Ce matin, je me suis dit : la bulle éclate (et bien !) sous nos yeux, on se doute que l’immobilier connaît actuellement un ralentissement notable dans tous les pays affectés par la bulle, et aux dernières nouvelles même à Paris les prix n’augmentent plus (voir l’article suivant). Alors, puisque la bulle éclate, j’ai voulu décrocher de l’immobilier et lire de la presse « légère ». Bref, me distraire.
Je ne suis pas fan de la presse people potins, mais à une séance de Paris-Match je ne dis pas non ! Et qu’est-ce que je découvre on line sur le site de Paris Match ? Une interview… Source : Paris Match, Le diagnostic réservé du docteur Greenspan
…d’Alan Greenspan himself !
« Ses paroles valent de l
A propos de greenspan.. dans une interview il disait que la croissance excessive des prix de l’immobilier aux U.S. n’est rien comparé a des pays comme L’Irlande, le Royaume Unis, Espagne, Australie etc… etc… Et il ne serait pas etonné de voir un retournement plutot tot que tard.
Il a aussi essuyer les critiques qui disait que la bulle aux Etas Unis etait du au fait que les taux ont ete trop bas et trop longtemps… pour se justifier il a dit comment expliquer vous que la bulle est mondiale et non limité aux Etas Unis …
Trop forts les américains qui se font financer leurs dettes par le reste du monde
Tu as une maison à 45 000 $. Tu ne peux plus la payer. Tu te mets en faillite personnelle.
Elle est remise sur le marché.
Personne n
Encore un bel article sur LesEchos. L’idée émise par l’auteur est assez simple, et c’est pour lui la récession pour 2008 !!!
Ce qui est amusant, c’est que dés début 2006, nous, qui sommes de simple gens ne connaissonsant pas grand chose à la finance, avions présenti cet enchainement : bulle et crise immo, suivie d’une recession.
JEAN-MARC VITTORI
Aux Etats-Unis, les chasseurs auront du mal à tuer la récession
[ 21/09/07 ]
La saison de la chasse à la récession vient d’ouvrir aux Etats-Unis. Mardi, la Réserve fédérale des Etats-Unis a tiré deux cartouches d’un coup pour tenter d’abattre la bête immonde qui avait disparu de son écran radar depuis plus de trois ans. Elle a baissé son principal taux d’intérêt de 0,5 %, alors que la plupart des observateurs s’attendaient à une diminution de 0,25 %. La banque centrale ne parle, certes pas, de récession (les Anglo-Saxons hésitent toujours à nommer leurs angoisses, comme Harry Potter avec le grand méchant Voldemort). Mais si le mot, désormais dans toutes les têtes, entre dans la vie de tous les jours, les Américains ne seront pas les seuls concernés. Les Chinois, les Russes et les Français le seront aussi, tant les Etats-Unis sont devenus, ces dernières années, les « importateurs de dernier ressort ».
C’est bien sûr la crise de l’immobilier qui a fait sortir le monstre du bois. Ce mouvement-là était visible depuis longtemps. Amorcé dès 2005, le retournement a diffusé pleinement ses effets cette année. Il a ralenti de plus de 1 % la croissance américaine, passée d’une pente annuelle de 3,2 % mi-2006 à moins de 2 % mi-2007. Les prévisionnistes qui annonçaient, il y a à peine quelques mois, la fin de la crise pour l’été se cachent sous terre. La surproduction est massive. Il y a 5 millions de maisons à vendre aux Etats-Unis, deux fois plus que la moyenne de long terme. La construction de logements neufs a chuté de près de 40 % en dix-huit mois. Les entreprises de BTP licencient après avoir achevé les chantiers en cours. La courbe de la hausse des prix s’est, elle aussi, retournée et l’indice S&P Case Shiller, considéré comme le plus significatif, indique désormais une baisse.
L’immobilier est devenu un drame pour des millions d’Américains. 15 % des foyers les moins solvables, ceux qui ont recouru aux fameux prêts « subprime », ne parviennent plus à les rembourser. 5 % d’entre eux ont fait faillite au printemps. Et ce n’est pas fini. Pour convaincre des emprunteurs naïfs, les « brokers », qui touchent une commission chaque fois qu’ils casent un prêt, ont vendu des pétards qui vont continuer d’exploser dans les prochains mois : des crédits à taux d’intérêt variable, qui commencent à 1 % avant de s’aligner brutalement sur les taux du marché. Ou pire encore, des taux qui montent progressivement de 1 à 10 %. De quoi faire doubler les mensualités ou presque.
La montée des défauts de remboursement a fait craquer la finance, d’autant plus facilement que nombre d’établissements puisaient leurs ressources dans des conditions acrobatiques. En avril, le numéro deux du « subprime », New Century, a fait faillite. Sur l’ensemble du deuxième trimestre, 824 institutions financières étaient en déficit, soit 10 % de celles suivies par le FDIC (Federal Deposit Insurance Corporation). Les licenciements s’accumulent. En août, American Home Mortgage, qui fut numéro dix du crédit à l’habitat, a déposé le bilan. Countrywide, le leader américain du prêt immobilier, tire sur une ligne de crédit de plus de 10 milliards de dollars pour éviter l’asphyxie. Dès lors, les banquiers, inquiets, ferment le robinet. Les ménages américains qui avaient pris l’habitude d’emprunter sur la valeur de leur logement, pour consommer ou rééchelonner un prêt devenu trop lourd, se retrouvent à sec.
Les Américains ont d’autres raisons de calmer leurs dépenses, comme leurs achats d’automobiles, qui ont chuté de 10 % en un an. Le chômage remonte. Certes, la hausse est, pour l’instant, limitée. La proportion d’actifs sans emploi est passée du creux de 4,4 % en mars à 4,6 % en août, un niveau qui ferait rêver en France. Mais le taux aurait été de 4,9 % si 340.000 Américains n’étaient pas sortis de la population active en août, un chiffre très élevé qui reflète la difficulté à trouver un emploi. Le taux d’emploi (c’est-à-dire la proportion d’actifs parmi la population en âge de travailler), lui, chute depuis le début de l’année. Selon les économistes de Merrill Lynch, une remontée du taux de chômage de 0,5 % a toujours annoncé une récession, tout comme une baisse sensible du taux d’emploi.
Les entreprises auront du mal à dégainer pour sauver la croissance. Elles ont beaucoup fait appel à l’emprunt pour financer leurs investissements ces derniers mois. La fermeture brutale du robinet du crédit va fatalement les toucher, et pas seulement pour les financements de rachats d’entreprise (qui devraient absorber à eux seuls 300 milliards de dollars dans les prochains mois). Elles hésiteront à puiser massivement dans leurs profits, restés plantureux, pour accroître leurs investissements. A en croire les estimations de la banque d’affaires Morgan Stanley, leurs dépenses d’équipement pourraient croître d’à peine 1 % cette année, et de moins de 3 ù l’an prochain.
En revanche, le fusil du commerce extérieur semble en état de marche. A court terme, les pays d’Asie en plein boom ne semblent guère concernés par le ralentissement américain. La Banque asiatique de développement a relevé sa prévision 2007 de croissance pour les pays émergents de la région de 7,6 % à 8,3 %. L’Europe va moins mal que naguère. Les échanges stimulent désormais la croissance des Etats-Unis. En un an, les importations ont augmenté de 15 % (chiffres de juillet à juillet), trois fois plus vite que les exportations. Le déficit courant diminue. Mais l’Amérique n’est pas l’Allemagne. Les exportations font à peine plus du dixième de sa production. A elles seules, elles ne suffiront pas à achever la bête récessionniste.
Restent alors les armes publiques. La Réserve fédérale vient de tirer deux coups avec le revolver monétaire. Mais elle a moins de cartouches que la dernière fois. Du début 2001 jusqu’à la mi-2003, elle a abaissé son taux d’intérêt directeur de 6,5 % à 1 %. Cette fois-ci, elle est partie de moins haut – son taux a culminé à 5,25 %. Et elle hésitera davantage à baisser ses taux, car les pressions inflationnistes sont plus fortes qu’au début du siècle. George W. Bush peut, lui, employer la carabine budgétaire. Mais il a aussi moins de cartouches. En 2001, le budget était en excédent de 130 milliards de dollars. Cette année, il est déjà en déficit de 160 milliards de dollars. Si l’irruption de la récession dans la forêt économique américaine au cours de l’année à venir n’est pas encore certaine, sa probabilité dépasse sans doute les 50 %. Certes, la grande majorité des prévisionnistes prévoient encore l’expansion. Mais ils n’ont jamais été capables de prévoir une récession.
JEAN-MARC VITTORI
Stop à la désinformation
Certains disent que les prix ont chuté de l
Quel modèle de retournement pour la France
Nous sommes en phase de retournement du marché immobilier. Et la vraie question est de savoir quel type de retournement :
– Un retournement comme celui durant les années 93 à 95 (- 40 % en moins de 3 ans suivi d
les modeles possibles :
en fait ils sont tous possible et cela depends de l’inflation/confiance de menage/recession/demographie/croissance asiatique/tension geopolitique/politique/etc….
1-
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1997¨¨¨¨¨¨¨2008 (20%-30%)
2-
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1997 ¨¨¨¨¨¨2020 (50%)
3-
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1997¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨2020
4-
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1997¨¨¨¨2009 (4%)¨¨¨¨2011 (4%)
5-
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Ca c’est un modèle :-> perte de 100%
la messe est dite plus rien a rajouter . 300 milliards de sauves , rien du tout comparee aux 6 000 milliards injectes dans les credits .
@ « Stop à la désinformation » :
Tu m’amuses quand tu dis « Je dis non, ce ne sont pas les prix qui ont chuté, ce sont les vendeurs qui ont fait des offres promotionnelles. Ce n
Les difficultés du marché de l
Mais non Benjamin,
c’est juste une forme d’humour (fin du texte avec LOOOL)
Bien sûr que les prix ont fortement chuté entre 93 et 95( -40% en moins de 3 ans).
Mais bon, s’il n’est plus possible de plaisanter du manque de réalisme des vendeurs en attente d’un hypothétique rebond, et de la situation très critique des banques (trop cupides pour ne pas s’arrêter avant de dépasser le seuil critique) alors ..
« A propos de greenspan.. dans une interview il disait que la croissance excessive des prix de l’immobilier aux U.S. n’est rien comparé a des pays comme L’Irlande, le Royaume Unis, Espagne, Australie etc… etc… Et il ne serait pas etonné de voir un retournement plutot tot que tard. »
Je m’en souviens très bien Dum, de cette interview ; et en effet il avait insisté sur la bulle en Irlande.
Il est de mauvaise foi je trouve. Il dit « ailleurs il y a bulle aussi ».
Mais ce qu’il oublie de dire c’est que le monde entier suit ce que fait la FED. Et que Trichet y fait ses classes.
L’argent pas cher aux USA et gratuit au Japon a mis la pression, à la baisse sur le reste du monde.
Bush dit son désaccord avec Greenspan et défend son bilan
http://www.cyberpresse.ca/article/20070919/CPMONDE/70919034/6644/CPMONDE
George W. Bush a exprimé mardi son désaccord avec l’ex-chef de la Banque centrale américaine Alan Greenspan et a défendu son action économique contre les critiques de celui-ci sur l’absence de rigueur budgétaire du président et de ses amis républicains.
Il n’y va pas de main morte !
Dans ses Mémoires, Alan Greenspan vilipende George W. Bush et le Parti républicain
« Ma plus grande frustration est restée le refus du président d’opposer son veto contre des dépenses incontrôlées », écrit-il.
Le président Bush a pris ses fonctions en 2001, la dernière année où le gouvernement est parvenu à enregistrer un excédent budgétaire. Son administration a depuis baissé les impôts et augmenté les dépenses, notamment pour financer la lutte contre le terrorisme.
L’ancien président de la « Fed » est également peu amène avec son propre parti, la Parti républicain, qu’il accuse d’avoir troqué ses convictions politiques pour le pouvoir.
D’apres greenspan:
– la bulle immobilier est mondiale, réel
– elle a été initialiser par la fin de la guerre froide:
*des millions de travailleurs ex-economie planifié (Chine, Inde, Pays de l’est) entrainant la chute des salaires, des prix ..et de l’inflation
*a forcé les taux d’interets court et long a atteindre des niveaux tres bas
*la FED, ECB etc…ne pouvait rien faire car on peut pas lutter contre ces forces internationales.
Bref Cette force commence a se dissiper, elle est deja pour les pays d’europe de l’est , elle le commence pour l’inde et la chine.
Donc les prix de l’immobilier vont se reajuster sur le court et long terme ..impliquant les scenarios 1 – 2 (voir plus haut)
une reference:
http://www.youtube.com/watch?v=yU4WjhijOMY
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