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  1. Pouvez-vous nous dire de quoi est faite, exactement la dette publique ? Tous les documents en notre possession disent : 80% de la dette vient de l’Etat, 11% des administrations publiques locales, 6% des organismes divers de l’administration centrale et 3% de la Sécurité sociale.
    Mais nous ne comprenons pas de quelles dépenses il s’agit. Sont-ce les salaires des fonctionnaires ou les dépenses de la Sécurité sociale qui représente 3% de la dette publique ? Dans quoi l’Etat a-t-il dépensé 80% de la dette publique ? Tout cela n’est pas clair !Et c’est très important car il vaut mieux s’attaquer aux 80% de la dette plutôt qu’au 3%.

  2. « Aujourd’hui, la totalité de la collecte de l’impôt sur le revenu (IRPP) sert uniquement au remboursement des « intérêts » de la dette.  »
     »
    ca fait peur !!!

  3. La dette, la dette, la dette !!! Il y a des renards qui n’ont que ce mot là à la bouche et qui sautent comme des cabris en criant « au loup ! » pour qu’on se dépêche de tuer le berger…
    « La » dette, c’est en fait la somme de l’encours actuel (le capital restant dû) de l’endettement contracté, à diverses époques, par l’ensemble des structures publiques et parapubliques existant dans notre pays.
    Dans cette somme, l’encours des emprunts d’état représenterait donc actuellement 80% du total. Le terme « les différentes administrations centrales » désigne aussi l’Etat (le terme d’administration centrale désigne tout bêtement les services « centraux », c’est à dire en général parisiens, d’un ministère).
    Les administrations publiques locales, ce sont les communes, les syndicats de communes – dont les compétences peuvent être : eau et assainissement, enlèvement et élimination des ordures ménagères, aménagement, électrification rurale, ramassage scolaire, etc… – , les syndicats mixtes, les communautés de communes, les communautés d’agglomération, les conseils généraux, les conseils régionaux, les syndcats interdépartementaux, les syndicats départementaux d’incendie et de secours, les comités de bassin, les offices du tourisme communaux ou départementaux, les offices publics communaux, intercommunaux ou départementaux d’HLM, les collèges, les lycées, les hopitaux, etc… etc…
    Les administrations locales ont la personnalité morale et l’autonomie financière. Elles ont donc le pouvoir de financer leurs dépenses d’investissement en ayant recours à l’endettement à long terme. Par contre, elles ne peuvent pas financer leurs dépenses courantes – on appelle ça le fonctionnement : salaires, fournitures, fluides, etc… – par l’emprunt. Sur le court terme, elles ne peuvent qu’avoir recours à des crédits de trésorerie (il faut emprunter et rembourser capital et intérêts au bout de moins d’un an).
    C’est l’état « local » (les services dépendant des préfets) qui est chargé de contrôler que ces règles sont bien respectées.
    En dehors du recours à l’impôt, les administrations publiques locales se financent par l’impôt local (taxe d’habitation, taxe foncière sur le bâti, taxe foncière sur le non bâti, taxe professionnelle, taxe sur la facture EDF, taxe d’ordures ménagères, taxe régionale sur les permis de conduire, taxe régionale sur les cartes grises, taxe départementale de publicité foncière, etc…), mais une grosse partie de leurs recettes proviennent de l’état (dotations de fonctionnement) ou à la fois de l’état, d’administrations locales de niveau plus élevé ou moins élevé(les départements subventionnent les communes, les communes cotisent aux syndicats intercommunaux auxquels elles adhèrent, les communautés de communes se voient attribuer la taxe professionnelle des communes qui les composent, etc, etc…) et de l’europe (dotations d’investissement, telles que le fameux FEDER).
    La sécurité sociale, c’est la sécu, avec son trou béant…
    Mais qu’on se rassure, à force de crier « moins d’état » avec les loups pour avoir moins de dette, les moutons auront trés vite plus de loups dans leur prés et donc assez rapidement moins d’espérance de vie. Ils laisseront donc moins de trou béant à combler à leurs mendiants d’héritiers, qui de toutes façons n’auraient pas eu l’intention de régler la note, eu égard à l’état de délabrement dans lequel leurs aînés vont leur laisser le pays…

  4. Lucide et clair 😉
    Seul moyen de sortir de cette spirale noire, la croissance économique, qui mécaniquement créée des « cagnotes » et fait baisser les ratios de gestion.

  5. Aétius:
    Je ne vois pas ce que votre « théorisation » de la dette apporte au problème…
    Structurellement, la fwance est en deséquilibre: trop de dépenses et pas assez d’impôts ou pire: trop de dépenses et trop d’impôts.
    Quelles sont les marges de manoeuvre ? Le Japon peut comme les USA augmenter les prélèvements obligatoires. Mais la Fwance ? c’est difficile pour l’un des pays prélèvant déjà le plus.
    Il n’y a pas de miracle: il faut renoncer à certains services de l’état social.

  6. salut
    je ss mr koudil larbi j’ai un certificat de dette publique n°0.608.561 du 16 septembre 1924 de 40ff avec un taux de 4% signier par mr le directeur et chef comptable .verificateur je veux savoir comment remborsse mes argent dans un paye de legalité a votre conaissance que je ss algerien et cet certificat c’est cadeau de mon grand pere merci
    mes salutation distangeer

  7. bon les loulous vous parler de dettes de dettes, mais un peu de positivisme!
    la france possède quand même 178 milliards d’euros de capitalisation de gros groupes…
    178M ça nous fait une année de salaire pour tout les fonctionnaires soit: la moitié des dépenses étatiques^^
    maintenant va peut être falloir repenser à la hausse de TVA, la TVA faisant entrer 51% des recettes de l’état.
    Le problème c’est pas la dette (enfin ça va le devenir) le problème c’est pourquoi est ce que l’on s’endette?
    Une dette ou un emprunt ne devant pas servir en théorie à la consommation et au maintient des ressources mais à l’investissement et à la création de futures autres ressources.

  8. le depot de bilan est un depot de bilan moral la France est un pays qui a les deux pieds sur les freins l image est catastrophique ici d Argentine.D

  9. le mot le plus employe en francais…. c est probleme et le deuxieme non et troisieme anti depresseur…¡¡¡¿¿¿

  10. Depuis 30 ans, l’Etat dépense plus que ce qu’il reçoit : né à partir de 1980, nous n’avons jamais connu un budget en équilibre.
    Chaque année, le déficit budgétaire alourdit la dette publique :
    Aujourd

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