Lors du débat télévisé du 2 mai, tant attendu, le candidat UMP, Nicolas Sarkozy a réitéré son opposition à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne, tandis que Ségolène Royal demandait de ne pas lui claquer la porte au nez.
Nicolas Sarkozy resterait-il ainsi avant tout fidèle aux positions de son conseiller politique Patrick Devedjian qui milite contre l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne ?
Quand on voit l’importance colossale de ce pays à la frontière entre Orient et Occident, et notamment son poids stratégique sur le transit des hydrocarbures, la position très ferme du candidat UMP laisse pour le moins à réfléchir.
« Il y a des forces démocratiques en mouvement en Turquie qui ont besoin d’être consolidées », a déclaré la candidate socialiste lors de leur débat télévisé.
« Par rapport à un peuple, par rapport à un grand peuple, il y a une aspiration, peut-être, à rejoindre l’Europe (…) Ne claquez pas la porte parce que je pense que c’est dangereux pour l’équilibre du monde« , a-t-elle dit à son adversaire de l’UMP.
« Quand bien même c’est un pays laïc, il est en Asie mineure », a affirmé Nicolas Sarkozy. « Je n’expliquerai pas aux écoliers français que les frontières de l’Europe sont avec l’Irak et la Syrie. Quand on aura fait du Kurdistan un problème européen, on n’aura pas fait avancer les choses », a-t-il dit.
« Je veux une Europe qui ait une existence politique, et qui ait une identité, et par conséquent une Europe qui ait des frontières. Je veux une Europe où tous les pays du monde, fussent-ils démocratiques, n
Tony Blair croit à l’avenir démocratique de la Turquie
le 03-05-2007 10:36 | émis par : Premier Ministre du Royaume Uni
Dans le contexte agité de l
Devedjian ne devrait pas donner son avis sur l’entrée de la turquie puisqu’il ne peut pas être objectif à cause de ses origines, il représente le lobby arménéen en europe. Il utilise des arguments démocratique pour cracher sa haine de la turquie
et vl’an :
La Turquie signe un contrat d’achat de 30 chasseurs F-16
Vendredi 11 mai, 17h09
ANKARA (Reuters) – La Turquie, pays membre de l’Otan, a conclu un contrat d’un montant de 1,78 milliard de dollars portant sur l’achat de 30 chasseurs F-16 à l’avionneur américain Lockheed Martin, dans le cadre d’un ambitieux programme de modernisation de ses forces armées.
En vertu du contrat, les avions seront fabriqués, montés, testés et livrés par la compagnie turque Tusas à Ankara, a déclaré le ministre turc de la Défense, Vecdi Gonul.
« Grâce à ce projet, des ingénieurs, des techniciens et des ouvriers turcs auront de nouvelles possibilités d’emploi et cela compensera une partie du prix d’achat des 30 appareils », a dit Gonul au cours de la conférence de presse consécutive à la signature des contrats.
L’ambassadeur des Etats-Unis en Turquie, Ross Wilson, a déclaré voir dans ce contrat un exemple de coopération étroite entre les deux pays.
La Turquie compte la deuxième armée de l’Otan après celle des Etats-Unis.
Lockheed Martin est le principal fournisseur du Pentagone.