Romain Zaleski a démissionné du conseil d’administration d’Arcelor Mittal. Les raisons de son départ : lui permettre de « poursuivre d’autres intérêts commerciaux dans la sidérurgie ».
C’est en tout cas les termes officiels employés jeudi par le groupe. Joseph Kinsch, président du conseil d’administration, a accepté sa démission.
Pour rappel, M. Zaleski avait rejoint le conseil d’administration du numéro un mondial de l’acier en octobre 2006.
Selon la lettre d’information La Lettre A, le milliardaire établi en Italie « cherche ainsi à reprendre sa liberté pour envisager la reprise de l’usine d’ArcelorMittal à Gandrange ».
« Une équipe technique de Carlo Tassara pourrait se rendre dans les prochains jours à Gandrange en vue d’effectuer un audit », ajoute La Lettre A.
A la tête de sa holding Carlo Tassara international (CTI), basée à Luxembourg, M. Zaleski était entré dans le capital d’Arcelor en mars 2006, augmentant régulièrement sa participation pour la porter à 7,8%, devenant ainsi le premier actionnaire du sidérurgiste européen.
Poursuivant son programme de rachat d
un commentaire juste et tres bien orienté;je vous dis grand mercipour ce commentaire qui ma permis d’orienter mes idées sur un discusion;
ce que je souhaite vous demander en vous surpliant de me mettre en contact avec MR
ROMAIN ZALESKI,j’ai un gros projet a lui proposer.je compte beaucoup sur vous .que DIEU tout puissant nous garde et nous protege.
Gandrange: l’Italien Carlo Tassara renonce après refus de Mittal
PARIS, 24 avr 2008 (AFP)
La société sidérurgique italienne Carlo Tassara a annoncé jeudi soir dans un communiqué que son intérêt pour l’aciérie de Gandrange n’était « plus d’actualité », Arcelor-Mittal n’ayant pas souhaité « donner suite à sa proposition ».
« La société Carlo Tassara et un autre groupe d’investisseurs italiens avaient envisagé de reprendre le site industriel de Gandrange dont Arcelor-Mittal compte fermer une partie », souligne la société.
« Des démarches préliminaires avaient été entreprises pour concrétiser ce projet », ajoute-t-elle.
« Arcelor-Mittal a fait connaître qu’elle ne souhaitait pas donner suite à cette proposition », poursuit le communiqué.
« La société Carlo-Tassara et les autres investisseurs intéressés à la reprise du site ont pris acte de la décision d’Arcelor-Mittal. Dans ces conditions, la reprise du site de Gandrange par leur consortium n’est plus d’actualité », indique-t-il.