Clearstream : l’ex-PDG de la banque japonaise

Chirac_2L’ex-PDG de la banque japonaise Tokyo Sowa Bank, récemment mis en cause dans le cadre de l’affaire Clearstream, a été condamné jeudi à Tokyo à verser à son ancienne société l’équivalent de 135 millions d’euros correspondant à une fausse augmentation de capital dans les années 1990.

Cette condamnantion est loin d’être la première concernant cet ex-banquier, Shoichi Osada, 83 ans, financier à la

(4 commentaires)

  1. « M. Chirac détenait la somme de 45,7 millions d’euros sur un compte à la Tokyo Sowa Bank (TSB) »
    Moi je ne comprend pas pourquoi tout le monde en fait tout un plat, 45,7 millions d’euros c’est pas grand chose c’est juste de l’argent de poche. Perso je ne trouve pas cela anormal, moi meme quand j’étais plus jeune je demander 3 ou 4 millions d’euros a mes parents pour aller au cinema ( faut dire que le popcorn n’est pas donner ).

  2. Sauf à considérer que la justice japonaise, et le fond d’investissement américain, qui sont donc actuellement en possession de l’historique des comptes bancaires, auraient tout deux choisi de se taire ( mais pour quelle raison?) , cette histoire a-t-elle du sens ?
    (mis à part deux faits remarquables si l’on s’intéresse à la guerre pour le pouvoir :
    – malgré sa faiblesse, elle a été utilisée, ce qui pouvait indiquer une relative pénurie de munitions, qui présageait de l’épuisement proche de la tentative de pousser le PM à la démission qui était en cours.
    – d’autant que cette histoire ne prenait pas plus dans l’opinion que l’affaire Clearstream, alors qu’elle était bien plus facile à comprendre.
    Mais c’est déjà de l’histoire et du commentaire à posteriori. Je préfère être un peu plus scientifique, un peu plus expérimental. C’est à dire faire des prédictions qui permettent de tester l’analyse.
    Bref, mes neurones me disent qu’après l’opération bombardement Clearstream, la contre-attaque qui semble se profiler serait nucléaire (ou radio-active, et ce n’est pas seulement une métaphore, mais – oh! vingt heures trente, déjà, faut que je file

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