Ces dépêches sur l’immobilier sont…

Afp_1…à vous de finir la phrase ! « Après cinq années consécutives de croissance à deux chiffres, la hausse des prix de l’immobilier ancien est passée sous la barre des 10% en 2006, selon une enquête de la FNAIM, qui confirme un ralentissement du marché en écartant toutefois un scénario de « retournement brutal ».

L’approximation et la boule de cristal. Tout ce qui arrange la profession, mais l’intérêt du particulier qui lit cette prose, qui s’en soucie ?

En 2006, cette hausse s’est établie à 7,1%, contre 10,4% en 2005 et 15,4% en 2004, selon l’observatoire des marchés de l’ancien établi par la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM).

Bien sûr ! Pourtant, nous ne tombons pas sur les mêmes chiffres !

« Après presque cinq années de hausses consécutives supérieures à deux chiffres, les rythmes de progression des prix sont désormais plus modérés », a commenté devant la presse René Pallincourt, président de la FNAIM, selon lequel 2006 est « encore un bon millésime ». Il a rappelé que « depuis 2000, les prix des logements anciens ont augmenté de 85% » et reconnu que cette hausse « peut être considérée comme préoccupante », alors que « la clientèle est toujours au rendez-vous ».

On veut des prévisions moins floues. C’est possible ?

C’est bizzare, des sources comme The Economist parlent de 120 %, et d’autres de 140 %. Aucun chiffre n’est bon ! Public, on siffle. A moins que la hausse ait atteint 120 à 140 % depuis 1998, dans ce cas là le choix de 2000 comme année de référence est mauvais aussi. Les prix sont repartis à la hausse depuis 1998, pas 2000 ! On veut minimiser la hausse, on dirait, ça calme les acheteurs.

La suite de la dépêche ici : Marché de l’immobilier ancien: ralentissement confirmé en France

Sérieux, les agents immobiliers ?

L’immobilier risque de connaître une baisse durable et progressive

A quand de vrais indicateurs immobiliers ?

(6 commentaires)

  1. http://www.agenciafinanceira.iol.pt/noticia.php?id=759553&div_id=1730
    au PORTUGAL
    « Les prix des maison son en chute il y a déjà un an!
    Les analyste que suive le marche le savait déjà, après une croissance explosive dans la fin des années 90, la crise dans le segment allait se installer. »
    1. Réduction du numéro de permit de construire
    2. Les très haut endettement des familles, avec le recours a l hypothèque
    3. les maisons ne valorise pas toujours comme avant.
    4. la évaluation des valeur immobilier des banques, pour la concession des crédit, diminue.
    5 Sauf la région de Lisbonne et la vallée du Tage on des valeurs positives.
    6. il y a plus de maisons a vendre que des acheteurs
    7. Recours intensive au crédit
    8. La maison principal est le principal facteur d épargne, réduit la importance de la chute

  2. si vous l’avez déjà vu, désolé…
    j’ai trouvé un article sur libération… http://www.liberation.fr/actualite/economie/227647.FR.php
    la fin est surprenante (ca change) :
    « L’année 2007 pourrait donc être marquée par un retournement du marché attendu par beaucoup d’acheteurs. Optimiste, la Fnaim parie sur une nouvelle hausse de 3,5 % à 5 % cette année. Mais une étude du Bipe juge probable une baisse de l’ordre de 4 %. »
    entre une hausse de 5% et une baisse de 4%, il y a quand même une sacré différence… comment peut’on l’expliquer ?

  3. Un vendeur a toujours des réticences a dire que son marché est en train de s’écrouler, sous peine de voir ses clients attendre ou partir en courant. La FNAIM, c’est pas EMMAUS et Cie.
    C’est que du business… Y’a trop d’argent en jeu.

  4. Aubry, de l’argent en jeu, tu l’as dit, alors il faudrait protéger les particuliers.
    C’est LEUR toit et LEUR argent qui est en jeu.

  5. meme l’afp reprend aussi les chiffres de la fnaim.
    Avoir une seule source d’infos : c’est pouvoir la controler et faire parler les chiffres comme on veut.(les dictatures savent très bien cela).
    Où sont les reportages qui depassent un interview en terme de travail ?? à part les évenements sportifs, restreints au foot..
    C’est des structures bénévoles ou individuelles qui commencent à prendre le relais.. et le jour où la publicité aura mangé un beau morceau d’Internet: il n’y aura plus de moyens de diffussions alternatifs.
    Le métier de journaliste est en train de mourrir, celui de présentateur (météo aussi) à de l’avenir avec la télé haute definition avec de écrans de 5metres sur 2,5 metres.. avec des miss France si possible..(aahhhhhhhh, les belles couleurs.., mais si on ferme les yeux, qu’est-ce qu’on retient).
    (pas de bon poil, dsl).

Les commentaires sont fermés.