Eramet s’adjugeait 7,15% à 122,90 euros, portant sa progression depuis le début de l’année à 40%. Il signait ainsi la plus forte hausse de la séance sur le compartiment du Service à règlement différé (SRD), tandis que le CAC 40 perdait 0,86%.
Le groupe minier américain Phelps Dodge a estimé mardi que son projet de mariage à trois avec Inco et Falconbridge était le plus avantageux pour les actionnaires sur le long terme après le relèvement par le suisse Xstrata de son offre d’achat hostile sur Falconbridge. « Nous ne sommes pas surpris par le relèvement de l’offre de Xstrata sur (le groupe canadien) Falconbridge, étant donné l’attractivité des actifs de Falconbridge », a indiqué Phelps Dodge dans un communiqué. Mais, évaluant l’offre de son allié, le groupe minier canadien Inco, à 47.91
Montréal (AWP/afx) – Le Canadien Inco, numéro deux mondial du nickel, a annoncé jeudi qu’il prolongeait jusqu’au 24 juillet son offre d’achat de son rival
Falconbridge qui arrivait à échéance jeudi soir.
Inco a indiqué dans un communiqué qu’il ne s’attendait pas à disposer d’un nombre suffisant d’actions (66%) d’ici la date butoir, qu’il avait fixée pour
le 13 juillet à 20H00 locales (vendredi 00H00 GMT/02h00 HEC).
Falconbridge est également convoité par le groupe Xstrata, qui a relevé mardi son offre publique d’achat hostile sur le canadien, valable jusqu’au 21 juillet.
Inco veut racheter Falconbridge dans le cadre d’un mariage à trois avec l’américain Phelps Dodge, un projet accepté par les trois parties.
Phelps Dodge, numéro trois mondial du cuivre, a offert à la fin juin quelque 40 milliards de dollars pour ses deux rivales canadiennes, la plus importante offre publique d’achat (OPA) de l’histoire canadienne.
Cette fusion doit se dérouler en deux temps. Inco avale en premier Falconbridge, puis Phelps Dodge rachète ce groupe afin de former le numéro mondial du nickel et numéro deux du cuivre.
Inco relève une nouvelle fois son offre sur Falconbridge
TORONTO, 17 juil 2006 (AFP)
Le géant minier canadien Inco a relevé dimanche son offre amicale sur Falconbridge dans le cadre de son mariage à trois avec le groupe américain Phelps Dodge visant à la formation du leader mondial du nickel et du numéro deux du cuivre, selon un communiqué tripartite.
Inco offre dans un premier temps 60,25 dollars (53,35 USD) par action de Falconbridge, dont 18,50 dollars canadiens en numéraire ce qui constitue une hausse d’un dollar sur sa dernière offre datant de la fin juin dans le cadre de la fusion à trois annoncée avec Phelps Dodge.
A la clôture de la Bourse de Toronto vendredi, le titre de Falconbridge s’échangeait à 61 dollars (54 USD).
Cette nouvelle offre a cours jusqu’au 27 juillet soit un jour avant la fin de la « dragée toxique » mise en place par Falconbridge, une procédure juridique destinée à contrer une prise de contrôle rampante par le groupe suisse Xstrata qui détient déjà 19,8% des actions de Falconbridge.
La semaine dernière, Xstrata avait bonifié à 59 dollars canadiens (52,22 USD) en numéraire son offre non sollicitée pour mettre la main sur les actions de Falconbridge échappant à son contrôle.
La direction de Falconbridge a déclaré dimanche un « dividende spécial » de 75 cents par action (66,38 cents US) afin de convaincre ses actionnaires encore hésitants à préférer ce projet de fusion à trois à l’offre de Xstrata
Canada: Falconbridge accepte finalement l’offre de Xstrata
TORONTO – La direction du groupe minier canadien
Falconbridge a baissé les bras et recommandé mardi soir à ses actionnaires
d’accepter l’offre publique d’achat du suisse Xstrata le valorisant à quelque
20,5 milliards USD.
Xstrata, qui tentait sans succès depuis des mois de mettre la main sur
Falconbridge, détient déjà 24,5% des actions du groupe canadien et « semble en
bonne voie d’acquérir suffisamment d’actions pour prendre le contrôle de
Falconbridge le 14 août », a déclaré dans un communiqué le PDG du groupe
canadien, Derek Pannell.
La dernière offre de Xstrata, qui a cours jusqu’au 14 août, propose 62,50
dollars canadiens par action de Falconbridge, quatrième producteur mondial de
nickel, ainsi valorisé à 23,30 milliards de dollars (20,5 milliards USD).
« Bien que Xstrata ait affirmé vouloir détenir 100% de Falconbridge, les
actionnaires qui n’acceptent pas l’offre d’ici le 14 août n’ont pas la garantie
de pouvoir vendre après cette date leurs actions à 62,50 dollars à Xstrata. Par
conséquent, la direction de Falconbridge recommande aux actionnaires de vendre
leurs actions à Xstrata afin de réaliser sa pleine valeur », a ajouté M.
Pannell.
A la Bourse de Toronto, le titre de Falconbridge était stable à 62,23 dollar
(55,38 USD) depuis la fin juillet, après l’échec de l’OPA amicale du groupe
minier Inco.