Certes, on nous dit que la situation n’est pas désespérée, voire même qu’elle serait presque maîtrisée … mais tout de même, il flotte en Grèce comme une odeur de panique …
Le président de la République grecque, Carolos Papoulias, a en effet indiqué aux chefs des partis politiques grecs que les retraits d’argent dans les banques du pays avaient atteint 700 millions d’euros lundi.
« Lors d’un entretien téléphonique avec le gouverneur de la Banque de Grèce, Georges Provopoulos, ce dernier m’a informé que la situation des banques était très difficile » et « que le système bancaire était actuellement très faible » a ainsi a déclaré Carolos Papoulias.
« Les retraits ont atteint la somme de 700 millions d’euros jusqu’à 16 heures lundi (13 heures GMT) », a-t-il précisé … tout en estimant que « la situation » serait « pire au cours des deux prochains jours ».
« M. Provopoulos a dit qu’il n’y avait pas de panique mais qu’il y avait une grande inquiétude qui pourrait se transformer en panique« , a poursuivi Carolos Papoulias. Dans un grand accès de méthode Coué, vraisemblablement …
Rappelons que l’inquiétude grandit en Grèce de jour en jour, alors qu’aucun consensus n’a pu être trouvé en vue d’établir un gouvernement de coalition à l’issue du scrutin législatif du 6 mai dernier.
Précisons par ailleurs qu’en février dernier, l’ancien ministre des Finances, Evangélos Vénizélos, avait chiffré à quelque 16 milliards d’euros les sommes déposées à l’étranger depuis 2009, début de la crise de la dette, dont « 32% dans des banques au Royaume-Uni et 10% dans des banques en Suisse ».
Des données publiées également en février par la Banque centrale européenne (BCE), indiquaient d’ores et déjà que les entreprises et les particuliers avaient continué à retirer leurs avoirs des banques grecques en janvier, démontrant ainsi leur défiance à l’égard du système financier de la Grèce.
Les dépôts effectués par le secteur privé auprès des banques grecques avaient reculé de près de 3% en janvier, pour un total de à 174,9 milliards d’euros, correspondant à un plus bas depuis novembre 2006.
A cette date, le niveau des dépôts était inférieur de 28% au pic observé en décembre 2009.
Sources : AFP, Reuters, BCE
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