Syndic de l’immeuble : pas blanc, blanc, mais pas tout noir

00447_5Syndic de l’immeuble, pas blanc, blanc, mais le livre qui vient de lui être consacré porte ce nom : « Professionnels de l’immobilier : Le Livre Blanc 2005« .

Publié par le CSAB (Conseil supérieur de l’administration de biens), dont les membres assurent la gestion de plus de 2,6 millions de lots immobiliers privés, ce Livre Blanc expose les nombreuses difficultés et péripéties de la gestion de la copropriété.

Syndic de l’immeuble : pas blanc, blanc, mais pas tout noir

Immobilier : les gardiens, ils ne sont pas tous des anges

Syndics et copropriétaires : relations de plus en plus difficiles

(3 commentaires)

  1. Bonsoir
    Les charges de copropriété vont devenir un sujet de discorde important pour les futurs copropriétaires.
    Les avances de trésorerie des copropriétaires « à jour » sont un vieux classique pour pallier à une situation déteriorée.
    Mais la réforme du droit des suretés va fragilisée la copropriété car celle ci ne sera plus créancière de 1er rang, pour récupérer les impayés auprès du débiteur, en cas de saisie.
    Cette situation fragilise les copropriétés les plus modestes, car l’ensemble des copropriétaires subi la dégradation de son « patrimoine » à cause de comportements irresponsables de quelques uns.
    C’est aussi ça l’effet de la bulle !!!
    VIVE LA CRISE IMMOBILIERE ET LONGUE VIE AU BLOG IMMOBILIER.

  2. Merci pour cette intervention, c’est très intéressant. J’ai presque envie d’en faire la 5ème note (car tous les commentaires ne sont pas lus.
    Est-ce que je peux, Goupil59 ?
    Très cordialement, Marie

  3. Bonsoir Marie
    Oui tu peux en faire une 5ème note, si tu le souhaites, :-))
    Je voulai souligner que les syndics ne sont pas loin sans faut exempts de tout reproche.
    Pour reprendre mon 1er post concernant le Saint Didier, le syndic de l’époque le cabinet SO*INDO (filiale de la banque verte), a commis des irrégularités qui ont conduit à la nomination d’un administrateur judiciaire nommé par le TC (Tribunal de Commerce)de PARIS.
    Ensuite une AGE (Assemblée générale Extraordinaire)des copropriétaires a nommé un nouveau syndic professionnel le cabinet LOI**LET & DAIG**MONT, depuis 2 ans.
    Le dernier appel de fond du syndic était erroné, et un copropriétaire a alerté le syndic qui s’est fendu d’une lettre d’excuse pour le désagrément causé,… .
    Pour ce qui est des locations, j’entends ici et là qu’il est difficile de louer, ce qui est vrai.
    Mais les garanties exhorbitantes demandées par les propriétaires bailleurs ou les gérants ne doivent pas occulter que l’achat d’un bien dans les conditions actuelles, revient à se mettre un boulet aux pieds pendant 25/30 ans.
    Quand le bien sera remboursé, il faudra bien entendu faire des travaux de « rafraichissement », avec une petite hypothèque rechargeable ou un crédit affecté.
    je comprend qu’il est frustrant de ne pouvoir décorer son intérieur à son gout sans demander l’accord écrit du bailleur, mais de là à hypothéquer son avenir professionnel pour un « tas de briques », il y a des risques qu’il faut bien mesurer.
    Une anecdote concernant les garanties locatives.
    Un ami de mon oncle louait un appartement de standing à un ambassadeur, or ce représentant a cessé de régler les loyers; il a été impossible de le déloger puisque bénéficiant de l’immunité diplomatique (convention de Vienne).
    Bien sur cet ami a pu récupérer son bien au bout de 4 ans, mais son préjudice ne sera jamais indemenisé.
    Il en aurai été autrement si l’ambassade s’était porté caution pour lui.
    Cet exemple vise à montrer que toutes les garanties prises par les bailleurs n’éviteront pas les impayés, et il est illusoire de croire que des assurances couvrieront ce risque de manière satisfaisante (approbation de la Cie d’ass pour le choix du locataire, franchise, délai de carence,…); la carrotte étant la déductibilité de la prime sur les revenus fonciers bruts.
    Mais le pire c’est la complicité des média aux ordres, pour défendre les intérets corporatistes bien ancrés dans la société.
    Nos concitoyens ont perdu tout sens critique, car la manipulation des moutons est devenue une norme sociale.
    Seuls quelques électrons libres échappent à cette « moutonnite aigue », bien qu’en haut lieu on est pris la décision de sacrifier quelques moutons sur l’autel d’une croissance atone soutenue par une pseudo consommation.
    A BAS LA RIPOUXBLIK ET VIVE LE ROY
    Bon blog à tous.

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