Magnifique ! Le jour même où Donald Trump annonce vouloir signer un décret un permettant de bloquer pendant un mois l’arrivée aux États-Unis des ressortissants de sept pays musulmans – avec en tout premier lieu l’Irak – le bureau du Premier ministre irakien a informé de la signature d’un accord d’un milliard de dollars avec le conglomérat américain General Electric (GE) pour la construction de deux centrales électriques. Lesquelles sont destinées à atténuer les pannes de courant répétées dans le pays. Espérons tout de même qu’une exception sera faite pour ingénieurs et officiels irakiens désirés de fouler le sol américain dans le cadre de l’officialisation et de la mise en œuvre dudit contrat. Lequel, au passage, devrait créer des emplois outre-Atlantique, conformément à la ferme volonté du nouveau président US.
Les deux centrales, dotées chacune d’une capacité de 750 megawatts, seront construites dans les provinces de Zi Qar et Mouthanna, au su du pays, pour un coût total de 1,05 milliard de dollars, a indiqué par ailleurs le cabinet de Haider al-Abadi dans un communiqué.
Le 19 janvier – soit la veille de l’investiture de Donald Trump – GE avait annoncé l’accord, indiquant avoir obtenu une commande de plus de 1,4 milliard de dollars pour installer les deux centrales et assurer la maintenance d’autres unités. Un calendrier loin d’être anodin alors que le géant américain tente par ailleurs d’obtenir des signatures de contrats à Cuba, avant que Donald Trump ne s’attaque au dossier et ne remette éventuellement en cause le dégel opéré par l’administration Obama.
A noter que l’Irak fait face depuis des années à d’importants problèmes d’alimentation électrique qui privent les habitants de courant quotidiennement pendant des heures alors que les températures atteignent facilement 50 degrés Celsius en été.
Durant l’été 2015, des milliers d’Irakiens étaient descendus dans les rues, criant leur ras-le-bol face à aux coupures de courant, des services publics défaillants et une corruption. Ce mouvement avait forcé le Premier ministre irakien Haider al-Abadi à annoncer des réformes visant à mieux lutter contre la corruption. N’apportant toutefois que peu de changement jusqu’à l’heure actuelle.
Reste que cette situation pourrait être en grande partie liée aux conséquences de l’invasion de l’Irak par les Etats-Unis.
En tout état de cause, Donald Trump a indiqué mercredi qu’il envisageait de signer jeudi 26 janvier un décret présidentiel portant suspension de la délivrance de visas aux citoyens des pays à dominante musulmane, souhaitant bloquer pendant un mois l’arrivée aux États-Unis de ressortissants de sept pays musulmans : Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen.
Ce projet de décret présidentiel publié mercredi soir par le quotidien américain Washington Post et intitulé « Protéger la nation d’attaques terroristes par des étrangers » prévoit également l’arrêt complet pendant quatre mois du programme américain d’admission de réfugiés de pays en guerre. « Ce n’est pas une interdiction contre les musulmans mais cela concerne des pays qui ont beaucoup de terrorisme », a affirmé le milliardaire.
Sources : AFP, France24, iraq-businessnews.com
Elisabeth Studer – 27 janvier 2017 – www.leblogfinance.com
Trump prend un décret pour stopper l’entrée aux Etats-Unis de « terroristes islamiques radicaux »
Washington – Le président des Etats-Unis Donald Trump a annoncé vendredi avoir pris un décret en matière d’immigration prévoyant des contrôles renforcés aux frontières destinés à stopper l’entrée éventuelle de « terroristes islamiques radicaux ».
« Je mets sur pied de nouvelles mesures de contrôle pour maintenir hors des Etats-Unis les terroristes islamiques radicaux. Nous ne les voulons pas ici », a martelé le président américain lors d’une cérémonie au Pentagone d’investiture de son secrétaire à la Défense James Mattis.
Ce décret intitulé « protection de la nation contre l’entrée de terroristes étrangers aux Etats-Unis », était attendu depuis mercredi soir lorsque le journal Washington Post en avait publié une copie.
« C’est du lourd », s’est exclamé le 45e président des Etats-Unis devant des hiérarques militaires réunis au Pentagone.
« Nous voulons être surs que nous ne laissons pas entrer pas dans notre pays les mêmes menaces que celles que nos soldats combattent à l’étranger (…) Nous n’oublierons jamais les leçons du 11-Septembre » 2001, a proclamé M. Trump, en allusion aux attentats perpétrés aux Etats-Unis par le groupe Al-Qaïda.
Dans le détail et d’après le projet de décret publié mercredi par le Washington Post, mais que la Maison Blanche n’avait pas rendu public vendredi soir, les autorités américaines bloqueraient pendant un mois l’arrivée de ressortissants de sept pays musulmans: Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen.
Ce texte prévoirait aussi l’arrêt complet pendant quatre mois du programme fédéral d’admission et de réinstallation de réfugiés de pays en guerre. Un programme humanitaire ambitieux créé par une loi du Congrès en 1980.
Les réfugiés syriens, qui ont fui par millions le conflit dans leur pays, mais dont seulement 18.000 ont été acceptés aux Etats-Unis depuis 2011, seraient, eux, définitivement interdits d’entrer.
Pour l’année budgétaire 2016 (du 1er octobre 2015 au 30 septembre 2016), les Etats-Unis, à l’époque gouvernés par Barack Obama, avaient admis précisément sur leur territoire 84.994 réfugiés, toutes nationalités confondues, dont un peu plus de 10.000 Syriens.
L’administration Obama, qui avait reconnu en septembre 2015 qu’elle pouvait faire davantage, s’était donnée l’objectif de 110.000 réfugiés acceptés pour l’année budgétaire 2017. L’administration Trump en viserait dorénavant seulement 50.000, toutes nationalités confondues, selon le projet de décret.
Le président républicain a été élu le 8 novembre sur des slogans de campagne nationalistes, isolationnistes et de lutte contre le « terrorisme islamique radical ».
(©AFP / 27 janvier 2017 23h22)
Le président iranien critique Trump, affirme que l’époque des murs est « révolue »
Téhéran – Le président iranien Hassan Rohani a critiqué samedi, sans le nommer, le président américain Donald Trump, affirmant que l’époque de la construction de murs entre les pays était « révolue ».
Il n’a toutefois pas réagi directement à la décision du président Trump d’interdire pendant trois mois l’entrée de ressortissants de plusieurs pays musulmans, dont les Iraniens, aux Etats-Unis.
« Aujourd’hui, on n’est plus à une époque où on construit des murs entre les nations. Ils (les dirigeants américains, ndlr) ont oublié qu’il y a quelques années le mur de Berlin s’est effondré », a déclaré M. Rohani lors d’un discours retransmis à la télévision d’Etat.
« Il faut supprimer les murs entre les peuples. Le monde d’aujourd’hui n’est pas un monde où l’on renforce les écarts entre les nations », a-t-il ajouté.
M. Trump a signé mercredi un décret donnant le coup d’envoi au projet de construction d’un mur le long de l’immense frontière entre les Etats-Unis et le Mexique, sa promesse de campagne la plus emblématique.
Vendredi, il a signé un autre décret pour interdire pendant trois mois l’entrée aux Etats-Unis de ressortissants de sept pays musulmans: Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen. A l’exception de ressortissants détenteurs de visas diplomatiques et officiels et qui travaillent pour des institutions internationales.
Le président Rohani s’est gardé de réagir à ce décret.
L’Iran et les Etats-Unis n’ont plus de relations diplomatiques depuis plus de 37 ans, mais environ un million d’Iraniens vivent aux Etats-Unis, selon les estimations officielles iraniennes. Il s’agit de la plus forte communauté iranienne vivant à l’étranger. De nombreux Iraniens se rendent également chaque année aux Etats-Unis pour voir leur famille.
M. Rohani, qui intervenait lors d’un conférence internationale sur le tourisme, a affirmé que depuis l’accord nucléaire avec les grandes puissance conclu en juillet 2015, l’Iran avait lui « ouvert ses portes aux touristes étrangers ».
Jeudi, avant que le président américain ne signe son décret, l’actrice iranienne Taraneh Alidousti, 33 ans, à l’affiche du film « Le client » nommé aux Oscars, avait annoncé qu’elle boycotterait la cérémonie prévue en février à Hollywood.
« L’interdiction de visa portée par Trump contre les Iraniens est raciste. Qu’elle s’applique ou non à un événement culturel, je n’assisterai pas aux #AcademyAwards 2017 en signe de protestation », avait-elle écrit sur son compte Twitter.
Interrogé par l’AFP, Moshen Najari, un habitant de Téhéran de 33 ans, a noté que « les Américains eux-mêmes sont en majorité des immigrants ». »Désigner quelques pays en les qualifiant de terroristes n’est pas logique », a-t-il ajouté.
Sima, jeune femme de 27 ans, affirme elle que cette décision du président américain « n’a rien à voir avec le terrorisme ». « Les Etats-Unis ont de bonnes relations avec l’Arabie saoudite et ils se moquent de savoir combien de terroristes viennent » de ce pays, grand rival de l’Iran dans la région, ajoute-t-elle.
(©AFP / 28 janvier 2017 10h01)
Le voila le vrai portrait des US, des semeurs de merde planétaires,
se servant de religions débiles pour faire leur soupe minable:
https://www.lorientlejour.com/article/1031871/usa-trump-veut-donner-la-priorite-aux-refugies-syriens-chretiens.html
U.S. companies scramble to cope with seven-country immigration ban
U.S. companies scrambled on Saturday to cope with the fallout from President Trump’s executive order on immigration, with Google urgently calling back employees from overseas and companies rushing to provide legal advice and assistance.
Trump’s order bars citizens of seven countries from entering the United States even if they hold valid visas or permanent residence permits, a move that caught many companies off-guard.
Google Chief Executive Sundar Pichai said in an email to staff that more than 100 Google employees were affected by the order, according to a Google executive. One Google employee of Iranian nationality with legal U.S. residency made it back to the United States just hours before the order took effect, the executive said.
« We’re concerned about the impact of this order and any proposals that could impose restrictions on Googlers and their families, or that could create barriers to bringing great talent to the U.S., » Google, part of Alphabet Inc, said in a statement. « We’ll continue to make our views on these issues known to leaders in Washington and elsewhere. »
Microsoft President Brad Smith said in a company-wide email posted on LinkedIn that 76 company employees were citizens of the seven countries in question and held U.S. work visas, and thus were directly affected by the order.
He said the company had not determined how many people with green cards, or permanent residence status, might be affected.
« As a company, Microsoft believes in a strong and balanced high-skilled immigration system, » Smith said in the email. « We also believe in broader immigration opportunities, like the protections for talented and law-abiding young people under the Deferred Access for Childhood Arrivals (DACA) Program, often called « Dreamers. »
Smith also said: « We believe in the importance of protecting legitimate and law-abiding refugees whose very lives may be at stake in immigration proceedings. »
Facebook had no comment beyond a Friday blog post from CEO Mark Zuckerberg, in which he said he was « concerned » about the order and voiced support for immigrants.
« The executive order on immigration is immoral and antithetical to our values. It’s also deeply flawed as a matter of policy and will undermine our economy and our security in the long term, » Aaron Levie, co-founder and CEO, of cloud-based file-storage group Box, said in a company email.
Et voila ES qui se retrouve à utiliser encore et encore le patois des Mange Merde du Brexit !! Dommage que la tapisserie de Bayeux ne figure pas l’apprentissage du français chez les Anglois !! » Honi soit qui mal y pense » 🙂 🙂
Attention la roue tourne !!
cher retrouve, j’utilise l’english pour vous fournir des infos plus detaillées et plus rapidement que la presse française, qui , comme vous le savez, à l’instar de ses dits hommes d’etat a du mal avec la langue de chatquiexpire
et vive google translate
bizarrement , dans ces depeches/ articles, la presse française ne mentionne pas ou peu les « avis » de Microsoft
Décret anti-réfugiés: un juge interdit l’expulsion des personnes interpellées aux Etats-Unis
New York – Un juge fédéral américain a donné partiellement raison samedi soir à des ONG qui contestaient le décret anti-réfugiés signé par Donald Trump, en empêchant l’expulsion des personnes interpellées depuis vendredi en vertu de ce décret.
Selon un document du tribunal fédéral vu par l’AFP, la juge fédérale de Brooklyn, Ann Donnelly, qui avait été saisie par plusieurs associations de défense des droits de l’homme dont la puissante ACLU, a ordonné aux autorités américaines de ne procéder à aucune expulsion de ressortissants des sept pays musulmans concernés par le décret – Iran, Irak, Yémen, Somalie, Libye, Syrie, Soudan – disposant des papiers les autorisant à entrer aux Etats-Unis.
« C’est une remarquable journée », a déclaré victorieusement le directeur de l’ACLU, Anthony Romero, à sa sortie de l’audition d’urgence.
« Cela montre que quand le président Trump adopte des lois ou des décrets qui sont inconstitutionnels et illégaux, les tribunaux sont là pour défendre les droits de tous », a-t-il ajouté.
Même si l’affaire est loin d’être terminée et qu’une nouvelle audition devrait avoir lieu en février, a précisé l’avocat de l’ACLU Lee Gelernt, « l’important ce soir était que personne ne soit remis dans un avion ».
Il a également indiqué que la juge avait ordonné au gouvernement de communiquer la liste de toutes les personnes interpellées dans les aéroports américains depuis vendredi soir.
Des dizaines de ressortissants des sept pays concernés ont été arrêtés dans de nombreux aéroports des Etats-Unis suite à ce décret, sans qu’on connaisse encore leur nombre exact.
En plus de la plainte déposée par les associations, de nombreuses manifestations étaient en cours dans les aéroports pour demander la libération de ces ressortissants, qui disposent pour la plupart de visas en règle voire même parfois de la carte verte, le titre de séjour américain.
Décret Trump sur l’immigration: Bagdad appelé à appliquer la réciprocité
Bagdad – Des responsables politiques et des milices en Irak ont appelé dimanche à appliquer la réciprocité après le décret du président américain Donald Trump interdisant pendant trois mois l’entrée des citoyens irakiens aux Etats-Unis.
M. Trump a signé vendredi un décret interdisant l’entrée aux Etats-Unis des ressortissants de sept pays majoritairement musulmans (Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen), une mesure visant selon lui à lutter contre les « terroristes islamistes radicaux ».
Dimanche, la commission des Affaires étrangères au Parlement irakien a appelé Bagdad à appliquer la réciprocité.
« Nous avons clairement demandé que le gouvernement irakien agisse réciproquement dans tous les domaines (…) avec les Etats-Unis », a déclaré à l’AFP Hassan Chwairid, directeur-adjoint de la commission.
Un peu plus tôt, l’importante coalition paramilitaire du Hach al-Chaabi, dominée par des milices chiites qui combattent les jihadistes dans le pays, avait appelé à interdire d’entrée les Américains en réaction à la décision de Washington.
Ces groupes paramilitaires rassemblés sous l’ombrelle du Hachd al-Chaabi (Mobilisation populaire) sont engagés aux côtés des troupes américaines pour reprendre la deuxième ville du pays, Mossoul, aux jihadistes du groupe Etat islamique (EI).
« Après la décision du président américain d’interdire l’entrée des citoyens irakiens aux Etats-Unis, nous réclamons que les Américains soient empêchés de se rendre en Irak, ainsi que le départ de ceux qui sont déjà présent » dans le pays, a plaidé le Hachd dans un communiqué.
Le texte ne précise pas si cet appel concerne le personnel militaire américain déployé en Irak, et le porte-parole n’était pas disponible dans l’immédiat pour réagir.
Les Etats-Unis, qui comptent plus de 4.800 soldats en Irak, sont à la tête depuis septembre 2014 d’une coalition internationale antijihadiste qui soutient les forces irakiennes dans leur guerre contre l’EI. Washington fournit notamment un appui aérien et stratégique dans la vaste offensive lancée le 17 octobre pour chasser les jihadistes de leur fief de Mossoul.
Le Hachd al-Chaabi a joué un rôle majeur pour stopper l’avancée des jihadistes dans le pays en 2014, mais a ensuite fait l’objet d’accusations répétées pour des exécutions sommaires, enlèvements et destruction de propriétés au cours de la lutte anti-EI.
De son côté, le puissant dignitaire chiite Moqtada Sadr a lui aussi condamné les restrictions américaines et appelé Washington à « retirer ses citoyens » vivant à l’étranger avant de rejeter ceux des autres pays.
« Vous entrez en Irak et dans les autres pays en toute liberté mais empêchez (les ressortissants de ces pays) de se rendre dans le vôtre », a déploré cet influent chef religieux dans un communiqué dimanche, en condamnant l' »arrogance » des Etats-Unis.
Quelques heures après la signature du décret, de nombreux ressortissants des sept pays concernés ont été retenus dans les aéroports américains à leur arrivée ou empêchés d’embarquer au départ d’autres pays, suscitant de vives protestations et la condamnation des organisations de défense des droits de l’Homme.
Ces restrictions risquent d’aliéner les citoyens et le gouvernement d’un pays, l’Irak, qui combat les jihadistes, présentés par le président américain comme une menace majeure pour les Etats-Unis.
(©AFP / 29 janvier 2017 15h59)
La Ligue arabe « très préoccupée » par les restrictions d’entrée aux Etats-Unis
Le Caire – Le chef de la Ligue arabe s’est dit « très préoccupé » dimanche après les premières applications du décret du président américain Donald Trump interdisant l’entrée aux Etats-Unis de ressortissants de sept pays majoritairement musulmans.
Il s’agit de « restrictions injustifiées », a réagi dans un communiqué le secrétaire général de l’organisation panarabe basée au Caire, Ahmed Aboul Gheit, déplorant également le refus de Washington d’accueillir sur son sol des réfugiés syriens jusqu’à nouvel ordre.
M. Trump a signé vendredi un décret interdisant l’entrée aux Etats-Unis des ressortissants de sept pays majoritairement musulmans (Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen), une mesure visant selon lui à lutter contre les « terroristes islamistes radicaux ».
M. Gheit a dit espérer que l’administration américaine « revienne sur sa position au regard des conséquences négatives qu’elle pourrait avoir sur (…) les familles et la poursuite du dialogue entre les sociétés arabes et la société américaine », notamment dans les domaines de la recherche scientifique et de l’éducation.
La récente décision de M. Trump a été critiquée par de nombreux dirigeants dans le monde.
(©AFP / 29 janvier 2017 18h07)
« cher retrouve, j’utilise l’english pour vous fournir des infos plus détaillées et plus rapidement que la presse française ».
Oui en fait tu répercutes éventuellement des niaiseries et tu n’est pas la seule car tout le monde ignore Allemand, Espagnol, Italien et je ne parle pas du Polonais !!
Voilà c’est tout simple !!
google translate est mon ami, cher monsieur !! 🙂
gros pb avec grec soit dit en passant. alors qu’effectivement , ca serait très interessant de prendre l’info directement en Grèce quelquefois …. 😉
USA-Mea culpa du secrétaire à l’Intérieur sur le décret contesté
07/02/2017 | 21:39
Le secrétaire américain à la Sécurité intérieure, John Kelly, a déclaré mardi devant une commission parlementaire qu’il aurait dû attendre avant de mettre en oeuvre le décret anti-immigration de Donald Trump, afin d’informer le Congrès.
L’ordre exécutif signé le 27 janvier, qui interdit notamment aux ressortissants de sept pays majoritairement musulmans l’accès au territoire américain pendant 90 jours, a été appliqué dans une grande confusion par les services de l’immigration et suscité un tollé international.
« Nous voulions aller vite pour éviter que des gens nous voulant du mal puissent profiter d’un délai pour sauter dans un avion et venir ici », a déclaré John Kelly.
« Je suis le seul responsable. J’aurais dû retarder un peu (l’application) pour pouvoir parler aux membres du Congrès. »
Le secrétaire à la Sécurité intérieure a toutefois défendu le décret du 27 janvier, actuellement bloqué par la justice, en déclarant que les sept pays visés ne disposaient pas d’un système adéquat d’échange d’informations sur les ressortissants potentiellement dangereux. Il a démenti des rumeurs selon lesquelles douze autres pays pourraient être ajoutés à la liste.
John Kelly a également tempéré une partie du discours de Donald Trump sur la lutte contre l’immigration clandestine, lors de cette audition devant la commission de la Chambre des représentants sur la Sécurité intérieure.
Par un décret en date du 25 janvier, Donald Trump a menacé de priver de fonds fédéraux ce qu’il nomme les « villes sanctuaires », au nombre d’environ 300, afin de les forcer à coopérer dans l’arrestation et l’expulsion des immigrants illégaux. Mais « ce sera au cas par cas », a assuré John Kelly.
Le décret présidentiel protège la police de ces sanctions financières, mais pas les programmes d’éducation ou de santé.
John Kelly a également reconnu qu’il serait difficile de disposer dans les deux ans du nombre d’agents des douanes, de la protection des frontières et de l’immigration voulu par le président des Etats-Unis dans ce même décret.
Donald Trump a demandé la création de 5.000 emplois dans le service des douanes et de la protection des frontières et de 10.000 dans celui de l’immigration. Le président américain n’a toutefois pas fourni de calendrier pour le recrutement et la formation de ces agents.
John Kelly a expliqué qu’il ne pouvait pas « faire l’impasse sur l’entraînement et le niveau » des agents pour accélérer le processus de recrutement.
Le secrétaire à l’Intérieur a enfin précisé que le mur que Donald Trump entend faire construire entre les Etats-Unis et le Mexique prendrait par endroits la forme d’une clôture et pourrait ne pas couvrir toute la frontière.
La construction du mur, a-t-il ajouté, devrait être « bien avancée » au terme des deux prochaines prochaines années.
Donald Trump estime que la construction de ce mur est nécessaire pour mettre un terme à l’immigration clandestine en provenance du Mexique. Il a également promis à ses électeurs que le Mexique paierait la construction de cet édifice.
Etats-Unis: revers judiciaire pour le nouveau décret migratoire
Washington – Le nouveau décret migratoire du président américain Donald Trump a rencontré un premier obstacle judiciaire majeur avec la décision d’un juge fédéral américain de le suspendre provisoirement pour l’épouse et l’enfant d’un Syrien réfugié aux Etats-Unis.
Parallèlement, plusieurs grandes organisations de défense des droits civiques et des réfugiés ainsi que des particuliers ont annoncé le dépôt d’un recours en justice contre ce décret, qui sera examiné le 15 mars à la veille de son entrée en vigueur, renforçant la bataille judiciaire engagée par plusieurs Etats américains.
Dans un jugement préliminaire s’appliquant uniquement à un Syrien ayant déjà obtenu le droit d’asile aux Etats-Unis et à sa famille, un juge fédéral du Wisconsin, William Conley, a estimé vendredi que le plaignant « court un grand risque de souffrir un dommage irréparable » si le décret est appliqué.
Le réfugié syrien a choisi de conserver l’anonymat car son épouse et son enfant vivent toujours à Alep (Syrie).
Il s’agit du premier jugement à l’encontre du nouveau décret fermant temporairement les frontières américaines aux réfugiés du monde entier et aux citoyens de six pays majoritairement musulmans.
Adopté lundi pour application le 16 mars, il interdit l’entrée à tous les réfugiés durant 120 jours et suspend l’octroi de visas durant 90 jours pour les ressortissants d’Iran, de Libye, de Syrie, de Somalie, du Soudan et du Yémen.
Ce décret est une forme atténuée de la version du 27 janvier qui avait provoqué une onde de choc dans le monde et avait été suspendue le 3 février par un juge fédéral de Seattle.
Le juge du Wisconsin a fixé une audience au 21 mars et, tout en admettant la possibilités de « différences importantes » entre les deux versions du décret, souligne que les arguments pro-suspension pourraient être confortés par « d’autres tribunaux ».
Pour sa part, la puissante association de défense des droits civiques ACLU (American Civil Liberties Union) a annoncé le dépôt d’un recours fédéral contre le nouveau décret aux côtés du National Immigration Law Center au nom des organisations de défense des droits et d’aide aux réfugiés HIAS et de l’International Refugee Assistance Project, de l’association Middle East Studies, ainsi que de plusieurs particuliers « dont des citoyens américains, affectés par le décret ».
Le nouveau décret, comme le précédent, « a été motivé par un sentiment anti-musulman et discrimine explicitement sur la base des origines nationales », avancent ces organisations.
« Passer une nouvelle couche de peinture sur l’interdiction d’entrée des musulmans (« muslim ban ») ne règle pas le problème fondamental qui est que la Constitution et nos lois interdisent la discrimination religieuse », a déclaré un responsable de l’ACLU, Omar Jadwat, dans un communiqué.
Un juge fédéral du Maryland, Theodore Chuang, a fixé une audience le 15 mars.
De leur côté, plusieurs Etats américains sont engagés dans une bataille judiciaire contre ce nouveau décret.
Le juge fédéral de Seattle dans l’Etat de Washington (nord-ouest) qui avait suspendu en février la première version a refusé d’étendre cette mesure au décret révisé, demandant aux plaignants de fournir des documents de procédure supplémentaires.
Le responsable judiciaire de l’Etat de Maryland a annoncé qu’il rejoindrait lundi le recours déposé par l’Etat de Washington, également soutenu par les Etats du Massachusetts, du Minnesota, de New York et de l’Oregon.
« L’administration persiste à vouloir mettre en oeuvre une politique inhumaine et anticonstitutionnelle, et sape aussi notre sécurité au lieu de mieux nous protéger », avait écrit vendredi dans un communiqué le plus haut responsable de la justice de l’Etat du Maryland, Brian E. Frosh.
L’Etat de Hawaï avait annoncé dès mercredi un recours séparé pour demander une suspension provisoire du nouveau décret, pour laquelle une audience est prévue également le 15 mars.
La Maison Blanche invoque le renforcement de la sécurité nationale et veut mettre en place une politique de « vérification extrême » aux frontières pour empêcher des infiltrations jihadistes. L’opinion américaine est très divisée sur la question, montrent les sondages.
(©AFP / 11 mars 2017 12h06)
Les Européens vont faire l’objet de contrôles systématiques aux frontières extérieures de l’UE à partir de vendredi, en application d’une nouvelle législation européenne qui cible les « combattants étrangers » se rendant ou revenant d’Irak et de Syrie.
« Les Etats membres auront à partir de demain l’obligation de procéder » à ces contrôles « avec consultation des bases de données pertinentes », afin de « vérifier si les personnes franchissant les frontières représentent un danger pour l’ordre public ou la sécurité intérieure », a indiqué à l’AFP une porte-parole de la Commission européenne.
Proposée par la Commission un mois après les attentats de Paris du 13 novembre 2015, cette législation a ensuite fait l’objet d’une négociation entre les Etats membres et le Parlement européen. Ce dernier l’a adoptée en février dernier et son entrée en vigueur est prévue vendredi.
Jusqu’à présent, seuls les ressortissants de pays tiers (hors UE) faisaient l’objet de contrôles systématiques aux frontières extérieures, avec consultation des bases de données disponibles, au moment de leur entrée dans l’Union.
Le nouveau règlement prévoit des contrôles poussés également au moment de la sortie de l’Union et, surtout, il les étend aux ressortissants européens, qui n’étaient soumis jusqu’ici qu’à une simple vérification de leurs documents d’identité.
Les nouvelles règles valent pour tous les pays appliquant le code Schengen en matière de contrôles aux frontières. Le Royaume-Uni et l’Irlande ne sont pas concernés.
Des exceptions ont été prévues. Par exemple, si les contrôles « génèrent de trop longues attentes aux frontières maritimes et terrestres, les Etats membres pourront conduire des contrôles +ciblés+ » dans certains cas, avait précisé le Parlement européen lors de l’adoption du règlement.
Aux frontières aériennes, ils pourront aussi se contenter de contrôles « ciblés » pendant une période transitoire de six mois, avec de possibles prolongations.
Cette législation a été adoptée pour faire face notamment au phénomène des « combattants étrangers ». Entre 2.000 et 2.500 Européens partis combattre en Irak et en Syrie seraient encore sur place, selon un rapport du coordinateur de l’UE contre le terrorisme, daté de décembre 2016.
(©AFP / 06 avril 2017 21h04)
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