Un commentaire

  1. Elisabeth, la bourse est faite pour gruger les gogos, spéculateurs compris. Le capitalisme comme dirait grosso modo Galbraith, si ma mémoire est bonne, « est fait de haut et de bas jusqu’à sa destruction ». La bourse a été créée, sous le fallacieux prétexte qu’elle drainait des capitaux pour les entreprises. Les « zinzins » sont eux mêmes devenus des spéculateurs et les banques, au lieu de se cantonner à leur coeur de métier, le financement de la production se sont aussi engagées dans des voies sans issue. La situation actuelle montre bien les limites de ces endroits où on parie sans retenue.

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