Ventes à la découpe : la ville de Paris s’en mêle

121212« 20 minutes » se penche sur ces victimes de la spéculation immobilière, alimentée par la bulle, que sont les locataires des ventes à la découpe. « Rue Stendhal, dans le 20ème, un immeuble construit il y a trente ans grâce au 1 % patronal a été racheté par le promoteur Nexity à l’expiration de la convention obligeant à louer à loyers modérés.

Après une lutte acharnée des locataires, la Ville est sur le point de racheter (l’immeuble). La loi Aurillac permettra aux locataires de se porter acquéreur avant la première revente en bloc de l’immeuble. Encore faut-il en avoir les moyens. » Comme les bâtiments achetés au prix fort dans le 92 pour en faire des crèches (achetés 8.000

Un commentaire

  1. On peut constater, encore une fois, l’incroyable timorité des pouvoirs publics lorsqu’il s’agit de ventes à la découpe.Plutôt que de dilapider les deniers publics, la ville de Paris pourrait frapper les ventes spéculatives d’une taxe dissuasive (alléguant la casse sociale qui résulte de ces procédés). J’avais suggérer cette piste il y a un an dans une lettre à Anne Hidalgo; la réponse qualifiait mon idée de « généreuse », d' »intéressante », mais comme toujours, devant les gros sous, une mairie même dite de « gauche » en est réduite à des soins palliatifs.

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