A l’heure où l’intervention de l’état est mal vues, ce sont pourtant bien des interventions des états qui ont lieus dans nos pays.
La dette française est rachetée et appréciée, comme jadis la dette US, notamment en amérique latine, les fonds souverains viennent au secours des banques.
Les fonds souverains sont les émanations des états.
Celui de Singapour a placé plusieurs milliards dans UBS, pour plusieurs raisons.
D’abord, le problème de certains fonds, c’est l’absence de perspectives.
Leurs avoirs se dévaluent, et les propositions sont finalement peu alléchantes.
Alors ils « prêtent » un argent dévalué à des conditions léonines.
Quand le marché interbancaire suisse est à 2.2 %, il est curieux qu’une banque qui s’affirme en « bonne santé », emprunte à 9 % dans des obligations convertibles.
Il est vrai que les pertes réels d’UBS sont au minimum de 40 milliards de $, et non de 12.
Mais, ce n’est pas la seule à être dans cet état. Bank of America ferme un fond de 12 milliards de $. Citigroup a ses vapeurs…
UBS a de plus choisit de remettre en vente des actions qu’elle avait racheté, et qu’elle comptait retirer de son capital.
Mais cela n’a aucune importance. C’est une évolution à la zimbabwéenne. Ce pays est le plus avancé du monde. Là-bas, ils sont tous millionnaires milliardaires, et la bourse, parait il y connait une excellente tenue.
Qu’est ce que vous dites ? la majorité de la population est partie, et la majorité de celle qui reste meurt de faim ?
Cela doit être des problèmes de riches : ils veulent profiter de leurs milliards à l’étranger, et il y a beaucoup d’anorexiques chez eux.