A chaque fois que j’entends parler de surtaxation des plus-values boursières à court terme, je me pose la question suivante : à combien devraient être taxés les gains de l’Etat sur les jeux de hasard ? En d’autres termes, l’Etat n’orchestre-t-il pas une forme de racket bien plus amoral que des plus-values boursières ? En fait, voilà ce qui gêne l’Etat : les pertes boursières ne tombent pas dans son escarcelle comme celles du Loto…
L’édition du jour du journal des Echos rapporte certains chiffres d’une étude INSEE sur l’évolution des « dépenses » des Français en jeux de hasard depuis la création du Loto national en 1976. Chaque année de 1976 à 2003, ces « dépenses » ont progressé de 8,3%. Enorme ! Une croissance à la chinoise !
En 2003, les pertes des Français à ces jeux se sont élevées à 7,8 milliards d’euros. Une bonne partie de ces pertes revient à l’Etat, qui n’a pris aucun risque (aucun !) pour gagner cet argent sur la crédulité du citoyen.
Je dis alors aux détracteurs les plus virulents de la bourse, qui la considèrent comme un vulgaire jeu de chance : si ces 7,8 milliards d’euros de pertes de Français à ces jeux avaient été « misés » en bourse, auraient-ils été perdus ?
Je pousse plus loin le raisonnement sur le registre économique et social : si ces 7,5 milliards de pertes « stupides » avaient été investies en capital-risque ou en capital-investissement de proximité, combien d’emplois auraient été créés dans ce pays ?
Voilà des sujets financiers sur lesquels « on » pourrait s’agiter un peu violemment un lundi de Pentecôte.
on ne peut comparer l’ind des jeux et la bourse, ces activités sont dissociées et complémentaires. L’Etat prend quelques risques tout dfe même, car il doit se montrer garant d’un jeu responsable, sans que les dysfonctionnements associés à la dépendance au jeu soient supétrieurs aux revenus fiscaux tirés de cette industrie. Le jeu est une activité conçue pour durer et se développer, l’Etat a toute sa place poour assurer les conditions du maintien et développement de ce business. Le jeu est un impôt volontaire, silencieux et progressif, ce qui n’est pas le cas du toout de la Bourse !
Le jeu est une activité conçue pour durer et se développer, une source incontestable de taxe régulier , contrairement aux bourse. Le jeu ne risque pas disparaître donc.
C’est évident que le jeux de hasard n’est pas comme la bourse qui lui change chaque fois, c’est bien normale que l’état le super chérisse.
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