J’essaie de trouver du temps depuis hier soir pour partager avec vous cette analyse fort intéressante, d’un qui s’est penché sur le phénomène des bulles spéculatives, qui pour cause de marché en surchauffe est presque devenu le sujet indirect de ce blog, comme de tant d’autres.
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Je trouve personnellement que le terme ‘malédiction’ est mal choisi… c’est une malédiction quand le marché se retourne, mais quans ca monte (jusqu’au ciel), c’est une bénédiction pour tous les profiteurs (qui a dit ‘AI’ ?) et pour les gens qui ont de l’argent (les vieux en général).
Bref, tout est relatif. Parlait on de malédiction il y a six mois ? non, on parlait d’arbres qui montent jusqu’au ciel et que tout va bien madame la marquiese…
Source contre.info.info
économie actualité.
En résumé,
Evans Pritchard fait le point, épargnez moi le cliché disant que les fondamentaux sont sains; Un état des lieux et ce n’est pas brillant.La crise de crédit a fait déjà beaucoup de dégats mais le pire reste à venir.
Par Will Hutton « The guardian » Chroniqueur économique pour the observer.
La pire crise depuis 30 ans.
La situation se dégrade a une vitesse vertigineuse. Le système pourrait être capable de supporter un choc mais il est trop fragile pour en supporter autant.
Sadad Al Hissein ancien executive vice président d’Aranco estime que la production mondiale de pétrole a atteint un plateau qui pourra être soutenu durant 15 ans avant que ne s’amorce le déclin.
Quand au prix ils vont continuer a grimper.
> La France est plus vulnérable. pour faire face au choc, les gouvernements successifs n’ont pas anticipés et une autre bulle se profile, celle liée à la croissance de la Chine et de l’Inde et de la Russie, la forte demande sur les matières premières et énergétiques crée un effet de rareté et entraine un processus inflationniste caractéristiques des bulles.
En complément aux propos de M. Jean-Luc Buchalet, voici quelques informations supplémentaires.
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