Pour pouvoir aligner 20 à 30 % de rendement, il faut, il est nécessaire et indispensable, pour une banque, de faire n’importe quoi. La solution de la crise déplait aux banquiers.
Cela revient à légiférer.
Comme le Glass-Steagall act de l’époque Roosveltienne.
Les victimes de la crise immobilière et financière sont les classes moyennes.
Les revenus stagnent et les charges explosent.
La crise politique n’est pas loin. Ces lignes ne sont pas de moi.
Elles apparaissent dans les Echos.
Bien sûr, la ligne marxiste-léniniste-maoïste des échos est bien connu.
Mais ce journal reconnait qu’une telle situation PEUT et VA déboucher sur un PROCESSUS POLITIQUE INCONTROLABLE.
Des processus politiques incontrôlables, on en voit tous les jours.
Le Hezbollah s’empare, sans grande résistance de Beyrouth.
Peut être le fait que les salaires y aient largement baissé explique AUSSI la situation.
L’Irlande s’interroge sur la santé mentale des rédacteurs du traité de Lisbonne.
Quand à la santé mentale d’autre dirigeants, elle est aussi défaillante.
Le premier ministre palestinien voulait contraindre une population exsangue et sans un rond à « payer ses dettes« , par l’intermédiaire du « Utility Bill Clearance Law « .
On admirera l’anglais de la loi.
Il s’agissait de forcer la population à payer ses factures d’électricité notamment.
Sachant que la moitié de la population est au chômage, au moins une bonne moitié dans la grande pauvreté et malnutrie.
Les compagnies, malgré les impayés affichent quand même de coquets bénéfices.
Elles appartiennent à des milliardaires palestiniens.
La solution, après trois mois de crises, est venue de la haute cour de justice.
Inapplicable, la loi a été suspendue.
« Rawhi Fattouh, l