Il y a quelques années, une rolls royce du chauffage, en chaudière fioul coutait 30 000 francs.
Aujourd’hui, la pas rolls royce du chauffage écolo coûte 15 000 zeuros.
Marque inconnue, achetée 7000, revendue, grâce aux primes plus du double (merci petit papa Woerth), posé par des entreprises qui ne savent faire que ça (c’est très frustre et vite fait), la qualité, elle, coûte souvent moins cher.
Mais les entreprises qui agissent ainsi ont toutes le même schéma : prise de RV téléphonique, vente et pose à la hussarde (et plus tard, dépôt de bilan express).
Cette pratique concerne souvent les maisons d’un certain âge, en proie au problème du renouvellement du matériel, mais qu’en est il pour les nouvelles constructions ?
68 % des personnes ayant fait construire voudraient une solution géothermie/solaire/pac, mais seulement deux ménages sur dix y font appel, pour des raisons de coût, 51 font appel à l’électrique et le gaz/fioul/bois s’adjuge encore 22 %.
Les préoccupations immédiates de coût relégue au deuxième plan les motivations environnementales et d’économies à plus long terme.
Le chauffage électrique devient prépondérant et écrasant chez les constructeurs. (70 %).
Ce sont les habitudes de constructions qui prédétermine les pratiques professionnelles, et par contrecoup, les choix des clients…