Deutsche Bank, bien entendu n’est absolument pas touché par la crise subprime ou autres…
D’abord, ses pertes, c’est la tempête boursière qui les a occasionnées !
Elle vient juste de « réévaluer » ses prêts. Enfin, plutôt le terme exact serait celui honni, de provisionnement, de dévaluation quoi.
A comparer avec son bénéfice pour la même période de l’année dernière : 1.2 milliards.
Ces titres anciens se voient interdits de renégociation.
En raison d’une perte estimée, par un accès typique de modestie, dans une fourchette de 4 à 6 % des montants, sur un montant de 29 milliards(de prêts immobiliers).
L’autre donnée du problème est le financement des prêts à venir.
L’impossibilité de refinancer les prêts va certainement réduire le flux. Aucune banque ne peut se passer de refinancer.
Mais la donne est surtout politique et « fiduciaire ». Malgré la politique complètement laxiste de JC Trichet en matière monétaire, l’asséchement de liquidités indique une chose : au niveau bancaire, plus personne ne croit, ni au sérieux, ni à la compétence du président de la BCE.
Un bavard inconséquent…
Cela tourne même au gag : il a l’approbation de VGE. Le baiser qui tue.