Elle n’est pas très connu du « public » français – cette SSII d’origine américaine est pourtant l’une des plus grandes au monde.
Son sort en Europe tranche avec celui d’IBM, qui se plaint de la morosité ambiante. En 2004-2005, CSC a enregistré une progression de 17% de son chiffre d’affaires européen, à 4,3 milliards de dollars (soit davantage qu’aux Etats-Unis, à 3,8 milliards, en hausse de 7%).
Sa situation financière est bonne – en tous cas suffisamment pour procéder à des acquisitions.
En Europe, et en France en particulier, les cibles ne manquent pas. En bourse, le nombre de SSII qui végètent est impressionnant. Une ou quelques opérations d’acquisitions significatives relancerait l’intérêt des investisseurs pour ce secteur.
L’action CSC, elle-même, semble bon marché et mieux orientée.