Les banques se sont sans doute aperçues que récupérer leurs liquidités en catastrophe n’était pas aussi évident que ça dans un marché obligataire en crise. Elles gardent donc leurs liquidités pour des jours meilleurs.
C’est le besoin de récupérer ses billes rapidement qui a fait brader les obligations ces mois derniers.
La valeur intrinsèque de la signature du débiteur n’avait plus de valeur, seule la loi de l’offre et de la demande pesait sur les cours. Personne n’en voulait donc les prix ont baissé. Ce type de loi s’applique à tous les marchés, même l’immobilier.
En ce qui concerne l’industrie, fort heureusement les entreprises ont pas mal de cash et continuent d’engranger des profits, contrairement au années 2000. Elles n’ont que peu besoin des banques.
Contrairement à 2000, la bulle cette fois concerne les avoirs théoriquement peu risqués, tels que les obligations et l’immobilier, dont la valorisation a été amplifiée par la présence durable de taux d’intérêts bas.
Si les banques sont réticentes à remettre de l’argent au pot, c’est sans doute que leurs analystes ont enfin retiré leurs lunettes fumées pour les avertir des risques de ce type d’investissement.
Merci METEOR,
« Contrairement à 2000, la bulle cette fois concerne les avoirs théoriquement peu risqués, tels que les obligations et l’immobilier »
oui, mais certains ne le voient pas… on est pas face à la bulle internet, où la on a amplifiée du VENT.
Les banques se sont sans doute aperçues que récupérer leurs liquidités en catastrophe n’était pas aussi évident que ça dans un marché obligataire en crise. Elles gardent donc leurs liquidités pour des jours meilleurs.
C’est le besoin de récupérer ses billes rapidement qui a fait brader les obligations ces mois derniers.
La valeur intrinsèque de la signature du débiteur n’avait plus de valeur, seule la loi de l’offre et de la demande pesait sur les cours. Personne n’en voulait donc les prix ont baissé. Ce type de loi s’applique à tous les marchés, même l’immobilier.
En ce qui concerne l’industrie, fort heureusement les entreprises ont pas mal de cash et continuent d’engranger des profits, contrairement au années 2000. Elles n’ont que peu besoin des banques.
Contrairement à 2000, la bulle cette fois concerne les avoirs théoriquement peu risqués, tels que les obligations et l’immobilier, dont la valorisation a été amplifiée par la présence durable de taux d’intérêts bas.
Si les banques sont réticentes à remettre de l’argent au pot, c’est sans doute que leurs analystes ont enfin retiré leurs lunettes fumées pour les avertir des risques de ce type d’investissement.
Merci METEOR,
« Contrairement à 2000, la bulle cette fois concerne les avoirs théoriquement peu risqués, tels que les obligations et l’immobilier »
oui, mais certains ne le voient pas… on est pas face à la bulle internet, où la on a amplifiée du VENT.