Société Générale/Calyon : vers un regroupement de filiales

Calyon La Société Générale et Calyon, la banque de financement et d’investissement du Crédit Agricole ont annoncé lundi qu’elles étaient entrées en « négociation exclusive » pour regrouper leurs filiales de courtage, respectivement Fimat et Calyon Financial.

Dès le mois dernier, des sources proches du dossier avaient révélé que des discussions avancées étaient en cours en vue de fusionner les deux filiales, projet qui avait été éventé l’été dernier.

Les deux groupes vont engager des travaux d’études approfondies en vue de procéder à la signature d’un accord définitif. Elles devraient présenter les perspectives du nouveau groupe « dès signature de cet accord ».

La nouvelle entité, qui serait détenue paritairement par SG et Calyon, et dont le siège serait à Paris, « occuperait une position de leader mondial dans le domaine de l’exécution et de la compensation de produits dérivés listés » et serait notamment 3ème aux Etats-Unis, poursuit le communiqué, sans plus de précisions.

Ce nouvel ensemble offrirait à sa clientèle institutionnelle internationale un accès à plus de 70 marchés organisés de produits dérivés. Il serait également un acteur de tout premier plan du courtage interbancaire de valeurs mobilières et de produits dérivés traités de gré à gré, disposant en parallèle d’une offre de prime brokerage. La combinaison des bases de clientèle et des offres de produits et services assurerait tout à la fois la compétitivité du nouveau Groupe pour les années à venir et un fort potentiel de ventes croisées, selon le communiqué.

Le projet fera l’objet d’une consultation préalable des instances représentatives du personnel.

Le journal Les Echos avait estimé fin décembre qu’une fusion Fimat-Calyon Financial donnerait naissance au troisième acteur mondial de la compensation sur les marchés dérivés après UBS et Goldman Sachs, et au deuxième pour l’exécution d’ordres, après Man Group, avec un chiffre d’affaires cumulé d’environ 1 milliard d’euros.

Les deux groupes se sont refusés à l’heure actuelle à commenter ces chiffres.

Pour rappel, Calyon est la banque de financement et d

(10 commentaires)

  1. Selon Reuters, les filiales de courtage sur futures et options de la Société Générale et du Crédit Agricole sont en discussions « avancées » et d’ici à la fin de la semaine le rapprochement entre Fimat et Calyon Financial pourrait être bouclé.
    Selon une source de l’agence, un mariage entre les deux courtiers se ferait entre égaux, Calyon apportant un complément en cash dans la corbeille, Fimat compte 1500 salariés, contre 750 pour Calyon Financial.
    Fimat a en effet développé une activité importante dans les services aux hedge funds, notamment celui de « prime broker », chargé notamment du courtage des ordres et de la liquidité du marché.Sur les 9 premiers mois de l’année 2006, le Groupe Fimat a atteint une part de marché mondiale de 6,4% sur les principales bourses de produits dérivés dont la société et ses filiales sont membres.
    Ce projet intervient alors que le mouvement de concentration dans le secteur du courtage de dérivés s’est accéléré depuis la faillite d’un géant du secteur, l’américain Refco, et son rachat l’an dernier par MAN Financial.
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  2. Barclays discuterait avec ABN Amro d’une fusion à 80 milliards de livres
    La troisième banque britannique Barclays a proposé à la banque néerlandaise ABN Amro d’être son chevalier blanc face aux récents assauts de plusieurs sociétés d’investissements, lui offrant un mariage à 80 milliards de livres qui en ferait la plus importante fusion bancaire transfrontière en Europe, selon plusieurs journaux britanniques.
    Le Sunday Telegraph et le Sunday Times précisent que les discussions n’en sont qu’à un stade « préliminaire ». Elles auraient débuté au cours du mois écoulé, selon le Telegraph.
    Ce mariage à 80 milliards de livres (116,78 milliards d’euros) donnerait naissance à un mastodonte qui serait numéro deux en Grande-Bretagne (doublant Royal Bank of Scotland, RBS) et serait un « sérieux rival » pour les deux géants mondiaux, sa compatriote HSBC et l’américain Citigroup, a souligné le Sunday Times.
    Selon lui, le nouveau groupe aurait 47 millions de clients et plus de 220.000 employés. Barclays est présent dans 50 pays et ABN Amro dans 53, a-t-il précisé.
    Les deux banques avaient, selon les journaux, déjà discuté « sérieusement » d’un mariage il y a deux ans mais le projet n’avait pas abouti car, a fait valoir le Sunday Telegraph, le patron de la banque néerlandaise Rijkman Groenink « ne voulait pas céder le contrôle ».
    Fin février, le fonds d’investissements britannique The Children’s Investment Fund (TCI), affirmant détenir un peu plus de 1% du capital d’ABN Amro, a écrit aux dirigeants du groupe leur demandant de se séparer de certains de ses actifs voire de la totalité de la banque car il estimait le titre sous-valorisé. Le fonds Toscafund aurait fait la même requête.
    Barclays, se considérant comme un « partenaire de choix », s’est ouvertement présenté à ABN Amro comme un « chevalier blanc », précisent les deux journaux

  3. ABN Amro aurait été approchée par plusieurs grandes banques
    La banque néerlandaise ABN Amro a été approchée par plusieurs établissements concurrents en vue d’une prise de contrôle ou du rachat d’une partie de ses actifs à la suite des demandes de démantèlement manifestées par l’un des ses actionnaires, le hedge fund TCI, ont confié à Reuters des sources proches du dossier.
    La britannique Barclays, la néerlandaise ING, l’espagnole BBVA et la française BNP Paribas ont fait état de leur intérêt, soit directement, soit par l’intermédiaire d’établissements conseil, afin de soumettre des offres sur la totalité du périmètre d’ABN Amro ou sur certains actifs situés l’international, ont précisé les sources.
    ABN Amro est présent dans la banque de détail en Amérique du nord, au Brésil et en Italie.
    « Le monde entier a approché ABN Amro à la suite des demandes de TCI », a indiqué l’une des sources.
    Une autre source a souligné que la banque néerlandaise n’avait pas encore pris de décision et qu’un arbitrage ne serait probablement pas rendu avant une réunion des actionnaires prévue le mois prochain, à moins qu’entre temps, une proposition irrésistible lui soit faite.
    Plusieurs journaux britanniques ont rapporté dimanche que Barclays était en discussions avec ABN Amro en vue d’une fusion.
    TCI milite depuis plusieurs semaines pour un démantèlement d’ABN Amro qu’il juge notoirement sous évaluée et a invité la direction à céder des actifs ou à examiner une vente totale de l’établissement.

  4. Les rumeurs sur un rapprochement entre la Société Générale et Unicredit se précisent. Daniel Bouton aurait rencontré son homologue italien Alessandro Profumo.
    La Société Générale est une proie de choix en Europe et Unicredito cherche des alliances. Mais BNP Paribas reste, elle aussi, très intéressée par la SG.
    Entre les deux, c`est la première qui a le plus de sens puisque les deux groupes sont bien complémentaires.
    La Société Générale est une banque très diversifiée et détient un réseau bien implanté, avec en plus des activités marché importantes.
    Une chose est sûre: la SG aura du mal à rester seule, surtout après que BNP Paribas a déjà mis les pieds en Italie.
    De toute façon, tôt ou tard, elle aura besoin de s`allier.
    On assiste à une consolidation du secteur, notamment avec la probable fusion ABN-Barclays. HSBC aurait voulu rafler la mise d`un commun accord avec ABN. BNP, aussi, lorgnait une partie de la banque néerlandaise.
    Le secteur est en ébullition, une ébullition qui s`est d`abord traduite par des concentrations nationales puis s`oriente, maintenant, vers des fusions transfrontalières.
    Si elles ont un temps été propres au secteur, les fusions-acquisitions sont désormais dans l`ère du temps, et ce pour tous .
    UniCredit s’est refusé à nouveau au moindre commentaire sur les rumeurs persistantes d’offres sur la Société générale, qui ont propulsé l’action de la banque française à de nouveaux plus hauts vendredi matin.
    La Société générale s’est refusée pareillement à tout commentaire sur ces rumeurs, déclenchées mardi par un article du journal italien Finanza & Mercati et relancées vendredi par le quotidien allemand Handelsblatt.
    Vers 11h50, l’action Société générale bondit de 5,03% à 152,04 euros. Le secteur bancaire européen est en ébullition depuis l’annonce fin mars des pourparlers entre ABN Amro et Barclays et la Société générale a été une des principales banques à profiter de cette situation, son action gagnant près de 20% depuis début avril.
    Selon des traders, une rumeur fait état d’une offre imminente d’UniCredit à 160 euros par action sur la Société générale.
    D’autres rumeurs, jugées peu crédibles, indiquent que le CECEI, l’organisme régulateur des banques françaises, tiendrait une réunion extraordinaire sur le sujet. Aucun commentaire n’a pu être obtenu à la Banque de France, dont dépend le CECEI.

  5. L’offre de rachat du groupe financier néerlandais ABN Amro par la banque britannique Barclays est la plus grande fusion jamais réalisée dans le secteur bancaire. Le nouveau groupe se hisse au deuxième rang européen.
    «Pour Barclays, c’est un grand pas en avant, mais pour ABN Amro, c’est la fin», a simplement constaté Michel van der Stee, un expert financier de la banque Van Lanschot. A l’annonce de 12 800 suppressions d’emplois et de 10 800 postes délocalisés, sur des effectifs totaux de 228 000 personnes, les syndicats néerlandais ont juste légèrement tiqué. Le grand patron a aussi insisté sur le fait que la nouvelle entité, qui sera britannique mais aura son siège à Amsterdam, «conservera son caractère néerlandais».
    http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/249528.FR.php

  6. Royal Bank of Scotland, Santander et Fortis lancent une surenchère sur ABN Amro
    Royal Bank of Scotland (RBS) ne laissera pas ABN Amro lui échapper sans se battre.
    Mercredi 25 avril, la banque écossaise a fait savoir qu’avec ses partenaires, l’espagnol Santander et le belgo-néerlandais Fortis, elle proposerait aux actionnaires de sa concurrente néerlandaise de surenchérir sur l’offre de Barclays. Elle devrait rencontrer rapidement les dirigeants d’ABN Amro pour leur faire part de ses propositions.
    Le consortium emmené par RBS a indiqué qu’il paierait un montant « supérieur de 13 % à la valeur de l’offre de Barclays à la clôture de la Bourse mardi ». L’offre est exprimée à 70 % en numéraire et à 30 % en actions RBS. Elle valorise ABN Amro à 72 milliards d’euros.
    Lundi, Barclays et ABN Amro avaient présenté leur contrat de mariage : un échange de titres qui valorisait la banque néerlandaise à 67 milliards d’euros. Les deux partenaires avaient également annoncé que la filiale d’ABN Amro aux Etats-Unis, la banque LaSalle, allait être vendue à Bank of America pour 21 milliards de dollars (15,5 milliards d’euros).
    Une cession qui, pensaient-ils, allait mettre un terme aux ardeurs de RBS. Car la banque écossaise, dont on savait qu’elle étudiait le dossier, avait un intérêt très marqué justement pour les activités américaines d’ABN Amro.
    Les autorités politiques et la banque centrale néerlandaises, qui redoutaient qu’une vente à RBS ne se traduise par un dépeçage d’ABN Amro, avaient de leur côté béni le projet établi avec Barclays. Dans ce contexte, le marché avait donné Barclays gagnant et n’imaginait pas RBS repartir dans la course.
    C’était négliger la volonté de la banque écossaise et de ses partenaires. Leurs banquiers et juristes ont épluché le document envoyé à la SEC, le régulateur américain, qui détaille les conditions de la vente de LaSalle à Bank of America. Et en ont déduit « qu’elle peut être annulée si l’on fait une offre », explique Santander.
    C’était aussi négliger l’exaspération de TCI, un fonds activiste qui détient 3 % d’ABN Amro et qui veut valoriser le mieux possible sa participation dans la banque néerlandaise. Depuis le début des manoeuvres autour d’ABN Amro, TCI veut susciter plusieurs offres. Mardi, dans la foulée de l’annonce du mariage entre Barclays et ABN Amro, il a exprimé son mécontentement face à la « vente pré-acceptée » de LaSalle à Bank of America, qui, parce qu’elle représente moins d’un tiers des actifs d’ABN Amro, ne nécessite pas l’approbation des actionnaires. TCI craint qu’elle « n’entrave de manière injuste le consortium ». Et compte faire valoir son point de vue lors de l’assemblée générale d’ABN Amro prévue jeudi.
    Mercredi, dans un communiqué, TCI a salué « l’offre convaincante » de RBS. Le fonds a demandé à ABN Amro « de mettre fin à la vente de LaSalle ». Et estimé que la direction d’ANB Amro « devait laisser au consortium le plein accès à ses livres de comptes immédiatement », ce que l’accord avec Barclays l’empêche en théorie de faire pour l’instant. Pour conclure, TCI demande à la banque néerlandaise de « recommander cette offre ».
    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3234,36-901610@51-885055,0.html

  7. Le consortium mené par RBS lance une OPA sur la filiale américaine d’ABN Amro
    Un consortium mené par la Royal Bank of Scotland (RBS) a lancé samedi une offre d’achat sur la filiale américaine de la banque néerlandaise ABN Amro, LaSalle, s’élevant à 22 milliards de dollars (16,2 milliards d’euros), selon un quotidien britannique.
    Des représentants du groupe mené par RBS et d’ABN Amro ont discuté des dispositions d’un éventuel rachat durant la journée de samedi. LaSalle fait déjà l’objet d’une offre de 21 milliards de dollars (15,5 milliards d’euros) de la part de la Bank of America.
    Le montant de la nouvelle offre a été rapporté par le « Sunday Telegraph », alors que le « Wall Street Journal » publiait une estimation plus élevée samedi soir sur son site Web, à savoir 24,5 milliards de dollars (18,1 milliards d’euros).
    La maison mère, ABN Amro, étudie actuellement des OPA formulées par Barclays (91,2 milliards de dollars; 67 milliards d’euros) et le consortium mené par RBS (98,5 milliards de dollars; 72,2 milliards d’euros). L’une comme l’autre, si elle était acceptée, mènerait au plus important rachat de tous les temps dans le secteur bancaire.
    Selon les analystes, l’acquéreur de LaSalle serait en position d’arbitrer la fusion impliquant l’empire européen d’ABN.
    Vendredi, Bank of America a tenté de décourager le consortium RBS en intentant un procès contre ABN Amro devant un tribunal de New York, exigeant que son offre soit acceptée.
    Les partenaires de RBS au sein du consortium sont la Banco Santander (Espagne) et la compagnie belgo-néerlandaise Fortis.
    http://www.latribune.fr/info/Le-consortium-mene-par-RBS-lance-une-OPA-sur-la-filiale-americaine-d-ABN-Amro-~-AP-ABN-AMRO-RBS-$Db=News/News.nsf-$Channel=Economie-$SubChannel=France

  8. Capitalia et UniCredit se prononcent sur leur fusion pour créer un géant de la banque
    Les conseils d’administration des banques italiennes Unicredit, et Capitalia étaient appelés, dimanche 20 mai, à se prononcer sur leur fusion. Elle permettrait à la nouvelle entité de détrôner BNP-Paribas comme premier établissement de la zone euro, et de devenir l’un des huit premiers au monde, avec près de 100 milliards d’euros de capitalisation boursière.
    Unicredit, premier groupe bancaire italien, compte absorber son concurrent Capitalia par échange de titres. Les analystes s’attendent à ce que l’offre n’intègre, au mieux, qu’une prime symbolique par raport au cours de Bourse actuel de Capitalia.
    Le rapprochement des deux groupes marquerait l’une des dernières grandes étapes de la consolidation au pas de charge du secteur bancaire italien, entamée il y a maintenant deux ans. Capitalia, considérée comme l’une des dernières cibles potentielles de taille, permettrait à UniCredit, quatre fois plus grosse qu’elle, de porter à environ 16 % sa part de marché en Italie, et donc de rivaliser avec l’actuel numéro un et quatrième banque de la zone euro, Intesa Sanpaolo. « Nous avons désormais deux grandes banques européennes et j’espère qu’elles pourront soutenir les entreprises italiennes dans le monde entier. Il s’agit d’un renforcement positif pour le pays », a commenté dès vendredi le chef du gouvernement italien, Romano Prodi.
    POSSIBLE RAPPROCHEMENT AVEC LA SOCI

  9. Malgré sa solidité, le réseau français devra nouer des alliances
    Quel avenir pour les banques françaises ? Considéré comme « l’un des plus solides au monde » par l’agence de notation américaine Standard & Poor’s, le secteur bancaire français est aussi l’un des plus concentrés.
    Sept grands réseaux – dont quatre mutualistes (Crédit agricole, Caisses d’épargne, Banques populaires et Crédit mutuel), deux capitalistes (BNP Paribas et Société générale) et le dernier, public (La Poste) – se partagent les trois quarts de l’activité bancaire de dépôts et de crédits. Pour maintenir un niveau de concurrence suffisant, des rapprochements à l’étranger s’imposent.
    Plus avancées que leurs rivales mutualistes dans leur internationalisation, BNP Paribas et la Société générale (SG) entendent jouer un rôle moteur dans la recomposition européenne. La première en confortant son statut d’entreprise binationale, acquis grâce au rachat de la banque italienne BNL, en 2006 ; la seconde en se renforçant dans les pays de l’Est, à la faveur d’acquisitions ciblées.
    Cependant, même si BNP Paribas semble plus à l’abri d’une éventuelle OPA (offre publique d’achat) que la SG, grâce à sa valeur boursière très supérieure, ni l’une ni l’autre ne peuvent faire l’économie d’une réflexion sur un mariage avec un partenaire étranger.
    « LA COURSE

  10. BFI : Société Générale et Crédit Agricole s’allieraient
    Les deux banques envisageraient un rapprochement de leurs activités de banque de financement et d’investissement. Les deux actions grimpent à la Bourse de Paris.
    Crédit Agricole et Société Générale figurent parmi les plus fortes hausses du CAC 40 lundi après une information de La Lettre de L’Expansion évoquant une possible co-entreprise entre les deux banques dans l’activité de banque de financement et d’investissement (BFI).
    Pour Annelot Huijgen, spécialiste au Journal des Finances de la banque, «le rapprochement aurait un sens mais il y a encore du chemin à faire».
    «La difficulté d’exécution d’un tel schéma pourrait le faire échouer», souligne toutefois la publication hebdomadaire, qui cite la nécessité de renégocier l’ensemble des contrats, le fait que les activités de BFI de Société Générale ne soient pas filialisées et celui que les discussions ne concerneraient que la partie marché des activités de Calyon, la branche de banque d’investissement de Crédit Agricole.
    Société Générale et Crédit Agricole, en tête des hausses du CAC 40
    Peu avant la mi-séance, le titre de la banque verte avance de 2,83% et celui de Société Générale gagne 2,85% tandis que le CAC 40 est en hausse de 0,17% à 3.827 points, soit les deux plus fortes hausses de l’indice parisien.
    Les deux banques, déjà associées au travers de leurs filiales communes Amundi et Newedge, ont cependant écarté l’idée d’une fusion totale entre les deux groupes.
    La Société Générale n’a pas souhaité commenter l’information et personne n’était joignable au Crédit Agricole dans l’immédiat.
    En octobre dernier, Société Générale et Crédit Agricole avaient démenti vouloir se rapprocher.
    http://www.lefigaro.fr/societes/2010/01/25/04015-20100125ARTFIG00515-bfi-societe-generale-et-credit-agricole-s-allieraient-.php

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