Après le segment subprime, puis les hedge fonds, ce qont les préteurs « traditionnels » qui commencent à trinquer.
Et bien entendu, les drames personnels que vivent des milliers d’emprunteurs, saisis, mis en faillite personnelle sont passés sous silence.
————————-
NEW YORK (Reuters) – American Home Mortgage annonce avoir demandé son placement sous la protection du Chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites.
Le groupe de Melville, dans l’Etat de New York, a effectué cette démarche auprès du tribunal des faillites de Delaware.
Le Chapitre 11 permet aux entreprises de se restructurer financièrement en étant à l’abri de leurs créanciers.
American Home, société fondée en 1987, a cessé ses activités vendredi, ne conservant que 750 personnes sur un effectif qui était de 7.409 à la fin 2006. Dixième établissement de crédit immobilier aux Etats-Unis, avec 59 milliards de dollars de prêts consentis l’an dernier, l’entreprise avait pour particularité de ne pas être spécialisée dans le « subprime », preuve que la crise du crédit à risque – où l’on prête à taux variables à des clients sans garanties – commence à gagner d’autres segments du marché.
Hi Marie,
Il serait interessant de montrer qu’en France on a beaucoup de « vautour » aussi : http://www.finaref.fr
« Jusqu
Après le segment subprime, puis les hedge fonds, ce qont les préteurs « traditionnels » qui commencent à trinquer.
Et bien entendu, les drames personnels que vivent des milliers d’emprunteurs, saisis, mis en faillite personnelle sont passés sous silence.
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NEW YORK (Reuters) – American Home Mortgage annonce avoir demandé son placement sous la protection du Chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites.
Le groupe de Melville, dans l’Etat de New York, a effectué cette démarche auprès du tribunal des faillites de Delaware.
Le Chapitre 11 permet aux entreprises de se restructurer financièrement en étant à l’abri de leurs créanciers.
American Home, société fondée en 1987, a cessé ses activités vendredi, ne conservant que 750 personnes sur un effectif qui était de 7.409 à la fin 2006. Dixième établissement de crédit immobilier aux Etats-Unis, avec 59 milliards de dollars de prêts consentis l’an dernier, l’entreprise avait pour particularité de ne pas être spécialisée dans le « subprime », preuve que la crise du crédit à risque – où l’on prête à taux variables à des clients sans garanties – commence à gagner d’autres segments du marché.
Hi Marie,
Il serait interessant de montrer qu’en France on a beaucoup de « vautour » aussi :
http://www.finaref.fr
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