Immobilier : en Irlande, il est en plein boom, comme l’économie

Cottage_irelandL’Expansion titre : « L’Irlande, jeune comme toujours, riche comme jamais’.

« Eldorado des biotechnologies, de l’informatique et de la pharmacie, le pays surfe sur une dynamique insolente. A tel point que sa jeunesse ne songe plus à chercher fortune ailleurs. » Les rues de Dblin commencent à ressembler à celles de New York, la Grande Pomme qui ne se couche jamais et les restaurants et pubs ne désemplissent pas. Le travail, même pour les littéraires, est « garanti », et les entreprises doivent se mettre en quatre pour garder leurs jeunes salariés.

« Quel que soit mon choix, j’aurai forcément un travail d’ici à la rentrée de septembre, dit-elle avec conviction. D’ailleurs, tous mes amis de la promotion précédente ont un emploi. » affirme une étudiante en lettres.

« Cette assurance paisible est la grande force de la nouvelle génération irlandaise, si l’on en croit David McWilliams, un rouquin pétillant au visage poupin, malgré ses 39 ans. Il vient de dresser le portrait de cette jeunesse qu’il a baptisée la « génération Jean Paul II », celle du baby-boom qui a suivi la visite du Saint-Père en Irlande, en 1979. Son livre, The Pope’s Children (« les enfants du pape »), publié avant Noël, est encore en tête des ventes. »

Et pour conclure, un chiffre qui nous intéresse tous, celui qui mesure la flambée de l’immobilier. Aux dernières nouvelles, selon The Economist, la hausse avait atteint 212%. Ici, elle a été évaluée à 180%, mais il semble que c’est un chiffre qui date de 18 mois qui a été cité, comme le prouve l’un de nos précédents articles : Bulle immobilière : les effrayants records mondiaux (1).

Le précédent tableau que The Economist avait publié il y a 18 mois-2 ans, faisait état d’une augmentation de 170-180%. Je pense que c’est ce chiffre que là qui a été cité.

« Pour l’instant, rien ne semble entamer l’optimisme des jeunes Irlandais. Pas même la flambée immobilière surréaliste (+ 180 % en dix ans !), ni l’endettement record des ménages qu’elle entraîne, ni la très grande dépendance de l’économie envers une poignée de multinationales qui représentent les deux tiers des exportations du pays. De temps à autre, il y a bien quelques rabat-joie pour prédire le pire. »

Source : L’Expansion, photo : www.cottages-ireland.com/

Bulle immobilière : les effrayants records mondiaux (1)

Bulle immobilière : les effrayants records mondiaux (2)