Entre ceux qui n’ont rien compris comme le
soviet gouvernement français qui veut « continuer les réformes », lisez, celles du défunt, obsolète et stupide « compromis de Washington » et ceux qui devant la crise financière, économique et immobilière apprennent à toute allure, il y a un gouffre :
En Italie , l’équipe de S. Berlusconi veut en finir avec « la dictature du tout-marché« , qui est « la version dégénérée du libéralisme ». « .
Et d’enfoncer le clou : « Le marché, l’idéologie totalitaire inventée pour gouverner le XXIe siècle, a diabolisé l’Etat et presque tout ce qui était public ou communautaire, en mettant le marché souverain en position de dominer tout le reste, écrit-il. Maintenant, on ne peut plus dire que c’était la ligne juste, la seule ligne « ,
avant de remettre les pendules à l’heure :
« l’Europe que nous voulons est certes une Europe avec des portes, à condition qu’elles ne soient pas toujours ouvertes, et de surcroît seulement vers l’intérieur « .
Quand au pacte de stupidité (dixit Romano Prodi), rebaptisant le pacte de stabilité, il peut être suspendu, en cas de choc majeur.
En Allemagne : « la mobilisation de fonds publics est une option à envisager. Quitte « à jeter nos principes par-dessus bord ». «
Seul bémol, certains, très limités intellectuellement parlant disent : « Je ne vois pas très bien ce que le gouvernement peut faire « .
On peut leur conseiller la lecture suivante.
A moins qu’ils ne fassent partie des gens qui, » ne pouvant faire deux opérations intellectuelles en même temps, doivent, avant de pisser, se glisser dans un poumon d’acier » (président Ronald Reagan).
Le renflouement de Bear Stearns est jugé illégal par certains :
» Je pense qu
Ah oui, mais entre notre bien-aimé Président, M. Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa et Mme Lagarde, sa Sinistre de l’