Cambre toi, fier si courbe…

Courbe_immo_2Beaucoup de gens attendent un retour à la normale.
Tout en situant cette norme aux années 1990.
On s’aperçoit que la dépression immobilières des années 1990, finalement, sur longue période était pas si déprimée que cela.
Et que dans la courbe existe des années encore plus déprimées.
Crise bancaire, démographie, pas de crédit, épargne évanouie, l’entre deux guerre montre un paysage immobilier ravagé.

Hier, je rencontre un ami, devant une agence immobilière, au courant de la crise, il met en vente. Un prix qui correspond à ce que l’on voit dans les agences.
Prix plus frais de notaires : 240 000 zeuros. Valeur locative mensuelle : 600 euros. 7200 à l’année. taux d’intérêt brut : 3 %. moins qu’un carnet de caisse d’épargne, en net, on atteint même le négatif. rien que l’amortissement 240 000/50 = 4800. Bien sur, il y a les impôts, et les intérêts.
120 000 serait il plus judicieux ? 7200 – 2400 = 4800, et les intérêts en moins, on est toujours dans le cadre d’un investissement négatif.
80 000 ? 7200 toujours de valeur locative. Amortissements de 1600 euros. Intérêts à déduire. On la le rendement d’un carnet de caisse d’épargne, sans la disponibilité qui va avec.
Pour un rendement correct ?
On peut parler à partir de 60 000 zeuros. Mais même à ce tarif, c’est honnête sans être mirobolant. Au mieux du 5 %…
Cela, en admettant que les loyers se maintiennent…
Le potentiel de baisse, on le voit est énorme…