(3 commentaires)

  1. Initialement chiffré par le Fonds monétaire international à 945 milliards de dollars pour l’ensemble du système financier, le coût de la crise des « subprimes » (crédits hypothécaires à risque) pourrait désormais s’élever à 1.600 milliards de dollars, selon la firme d’investissement Bridgewater Associates.
    Déjà en recul de 19 % sur un an et demi, les prix immobiliers n’ont pas fini de dégringoler outre-Atlantique, où il n’y a pas de potentiel de rebond avant le premier semestre 2009. Le plan de relance de 145 milliards de dollars (1 % du PIB), adopté par George W. Bush en janvier dernier, risque d’être totalement transformé en épargne, comme ce fut le cas avec le plan Barre de 1979.
    De l’avis général des économistes, il aurait fallu une intervention budgétaire de grande ampleur pour enrayer la crise immobilière aux Etats-Unis. Pas de chance : il faut une administration forte pour adopter un tel « paquet fiscal » énergique, ce qui est exclu en année électorale. Même si l’économie américaine échappe encore à la récession au second trimestre, elle n’évitera pas la croissance molle et la menace de « stagflation ». Et avec un déficit budgétaire américain de 500 milliards de dollars environ, contre un excédent de 300 milliards au début du mandat de George W. Bush, la marge de manoeuvre de son successeur sera faible.
    http://www.lesechos.fr/info/analyses/4753854.htm

  2. Ouais super !!!
    On comprend pourquoi la lutte contre la drogue ne sera jamais fini.
    On esp

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