CAC 40 : point MT/LT

Cac270608ltJe vous l’avais promise, la voici! Et elle tombe à pic, comme le marché… (jeu de mot vaseux…), au moment même où le CAC se retrouve sur un niveau clé à CT comme à MT ou LT. Le graphique ci-joint vous propose une vue hebdomadaire du marché depuis la bulle de l’an 2000/2001. Après avoir bien rebondit depuis 2003 au sein d’un canal haussier bleu et accompagnant la croissances des bénéfices, le CAC s’est hissé jusqu’au dessus des 6100 pts il y a tout juste un an. Puis la crise des subprimes a éclaté, renvoyant par le fond et en plusieurs étapes le marché. La baisse depuis l’été dernier se déroule au sein d’un canal rouge, et a matérialisé une double Epaule Tête Epaule :

La première, en violet, a produit ses effets, la cassure de la ligne de cou en vert en janvier envoyant très rapidement le CAC à proximité de son objectif, matérialisé par une autre parallèle verte. A proximité seulement, et il faudra donc après un rebond technique une nouvelle vague de baisse cette fois bien sur le support vert, pour engendrer un rebond en direction de la ligne de cou cassée en janvier.
Le contact contre cette ligne de cou fut bref, tout comme la rechute depuis un mois, et qui dessine la seconde épaule d’une autre figure en ETE, dont la tête n’est autre que l’ETE évoquée ci-dessus.
Nous voici donc justement sur la ligne de cou de cette grosse ETE, et même légèrement en dessous au moment où j’écris ces quelques lignes, même si le marché semble effectuer un pull back sur les 4412 mentionnés hier et cassés ce matin.
Que se passerait-il en cas de cassure ? D’un point de vue purement graphique, cela donnerait un objectif baissier aux alentours du tracé vert vers 3150/3200 pts, et globalement vers l’ellipse dessinée et qui voit l’intersection de trois supports. Reste à voir si cela est cohérent avec les fondamentaux. Car si l’analyse technique est pertinente notamment à CT, il faut dans de telles unités de temps aussi regarder ce que cela signifierait. A 4400, nous avons des niveaux de valorisation dans l’ensemble particulièrement faibles, et énormément de mauvaises nouvelles déjà intégrées, un pétrole au plus haut (et sans doute surévalué de 30 à 40%), un dollar au plus bas. Si le marché devait aller visiter les 3150/3200, j’ai bien peur que cela corresponde à une sacré dégradation de l’économie mondiale, à la limite d’un effondrement du système financier ou une guerre majeure. Mais que fait-on d’un autre côté de l’argent du pétrole, qui représente des sommes immenses et qui devraient profiter des soldes pour se positionner sur les marchés.

Bref, si le pire n’est pas impossible, un marché qui atteindrait l’objectif de cette ETE ne saurait à souhaiter pour personne, que ce soit pour l’égo des analystes techniques et même les vendeurs à découvert. Car à de tels niveaux de cours, ce n’est sans doute pas que la bourse qui irait mal.

J’essaierai de suivre ce graphique hebdo de temps en temps pour faire le point sur la situation.

A lire également :
Analyse CAC 26/06/08
Analyse Nasdaq 24/06/08
Analyse DJ 24/06/08

(24 commentaires)

  1. Très bonne question. Tout dépend de votre situation personnelle, de vos types d’investissement, etc… Peut-être commencer par voir si on casse vraiment les 4400.
    Pour des questions plus précises, n’hésitez pas à me contacter par email.

  2. C’est vrai que cela peut faire peur mais l’analyse a au moins un interet majeur. Même 3200, la croissance sur 13 ans aura été un peut supérieur a 4% par ans. Se qui est meilleur que la croissance du PIB pour cette même période, supérieur a la moyenne monaitaire.
    Est ce qu’il serait devenu incohérent que la bourse soit en accord avec les fondamentaux, C’est a dire la croissance du PIB ? …..

  3. J’ai du mal à vous suivre avec vos comparaisons entre croissance du PIB et bourse. D’autant que si on descend à 3200, cela voudrait sans doute dire décroissance du PIB…

  4. Je veux dire que si le PIB est l’étalon de la croissance et le reflet des biens et services PRODUIT. Il me semble logique que la valeur des entreprise soit corrélé a cette indicateur. C’est a dire que si le PIB et de 4% les richesse produites devrait être de 4%. Hors en bourse cela a été largement supérieur. Donc dans le pire des cas 3200 reste tu a fait en corrélation avec l’augmentation des richesse de ces entreprises.

  5. Certaines personnes essaient de reconstituer la valeur du CAC40 avant sa création au 31 décembre 1987 où il fut fixé à 1000 points. On s’aperçoit que dans les années 60 et 70, la valeur « calculée » du CAC40 avait baissé alors que la croissance et le PIB étaient loin d’être négative.
    http://www.univ-orleans.fr/leo/semmar/lebris.pdf
    De plus, sa composition et son mode de calcul ont plusieurs fois changé au cours du temps. Aujourd’hui, le CAC40 est supposé représenter les 40 meilleures sociétés en terme de capitalisation boursière flottante.
    Mais les sociétés peu performantes sont souvent remplacées ce qui tend à survaloriser l’indice (prenons par exemple en 2006 le remplacement de Publicis par Vallourec). Par analogie avec l’école, on ne prend que la moyenne des bons éléves pour calculer le CAC40.
    De plus, il faudrait inclure les dividendes dans les calculs ce qui n’est pas fait. Les dividendes représentent environ un quart des plus-values.
    Si on parle de rendement, dans les années 80 et jusqu’au début des années 90, les placements monétaires à court terme assuraient un bon 8% à 10% annuel sans risque ce qui explique le peu d’intérêt pour les actions qui ont vraiment explosé lorsque les taux d’intérêt ont chuté à moins de 5% au milieu des années 90.
    Pour info, il y avait même en 1981 des obligations sur 8 ans rapportant 16.75%.
    http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006063583&dateTexte=20080629

  6. Merci pour l’info, el gringo. Je vais me faire un plaisir de lire regarder cela. Mais j’ais bien aimer la relation entre taux et actions. je vais y réfléchir.

  7. Merci en effet El Gringo pour ces précisions fort utiles.
    Logique, j’avais bien compris ce que vous avanciez, mais ce qui me semblait surprenant était une comparaison aussi directe. D’ailleurs, la performance LT des marchés actions est de l’ordre de 7 à 8% annuels. Le PER est un autre élément (même s’il est contestable sur plusieurs points) qui permet d’évaluer le prix moyen des marchés. J’ai fait un peu de ménage ce we et suis tombé sur d’anciennes revues et autres publications. Il y avait notamment un article sur le PER : la moyenne des dernières décennies était de l’ordre de 17 à 18 pour le PER (rappel = cours / bénéfice par action). En novembre 2006, le PER moyen du CAC était de 12/13 avec un CAC vers 5300… 2007 a vu une poursuite de la croissance des bénéfices, et même si 2008 est plus décevante en la matière, le PER du CAC doit plutôt tourner autour de 10/12 actuellement… De quoi faire réfléchir…

  8. Bonjour,
    Une petite question ! Faut il investir en bourse ?
    Personnellement je pense que le rebond va étre du méme ordre qu’aprés l’effondrement de la bulle internet, la baisse va donc durer 2 à 3 ans.
    Cependant comme j’aime la contradiction j’ai moi méme investi, pariant sur des micro variations de certaines entreprises.
    L’incertitude est la suivante, quand on lit vos analyses statistiques on ne peut que penser que le CAC va baisser. Par contre quand on écoute le « milieu » on ne peut que penser que celui ci est tributaire de l’état d’esprit des acteurs boursiers. Par exemple acheter du geodis il y a peu fassait faire la culbute.
    Vos avis ?

  9. Alors la el gringo respect 🙂
    J’ai trouvé pas mal de choses que je cherchais dans ce doc.
    Pour nikos:
    Si on mets de coté le contexte economique particulier dans lequel nous sommes, on peut dire que la valorisation des entreprises est historiquement et à peu pret neutre. Ce serait donc le moment pour (re)commencer à investir sur du long terme mais en ne selectionnant que certaines entreprises. En prenant ces mêmes entreprises, il y a surement des bon coup a faire sur le court termes en faisant des arbitrages tous les 2/3 mois environs.
    Maintenant en reprenant le contexte actuel, il est fort possible que la bourse continue sa dégringolade pendant 1 à 3 ans avec un objectif à terme aux environs des 3 000 pt (peut etre même avec un passage pret des 2 000).
    Tout ceci va dépendre de décisions « arbitraires » (BCE, UE, …) que nous ne pouvons pas prévoir.
    A noté que j’ai exclu la possibilité d’un éclatement économique et financier car se serait une autre histoire.
    Voila mon avis personnel qui vaut ce qu’il vaut.

  10. Nikos : faut-il investir en bourse ? Oui bien sûr (et je ne vous le dis pas en tant que gérant susceptible de récupérer des clients :-), mais en tant qu’investisseur moi-même), le plus régulièrement possible de manière générale, mais commencer aujourd’hui est plutôt un bon créneau. Il est bien sûr difficile de dire si on est sur un point bas ou si on va continuer à baisser dans les prochains mois, mais à partir où l’on considère le niveau de valorisation fondamental du marché, les niveaux actuels sont particulièrement attractifs. Et à partir du moment où vous investissez régulièrement, cela vous permet de lisser les variations du marché, en profitant même mieux des creux.
    Pour Phil, qu’est-ce qui vous fait dire que les niveaux de valorisation du marché sont neutres ? Je trouve le marché pour ma part bien faible, intégrant beaucoup de mauvaises nouvelles. Il n’y a qu’à regarder le rendement de bon nombre de titres…

  11. Michel,
    je dis que les niveaux de valorisation du marché sont neutres car d’une part ils correspondent assez au rendement historique moyen et d’autre part que ce rendement gagne du terrain sur les taux (tous confondus) actuellement pratiqués sans pour autant s’en détacher convenablement.
    Par ailleur, je pense que les bénéfices à venir vont être revu a la baisse pour cause de ralentissement économique et qu’en parrallèle les taux vont continuer de monter (env + 2% fin 2009) avec tout ce que cela entraine (ralentissement éco, purge monétaire, recule de la spéculation, ect …)
    Je suis d’accord avec toi sur « Il n’y a qu’à regarder le rendement de bon nombres de titres », je le dis aussi quand je dis de « selectionner certaines entreprises » (qui ont des rendements particulièrement élevées).
    Pour résumer, je dirais que la ou on est « pas d’accord » c’est en ce qui concerne l’anticipation de l’avenir proche.

  12. Justement si : je suis tout à fait d’accord avec Marc Fiorentino (je n’avais pas lu son édito, mais il est intéressant), même si cela n’a pas toujours été le cas. Voir à ce sujet mes dernières analyses, qui essaient de faire la part des choses entre ce que pourrait nous dire l’AT et le reste (AF + psycho). Là où on n’est pas d’accord, c’est sur le niveau de valo des marchés. Je les considère comme peu chers, et vous comme à leur prix a priori.
    Certes, les bénéfices 2008 vont être revus à la baisse, mais d’une part les résultats et perspectives annoncées au printemps dernier ont montré une belle résistance et une visibilité très acceptable (malgré des discours forcément prudents en ces temps chaotiques), et d’autre part tout ceci me semble déjà pricé par les marchés. Ensuite, si on regarde le PER et les bénéfices, même avec une baisse en 2008, on devrait se situer au dessus ou équivalent aux niveaux de 2006. Or en 2006, les marchés étaient bien au dessus des niveaux actuels, avec des PER déjà peu élevés d’un point de vue moyenne historique.
    Quand on voit des replis de 50% ou plus sur certains titres, alors qu’il n’y a pas eu pour l’instant la moindre baisse de bénéfices (tout au plus un ralentissement de la croissance), on price quand même pas mal de mauvaises nouvelles non ?

  13. En résumé, l’AT est neutre avec risque baissier sur le CAC, même si à voir les US, le Nasdaq et le DAX, on semble plutôt sur des supports et donc plutôt prêts à rebondir, et le pessimisme ambiant et les niveaux de valo militent eux plutôt pour une hausse CT.

  14. On est globalement d’accord sur les valorisations actuelles.
    Par contre je penses deux choses:
    D’une, qu’il ne faut pas se fier au PER car à mon avis, beaucoup d’investissements sont fait à fond perdu (entre autres choses).
    Deuxièmement, on a fait beaucoup de crédits dernièrement (effet de levier, immo, ect …) qu’il va falloir rembourser. Il faut prendre en compte le fait que l’argent n’est pas parti dans l’eco réèlle mais dans les produits d’investissement à cause de la mauvaise répartition des richesses. Cet agent est en train de se répendre dans l’eco réelle pour diverses raisons ce qui provoque l’inflation que nous connaissons en ce moment. Bon gré (taux), mal gré (inflation), la masse monétaire est en train de se purger ce qui va entrainer mécaniquement une baisse de la consomation et une baisse du prix des actions qu’elle que soit les bénéfices des entreprises concernées.
    Qu’en penses-tu ?

  15. Michel,
    comme tu as peut-etre penser que je ne répondais pas à ta question, je précise que sur les valorisations actuelles je te rejoind, nombre d’entre elles ne sont pas degeulasses à cet instant « T » et on peut imaginer que le marché a déjà anticipé la suite.
    Voila un lien vers une discution entre toi, moi et El Gringo en octobre 2006 au sujet de ce qui « tenait la maché » à cette époque. J’ai bien tout lu et bien tout compris et c’est ce qui me permet d’immaginer ce qui va se passer dans les années à venir. Je pense que ca va vous faire sourire.
    http://www.leblogfinance.com/2006/11/misance_cac_40_.html
    En résumé, je m’attend maintenant à des cascades de mauvaises nouvelles à mesure que les taux vont monter pour justifier la baisse du CAC (à postériori comme d’habitude).

  16. Il semblerait que les gourvernements aient l’intention de reprendre les choses en mains. Le problème c’est que seule les banques centrale peuvent leur donner se pouvoir. Ces histoire de taux sont a suivre, il me semblent. Le marchée obligataire semble rester une alternative a la stabilité. Et une garantie contre les prédateurs trop riche qui en veulent encore plus.
    M’enfin, c’est plutot de la philo que de l’économie.

  17. Phil2,
    Très intéressant de revenir à notre discussion de fin 2006… (sourire effectivement, et mêmes qques regrets en termes de timing) et de voir ce que l’avenir nous a réservé… Quant à la cascade de mauvaises nouvelles qui justifierai a posteriori la baisse actuelle, c’est quelque chose de tout à fait possible et paradoxalement ce qui pourrait faire repartir le marché (après peut-être brève chute).
    A l’époque (bon d’accord, ce n’était qu’il y a un an et demi, mais ça paraît tellement loin en terme boursier), on se demandait ce qui pourrait justifier une poursuite de la hausse après déjà 3 ans et demi de belle hausse : une consolidation semblait logique, les risques avaient été bien identifiés (mais ils ont mis bien plus de temps que prévu avant de peser sur les marchés), mais les niveaux de valorisation restaient corrects. Aujourd’hui, c’est un peu le même dilemne, les niveaux de valorisation restent attractifs, mais la tendance à changé. Une autre constante : le manque de visibilité et de prévisibilité des variations selon des modes de raisonnement classiques. On peut faire de bonnes analyses macro ou micro-économiques, mais quant à leur impact sur les marchés et le timing de cet impact, c’est une autre chose. Comment investir donc ? Ben en faisant du CT quand c’est possible pour sécuriser les gains obtenus, et pour le reste du plus LT pour gommer le pb du timing, en essayant de ne pas trop se faire polluer par l’ambiance du moment.
    Pour répondre à ton message précédent, les PER ne sont effectivement pas la panacée, je ne suis pas un fan du fondamental en temps normal, mais quand on arrive dans des extrêmes et des variations importantes dans un sens ou dans l’autre, il me semble intéressant d’y jeter un oeil. Le PER n’est bien sûr pas non plus le seul critère.
    Mais que veut dire à fond perdu ? Les sommes investies rapportent toujours à quelqu’un même si ce n’est pas toujours celui imaginé au départ.
    Les réflexions sur la masse monétaire sont également très intéressantes, quant à être capable de bien analyser le phénomène, c’est une autre histoire et je ne suis pas sûr de bien maîtriser tous les tenants et aboutissants. Tu dis qu’on a fait beaucoup de crédits : les particuliers surtout, car les entreprises ont elles plutôt réduit leurs niveaux d’endettement par rapport à 2002/2003. Donc baisse possible de la consommation, mais potentiel d’investissement des entreprises (qui ont souvent beaucoup de cash). Ce ne sont donc peut-être pas les mêmes secteurs économiques qui vont être mis en avant.
    L’argent pas parti dans l’éco réelle ? Comment déjà évaluer cette part ? Et est-ce bien vrai ? J’avoue là aussi avoir bien du mal à évaluer cet aspect et ses conséquences, tellement les sommes passent d’un support à un autre sans arrêt. Pour moi, l’effet de richesse vient avant tout de la vitesse avec laquelle l’argent passe d’une main à l’autre. Plus une même somme d’argent tourne et passe de main en main, plus chacun s’enrichit au passage. Et ce qui se passe en ce moment, c’est que l’argent semble tourner moins vite.
    Quant à savoir si la masse monétaire se purge comme tu dis : la baisse de l’immo et des marchés actions provoque bien sur un appauvrissement mécanique. Des milliards partent en fumée. Mais que dire des sommes issues du pétrole et des matières premières en général? De quoi compenser au moins en partie cette baisse des actifs immo et action. Et l’argent qui sort de l’immo ou qui allait auparavant vers l’immo ne serait-il pas tenté de se porter sur les marchés actions, qui offrent de bon rendements et des valos faibles?
    Bon, désolé de ne pas poursuivre la discussion, mais j’ai encore énormément de taf d’ici demain et un nouveau déplacement professionnel.
    Je travaille par ailleurs au développement d’un nouveau site bourse. J’y reviendrai dans qques semaines.

  18. Merci Michel pour ta disponibilité de chaque instant, c’est déjà beaucoup.
    J’aimerais aussi savoir ce que El Gringo penses de tout ça. (La masse monétaire dans la bourse, ce que la hausse des taux laisse envisager et sur les flux eco réèlle/investissement et éventuellement sur la répartition es richesses)

  19. je pense que le réelle problème et la masse monaitaire émisse par les banques. Tous les vendeurs ont été crédités. Ces sommes peuvent trés facilement déplacer, placer ou échangé. Ont déplace vers se qui rapporte au CT (court terme). Ou sinon ont s’abstient. Je crois que le problème est plutot dans l’abstention. Pourquoi s’abstenir du long, sinon pour des raisons d’inquiétude. Lorsque l’ont est pas inquiet ont fait des projets sur le lomg terme, losuqe l’on est inquiet des projets sur le court terme et le sécurisé.
    Je ne sais pas mais il me semble que les possibilité a court terme sont plus rassurante qu’a lomg terme.
    Un tiens vaux mieux que deux tu l’aura.

  20. Merci pour vos réponses.
    Je continue à penser que j’aurais du attendre 2009 pour le rebond 😉 mais les connaissances évoluent avec la pratique.
    En écoutant C dans l’air (désolé) et en regardant le contexte international, il me semble évident que le CAC va baisser, parce que les acteurs regardent trop les USA (d’où une forte corrélation avec leurs indices), les matières premières vont continuer à augmenter (LT) et les marchés sont en train de l’anticiper, pour réguler cela tout ce qui reste aux acteurs éco c’est le ralentissement économique.
    Enfin la BCE n’a pas baissé ses taux ce qui au contraire des USA, ne favorise pas les grands mouvements de capitaux sur lesquels nous les petits porteurs 🙂 pouvons surfer.
    Oui les acteurs jouent à CT ce que les petits porteurs ne peuvent faire pour l’instant.
    cordialement

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