Et pour couronner le tout, La crise des taux variables touche aussi des Français : « Alors que les prix de l’immobilier se stabilisent, voire baissent en France, de nombreux propriétaires sont contraints revendre leurs biens, faute de pouvoir payer leurs remboursements bancaires. Il s’agit surtout des emprunteurs qui ont souscrit des prêts immobiliers à taux variable ou révisable, mis en difficulté par la hausse brutale des taux d’intérêt. » Je vais consacrer un article un peu plu tard à ce phénomène qui prend de l’ampleur.
Le voici l’article. Je réagis à vos propos, à chaud. Le pourcentage que vous citez va influer directement sur le moral de la profession, des vendeurs, des promoteurs… dans un marché saturé. Il y a tant de pays en Europe qui ont un parc immobilier ancien et vétuste, mais pas en France. on y construit beaucoup, on y rénove non-stop.
« Le nombre de personnes touchées d’après l’AFUB serait de 35000 emprunteurs ce qui est peu au vu du nombre de ventes annuelles (+500 000) et encore plus faible au vu du nombre de propriétaires.
20M d’emprunteurs sur 300M de personnes versus 35000 emprunteurs sur 67M de personnes soit +6% vs 0.05%. Petit-fx. »
Il y a 57 % de propriétaires de leur RP, et nous sommes pas 67 millions, mais 62, non ? Et les saisies ou ventes ne font que commencer.
La hausse des taux et des produits alimentaires s’est « intensifiée » il y a quelques mois. Heureusement, les gens ne sont pas sur la paille en un clin d’oeil. Il faut que les impayés s’accumulent pendant quelques années, ou que les gens vendent rapidement (ce qui arrive rarement quand on est surendetté : vendre, oui, mais pour aller où ?).
Ces ventes forcées sont un signal fort pour la profession, car cela veut dire premières baisses très conséquentes en vue, premières ventes aux enchères intéressantes. Et un indicateurs de prix à la baisse, qui feront baisser leurs tours les autres biens offerts à la vente. Alors, calculer le % de surendettés (que l’on ne connaît que quand ils sont dans une situation très difficile et quand ils se présetent aux Associations etc… ; certains vendent vite fait, avant de relever des services sociaux, mais souvent vendent à perte) n’est pas exactement la méthode d’évaluation pertinente. C’est bien de réfléchir et je remercie petit-fx pour ses remarques, mais ne lisez pas tout ce que vous trouvez sur le net sans esprit critique.
Vu comment les prix augmentent, on va sûrement voir une explosion de ces vendeurs « pressés ».
Les français commencent à déprimer… (1/3)
Les français commencent à vendre malgré eux… (2/3)
Les français cherchent à gagner / perdre… (3/3)
désolé Marie, j’ai ajouté 3 millions de personnes 🙁
63 753 140 est le chiffre de janvier selon insee.
Au risque de me répéter (Cf. commentaire à l’article « Les français commencent à déprimer… (1/3) »), il est erroné de comptabiliser les enfants dans ton calcul car (pour le moment) les prêts immobiliers ne les concernent pas (pour le moment car vue la durée moyenne des crédit il faut commencer de plus en plus tôt 😉
Il est important de préciser que 25 % de la population a moins de 20 ans en France et ne peut être reprise dans vos calculs…
La base a retenir serait de considérer le nombre de foyers françqies ayant un prêt immobilier en cours (il y a 25M de foyers en France mais tous ne sont pas concernés par la propriété et/ou par l’emprunt bancaire).
A bon entendeur …
Certes, il vaut sans doute mieux revendre maintenant puisque les prix risquent encore de chuter ! En revanche, ce n’est pas le moment d’acheter… ^^
Quelques éclairages peut-être avec cette interview que j’ai trouvé generalite.com :
La récente étude Precepta, groupe Xerfi, a annoncé une baisse de 17% d
Mais dis donc lily !!
Où as tu trouvé cette interview pourrie??
C’est un peu de la pub masquée ça non??
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rép. de Marie :
Cenurée la pub déguisée, il ne faut pas nous prendre pour des …