« Monsieur, Madame,
j’accuse réception du courrier conjoint qui m’a été adressé par les XXX situés dans la zone inondable du ZZZ. Je me permets de vous adresser quelques informations eu égard à vos préoccupations qui me semblent tout à fait légitimes.
Les élus de XXX sont particulièrement sensibles à la sécurité de l’ensemble des administrés. C’est pourquoi, ils se sont fortement impliqués et ont réussi à obtenir de la communauté d’agglomération le financement des études visant à la réalisation d’un bassin de rétention en amont de la zone des XXX.
Par deux fois, les travaux de nettoyage ont été entrepris au cours de ce mandat pour curer et nettoyer le dessous du pont de l’avenue XXX et du pont situé à proximité de l’avenue XXX. Des contacts sont en cours avec XXX qui devait intervenir prochainement pour une action de nettoyage. Au vu des éléments que vous m’avez fournis, un agent territorial et si possible un élu seront sur place le jour de l’intervention pour leur donner des consignes précises quant au travail qu’ils devront effectuer…
Veuillez agréer, Monsieur, Madame… »
Voilà, un exemple savoureux d’humour, bien involontaire, issu d’un conseil municipal, pour un quartier construit il y a environ 35 ans, avec des études d’ il y a 40 ans, et inondé, il y a une génération de cela (25 ans).
Voilà avec quels problèmes, les citoyens, les élus, les « zinvestisseurs » peuvent se débattre, à cause de la maladie du constructeur fou…
Du vécu, en 2007,
Les élus de UUU très sensibles à la sécurité de certains administrés investisseurs et promoteurs ont couvert d’asphalte une zone naturelle en amont et réalisé un bassin de rétention en aval, et ensuite ont lancé une étude hydraulique après les travaux.
Résultat, lors des chutes de pluie le ruissellement n’est pas canalisé et provoque des dégâts en aval.
VERIDIQUE
« Il faut donner la gestion du foncier à un organisme INDEPENDANT. Il y a trop de magouilles dans certaines communes »