En attendant, pour contrer la crise américaine, une nouvelle perestroïka, on en est encore à la phase « Andropov », où l’ancien maitre du KGB et mentor de Gorbatchev faisait trembler la terre sur les périphéries de l’empire, en poursuivant les corrompus et les concussionnaires.
La banque UBS se voit réclamer 25 milliards de $ par la justice américaine et avec sa consoeur LGT, se voit impliqué dans une affaire d’évasion fiscale de 100 milliards par an.
« Aujourd’hui, les clients d’UBS se trouvent détenteurs de 25 milliards de dollars de titres illiquides de long terme, résultat de la conduite illégale et de la présentation frauduleuse de UBS « .
On ne peut que louer la sagacité d’UBS, recordman des pertes sur la crise subprime et, à l’heure actuelle,
dans le collimateur de la justice américaine pour un montant considérable et, pire, du fisc américain, pour un montant absolument délirant.
On rentre donc dans un autre monde, pour l’élite qui a fraudé aux USA.
Mentir est un crime très grave là-bas, mentir pour ses impôts, encore plus.
Al Capone tombât d’ailleurs pour… Fraude fiscale…
En attendant, les USA attaquent les paradis fiscaux à travers UBS et le secret bancaire.
Dans ce bras de fer, la banque suisse, très affaiblie, par ses pertes financières, de crédibilité, ne peut jouer qu’un temps très court, la montre.
Un des effets de cette crise sera donc de déclencher, à terme aux USA, une vague de poursuites fiscales, ciblée sur le 1 % le plus riche.
Jeudi 24 juillet 2008.
Nous voici donc dans la phase 2. Le banquier doit demander pardon au pouvoir politique qu’il considérait, il y a si peu de temps..;comme une quantité négligeable. En route pour la phase 3 qui devrait être une fantastique mise en scène du pouvoir en « action », la justice passera sera crié à tous. SAUF QUE, il faut de l’intelligence et un minimum de coupable/devoué. Là je m’interroge, l’air du temps a changé, on en est plus au bon vieux sacrifice pour « garantir l’ordre et la nation » qui était susurré à tout fils de bonne famille. La notion d’honneur est couplé à celle du devoir et d’un type identifié de morale. Vous voyez où je veux en venir? Dans cette gabegie, il n’y a pas le même ferment qui lie tout nos protagonistes. Chez eux aussi le « chacun sa mère et la thune pour moi-seul » a pris racine. Il va être difficile de monter la scène du « justice vient à nous » si aucun acteur ne veut jouer sa partie. Chez les suisses on doit se dire, « de toute façon qu’on y aille ou pas, c’est pareil au final, on à rien à craindre, c’est notre accord depuis toujours! ».
Voilà, à mon avis le catalyseur, du transvasement d’une crise économique affectant la société, à une crise sociale affectant le pouvoir général. Comme je l’ai déjà écrit, notre présent sera une mine de recherche pour les étudiants du futur, si il nous en reste un.(note de pessimisme volontairement excessive)
Nous voici donc dans la phase 2. Le banquier doit demander pardon au pouvoir politique qu’il considérait, il y a si peu de temps..;comme une quantité négligeable. En route pour la phase 3 qui devrait être une fantastique mise en scène du pouvoir en « action », la justice passera sera crié à tous. SAUF QUE, il faut de l’intelligence et un minimum de coupable/devoué. Là je m’interroge, l’air du temps a changé, on en est plus au bon vieux sacrifice pour « garantir l’ordre et la nation » qui était susurré à tout fils de bonne famille. La notion d’honneur est couplé à celle du devoir et d’un type identifié de morale. Vous voyez où je veux en venir? Dans cette gabegie, il n’y a pas le même ferment qui lie tout nos protagonistes. Chez eux aussi le « chacun sa mère et la thune pour moi-seul » a pris racine. Il va être difficile de monter la scène du « justice vient à nous » si aucun acteur ne veut jouer sa partie. Chez les suisses on doit se dire, « de toute façon qu’on y aille ou pas, c’est pareil au final, on à rien à craindre, c’est notre accord depuis toujours! ».
Voilà, à mon avis le catalyseur, du transvasement d’une crise économique affectant la société, à une crise sociale affectant le pouvoir général. Comme je l’ai déjà écrit, notre présent sera une mine de recherche pour les étudiants du futur, si il nous en reste un.(note de pessimisme volontairement excessive)
Nous voici donc dans la phase 2. Le banquier doit demander pardon au pouvoir politique qu’il considérait, il y a si peu de temps..;comme une quantité négligeable. En route pour la phase 3 qui devrait être une fantastique mise en scène du pouvoir en « action », la justice passera sera crié à tous. SAUF QUE, il faut de l’intelligence et un minimum de coupable/devoué. Là je m’interroge, l’air du temps a changé, on en est plus au bon vieux sacrifice pour « garantir l’ordre et la nation » qui était susurré à tout fils de bonne famille. La notion d’honneur est couplé à celle du devoir et d’un type identifié de morale. Vous voyez où je veux en venir? Dans cette gabegie, il n’y a pas le même ferment qui lie tout nos protagonistes. Chez eux aussi le « chacun sa mère et la thune pour moi-seul » a pris racine. Il va être difficile de monter la scène du « justice vient à nous » si aucun acteur ne veut jouer sa partie. Chez les suisses on doit se dire, « de toute façon qu’on y aille ou pas, c’est pareil au final, on à rien à craindre, c’est notre accord depuis toujours! ».
Voilà, à mon avis le catalyseur, du transvasement d’une crise économique affectant la société, à une crise sociale affectant le pouvoir général. Comme je l’ai déjà écrit, notre présent sera une mine de recherche pour les étudiants du futur, si il nous en reste un.(note de pessimisme volontairement excessive)
le notepad du blogg (et le verif d’identité) deconne gravement!