Note du vendredi 18 javier, mise de coté pour des raisons techniques, et publiée après « enrichissement » ce dimanche.
Il est 13H00. Je vais la faire cette pause déjeuner, pour une fois, je vais lever le pied. Et la télé va disparaître de chez nous. On nous l’a prêté quelques semaines, je sens que ce week-end c’est plus fort que moi, et je vais m’en séparer. Alors profitons-en ! Suspens : vais-je réussir à passer 30 minutes sans entendre parler de l’immobilier ? Bien sûr que non ! Et on nous montre le siège du Crédit Foncier et on apprend que le pire prêteur à taux variable a été prié d’éviter d’étouffer les surendettés à taux variables, et que la banque gèle ses « prétentions » cad ses taux. Les mensualités vont désormais stagner pour leurs clients.
orEt voici ce que je vous rajoute à l’information :
Vous vous souvenez de ce que je vous ai toujours au sujet des banques ? J’avais compris, et le sénateur Karoutchi l’avait confirmé à mots couverts dans la presse qu’en cas de crise et de l’aggravation de la situation financière des surendettés, on sacrifiera les (bénéfices des) banques.
Et vous voyez, il a suffit d’une manifestation, que je vous ai montrée grâce à une vidéo que j’ai trouvée, pour que le gouvernement (qui d’autre ?) intervienne auprès du Crédit foncier et lui demande de tout mettre en place pour éviter un crise des Subprimes à la française. Je n’y étais pas, mais je parie que c’est comme ça que cela s’est passé. Au début, le Crédit foncier était très réticent à toute renégociation.
Mais on n’a pas voulu serrer les surendettés serrés encore plus. Et les taux ne progresseront pas pour ces empruteurs piégés.
On avait vu venir, je vous l’assure
FNAIM : après 140 % de hausse, l’immobilier baisse
Tous parlent de la baisse et la voient… (2/2)