Ubi Soft en pleine théorie des jeux

Le titre Ubi Soft a toutes chances de rester très spéculatif ces prochains mois.

Yves Guillemot, son président, déclare travailler à l’autonomie du groupe de jeux vidéo, tout avouant son intérêt pour un rapprochement avec un grand groupe de divertissement (ceux-ci étant américains pour la plupart comme Time Warner ou Disney).

Ce qui serait un comble : je rappelle qu’Ubi Soft avait joué les vierges effarouchées lorsque l’américain Electronics Arts (n°1 mondial du jeux vidéo) avait pris 20% de son capital il y a quelques mois. C’était tout juste si Ubi n’en appelait pas aux intérêts supérieurs de la Nation…

Avec un peu de cohérence nationaliste, les grands groupes de medias pourraient être Lagardère et TF1 – ils manquent pourtant d’expérience à l’international et ne sont pas du tout (ou presque pas) dans les jeux vidéo. Mais l’autonomie d’Ubi serait préservée.