Il y a quand même ces disparitions de preuve (les sacs ont été changés, etc.) qui laissent penser que Total n’est pas tout à fait blanc dans cette histoire.
Des essais secrets de l’armée, une multinationale trouble, des terrosristes, une gigantesque explosion : mais nous sommes en plein M.I.IV le retour !!!
@ Elisabeth : savez-vous combien Total a provisionné dans ses comptes 2005 au sujet de l’éventualité de sa mise en examen ?
« Il y a quand même ces disparitions de preuve (les sacs ont été changés, etc.) » …… certes mais par qui ? Pourquoi ? tres sombre histoire , en tout cas , quelle que soit la vérite .
Je vais essayer de retrouver chez moi vieux articles del’Express sur le sujet , tres edifiant egalement !!!
En tout cas, comme vous le dites , tous les scenarios evoqués laissent songeurs :
« Des essais secrets de l’armée, une multinationale trouble, des terroristes, une gigantesque explosion : mais nous sommes en plein M.I.IV le retour !!! » ….
de plus qu’il y a une grosse différence entre chiffre réel des victimes / chiffres fournis (morts le jour même)
L’histoire du drone semble irréaliste mais en fait j’ai oublié de le mentionner , il aurait été là pour surveiller / prendre les mesures des essais , procédure normale à priori selon experts scientifiques.
Par ailleurs, de nombreuses personnes temoignent d’un survol d’un aéronef.
En tout cas l’ARC electrique a été releve par maints rapports !!!! alors que trois policiers du SRPJ ont exclu catégoriquement cette piste ….. bizarre
pas politiquement correct de fouiller l’arc electrique
Mille mercis pour votre commentaire , je relis tres attentivement actuellement le livre de Jean-Pascal SERBERA « Attentat à la SNPE » qui reprend les mêmes élements factuels que vous + explication des scientifiques en parallèle.
Je relis tres attentivement vos commentaires et reviens vers vous .
Il est aberrant d’occulter l’Arc électrique …. mais qui dit Arc électrique dit creuser le phenomène en amont qui a provoqué l’arc…. et c’est la que cela derange !!!!
merci encore pour la Vérite et les victimes .
TOUT de même aberrant , la contradiction de la justice sur le fait qu’il y ait eu ou non deux explosions.
…. d’autant + que Tout Toulouse parle de 2 explosions !!
evidemment cela pose pb , s’il y a eu deux explosions , l’une est-elle à l’origine de l’autre et quel est le phenomene initial ? On nous demande de ne pas trop fouiller ….
cf.
—————————————–
II
Concernant les arcs électriques…
Attention, en aucun cas l’hypothèse d’arc électrique géant ne peut être crédible. Cette thèse mentionnée par les experts qui savent très bien techniquement qu’un tel arc est impossible (souterrain ou aérien) est alimentée pour créer une confusion et est bien entendu du pain béni pour ces experts qui cachent plus de 50 témoignages relatifs aux faisceaux et aux éclairs précurseurs.
Je parle de FAISCEAUX ELECTROMAGNETIQUES qui formeraient effectivement des arcs mais l’énergie est transférée sous forme d’ondes électromagnétiques pas électriques !
Pour schématiser c’est une variante en géant de ce que l’on peur faire avec la lumière et les fibres optiques. Là les faisceaux électromagnétiques, avant de parcourir l’atmosphère, ont des fréquences calibrées pour traverser depuis la source énergétique souterraine sous la colline de Pech David, les anciennes conduites d’eau de la SAUR !
Ce réseau abandonné par la SAUR fin des années 90, en partie disponible (notamment celui concernant l’ancien réseau du rectorat) a eu avec des conduites conductrices vide un rôle dans l’apparition des faisceaux sur le site industriel AZF-SNPE. Une partie de ce réseau qui était en relation avec tout le pôle chimique a une extrémité qui aboutit au nord de la zone déserte des ballastières (AZF-Sud). C’est de là que sont partis de grands faisceaux quasi-verticaux des deux grands arcs Nord et Sud à deux reprises : 10H18’00 et 10H18’25. Je donne 10000 d’euros à celui qui trouvera le plan complet du réseau d’eau auprès de la SAUR, de la CGE ou de la Mairie de Toulouse, réseau dont je peux prouver l’existence d’une partie allant vers la base souterraine !
Le député Jean Diébold, adjoint de la mairie de Toulouse justement chargé de ce type de réseau n’est pas venu le 7 mars 2006 rencontrer le ministre de la justice et le minsitre des affaires étrangères M. Douste-blazy, avec 5 autres députés du 31 pour le simple plaisir de forcer la justice à aller plus vite. Ce monsieur sait PARFAITEMENT que la mairie de Toulouse a détourner un réseau abandonné pour ces essais. Véolia (CGE) a même fait croire à des riverains qu’une des conduites souterraines dont une toute petite partie a été découverte par des ravinements faisait partie du réseau actuel : hors il n’en est rien et on peut encore le prouver. La Mairie a camouflé l’accès à d’autres infrastructures souterraines l’été 2005 justement dans le secteur de l’épicentre principal. Mais elle ne peut tout camouffler sous le sol et je sais que mon calcul de l’épicentre réalisée en Décembre 2004 à partir des données sismiques complètes du réseau des Pyrénées a déjà été effectué par d’autres pays hors-CEE depuis.
Les faisceaux électromagnétiques comme ceux des pistolets tétaniseurs ne sont pas obligatoirement visibles sur toute leur longueur et à toute instant de leur formation. Les essais ont surtout porté sur la directivité et la finesse de ce type de faisceau qui permet à la fois de garantir un très bon transfert d’énergie et de toucher une cible très éloignée de manière efficace qu’elle soit un système de reconversion d’énergie (faisceau nord) ou une base de tests électroniques avec unités spéciales du C.O.S.(faisceau Sud)
Le 21 Septembre 2001, le faisceau Sud destiné au secteur des anciens emetteurs radio du Vernet à 10H18’00 n’a pas fonctionné. Suite au séisme souterrain dans la base, lui-même probablement issu des désordres électriques intervenus à partir de 10H17’55.77 sur les postes HT SETMI-MOUNEDE, RAMPIER-SNPE, LAFOURGUETTE, PORTET-SUR-GARONNE, le réseau de conduite souterraine initialement prévu a débordé sur la partie Nord de ce réseau de la SAUR et a propagé les ondes à travers ce réseau souterrain de la colline Pech David pour déboucher face au site industriel plein Est avec des faisceaux quasi-horizontaux à différentes altitudes sortant des conduites interrompues (apparemment trois selon les témoignages).
Pourquoi au-dessus du pôle chimique de Toulouse : parce que la dégradation nécessaire de l’atmosphère avant les tirs passent inaperçue au-dessus de ce type d’usine, même depuis des mesures satellitaires classiques, parce que l’espace aérien de la SNPE enjambé par le faiscau Nord a un statut tout à fait particulier et parce qu’à Grand-Quevilly, le fief d’un des principaux instigateurs de ces essais secrets, M. Fabius, le site de la Grande Paroisse ne permettait pas autant de discrétion.
…
Mais le 21-9-2001, M. Fabius était à Toulouse à 10H15, et il effectuait la navette en hélicoptère entre Blagnac et Labège-Diagora, avec un petit arrêt photo au nord du Pont d’Empalot.
Merci beaucoup pour la precision
« Pourquoi au-dessus du pôle chimique de Toulouse : parce que la dégradation nécessaire de l’atmosphère avant les tirs passent inaperçue au-dessus de ce type d’usine, même depuis des mesures satellitaires classiques, parce que l’espace aérien de la SNPE enjambé par le faiscau Nord a un statut tout à fait particulier » ,
je me posais la question , ceci etant un elément cle du dossier permettant d’argumenter sur la credibilite
sur « Je parle de FAISCEAUX ELECTROMAGNETIQUES qui formeraient effectivement des arcs mais l’énergie est transférée sous forme d’ondes électromagnétiques pas électriques ! » peut-on lier cela au soliton ?
« Toulouse, avril 2002, sept mois après l’explosion des 300 tonnes de nitrate d’ammonium de l’usine AZF,
en pleines élections présidentielle et législatives.
Le chef du gouvernement, le candidat Lionel Jospin, dans son dernier livre nous donne enfin une réponse claire sur l’avenir de la Société nationale des poudres et explosifs (Snpe), indirectement sur l’avenir du site chimique et sur l’avenir de la population de l’agglomération : « … (la fermeture définitive)
***mettrait en cause la dissuasion nucléaire *** parce que la Snpe fabrique non seulement des carburants pour Ariane (la fusée) mais aussi pour nos missiles stratégiques et tactiques… » Cette production serait donc vitale pour l’image et la puissance de la France, pour la Défense nationale et européenne… »
SNPE suite
Quelques explications … pour ce qui est évident pour un Toulousain mais beaucoup moins pour un Parisien …
Franchement à Paris , qui sait qu’AZF et la SNPE sont reliés notamment pas un pipe contenant du phosgène (gaz moutarde) intervenant notamment dans la fabrication du carburant d’Ariane ???? et que les pompiers ont passés la journée du 21 septembre à arroser pipe et reservoir de phosgene en priant très certainement pour qu’il n’y ait pas une autre explosion encore + fatale ?
cf.
« La Snpe est une usine beaucoup plus dangereuse qu’AZF, elle est beaucoup plus inquiétante : à cause des risques potentiels engendrés par la fabrication et l’utilisation de produits extrêmement toxiques (phosgène, chlore
A mediter http://www.manicore.com/documentation/articles/entretiens/liberation.html
et notamment selon Jean-Marc Jancovici, 40 ans, Ingénieur Conseil, polytechnicien et diplômé de l’Ecole nationale supérieure des télécommunications, qui est l’auteur de L’Avenir climatique (Seuil, collection Science ouverte, mars 2002).
« Après les attentats du 11 septembre, on a évoqué le risque d’un crash d’avion sur le site de La Hague. Mais si j’étais terroriste, j’aurais plutôt visé le dépôt de phosgène qui se trouvait sur le site de la SNPE [société nationale des poudres et explosifs, ndlr], pas très loin de l’usine AZF de Toulouse. Là, on aurait eu des milliers de morts. Quand on sait cela, est-ce vraiment sur le nucléaire civil que l’on doit faire porter un effort supplémentaire de recherche de la sécurité ? »
SNPE et Carburant ARIANE
————————
SNPE TOULOUSE
La production de l’ergol MMH pour l’étage à propergol stockable (EPS) ainsi que pour les étages d’ Ariane 4 est réalisé à Toulouse dans l’ usine de la SNPE la société nationale des poudres et explosifs depuis 1984 pour le tir V10.
La décision de produire de l’UDMH français pour Ariane remonte à 1976, mais le CNES et la Direction des Poudres de l’époque y avaient en fait déjà pensé depuis 1962. Pourtant, le projet n’avait jamais pu aboutir, d’abord par suite des difficultés techniques, puis faute de disposer d’un procédé économique et inoffensif. Le vieux procédé Raschig utilisé couramment à l’étranger a en effet le grave défaut d’être cancérigène. Ce qui avait d’ailleurs fait brutalement fermer en 1973 la seule usine de production américaine qui produisait alors d’énormes quantités d’UDMH pour les fusées Titan. Les USA durent améliorer le procédé pour reprendre la production. Mais cela fit monter les prix.
L’UDMH s’achète en 1983 ainsi à environ 50 F/kg an URSS, 60 F/kg en Chine et beaucoup plus cher encore aux USA. L’UDMH français produit à Toulouse coûte environ 70 F/kg, ce qui en fait pourtant la production la plus économique d’UDMH selon un procédé non-cancérigène.
L’UDMH français est en fait le fruit d’une longue recherche et d’une coopération exemplaire entre le CNES, le CNRS, la SEP et la SNPE qui menaient des études sur le sujet depuis 1961. C’est une variante du procédé Raschig, mais beaucoup plus pure (à 98 %) et dépourvue d’agent cancérigène (nitrozamine), qui a été mise au point en France et testée d’abord sur une autre unité pilote par la SEP et Chimie Developpement Industriel, avant que l’industrialisation ne soit confiée en 1980 à la SNPE qui a investi 44 millions de F dans la construction de l’usine UDMH de Toulouse.
Cette unité de production très automatisée a été mise en oeuvre dans les délais prévus,. Elle a été achevée en mars 1983 et la production, très automatisée (20 personnes se relayant 24 h /24), a démarré en mai 1983. La capacité de production de l’usine est limitée pour l’instant à 750 t/an, mais elle pourrait être rapidement (en 6 à 8 mois) portée à 1 000 t/an si nécessaire. Les besoins prévus pour les lanceurs européens étant actuellement d’environ 70 à 80 tonnes par tir dans la version Ariane 1 et environ 120 tonnes par tir avec la nouvelle fusée Ariane 4.
cf. http://www.capcomespace.net/dossiers/espace_europeen/ariane/CSG/usine_carburant.htm
La notion d’attentat exercé avec l’appui d’avion de grosse taille chargé de produit inflammable est une notion, qui, si elle devait être prise en compte pour le risque 0, obligerait à fermer une très grande partie des bassins industriels restant en France et demeurant très souvent au milieu de la population. Un argument de plus pour que tout ceci soit expatrier en Chine ou en Corée histoire de faire croire que le risque terroriste est une composante uniquement occidentale. Idem pour les centrales nucléaires… La surveillance de l’espace aérien, le meilleur suivi possible des vols avec des accords mondiaux solides tenant en compte tous les termes de sécurité, ceci est la seule réponse à des attentats aériens dont on n’est même pas sûr qu’ils proviennent tous de l’extérieur !
Le passage du phosgène qui ne circule jamais en continu était à l’arrêt le matin du 21-9-2001 depuis 8H du matin. Le vrai danger de la SNPE est qu’après la catastrophe, la SNPE a osé affirmé que tous ses systèmes de traçage électrique étaient HS, non horodaté de manière absolu, et que ses ordinateurs ont été détruits ou recyclés avant que la justice ne s’y intéresse ! AZF complètement ravagée a fourni nombre d’éléments qui ont continué à fonctionner malgré le clash. Mais la SNPE n’a jamais avoué que le troisième Vendredi de Septembre des années impairs, une des instructions de service était de réaliser des « coupure électriques des ateliers en cas de sinistre » ‘I.S. N°867. La culture du mensonge, de l’obstruction, du silence : là est le vrai danger. Il est le même concernant les centrales nucléaires.
« Le passage du phosgène qui ne circule jamais en continu était à l’arrêt le matin du 21-9-2001 depuis 8H du matin. » !!!! pourquoi les pompiers ont -ils passe la journée à arroser , avec un stress plus que certain ? manque d’infos ? necessite de taire le fait ?
Tout de même , et quelle que soit la cause , inquietant de savoir qu’AZF et SNPE etaient cote à cote , deux poudrieres cote à cote en quelque sorte !!! implante dans le carrefour le plus embouteillé de Toulouse
D’ailleurs entre parenthese, une directive datant de la même semaine suggére de faire en sorte que le trafic routier s’ecoule le plus rapidement possible dans le secteur compte-tenu du haut degré de pollution, merveilleux à deux niveaux ( ecouler les fameux bouchons de l’ONIA !! et affirmer ouvertement qu’il y a bien pollution !!)
» la SNPE a osé affirmé que tous ses systèmes de traçage électrique étaient HS, non horodaté de manière absolu, et que ses ordinateurs ont été détruits ou recyclés avant que la justice ne s’y intéresse ! AZF complètement ravagée a fourni nombre d’éléments qui ont continué à fonctionner malgré le clash. » …..
c’est une question que je me suis toujours posée … tout de même , il y a du en avoir des ordinateurs, materiels electriques connectés à cette heure là
Mr SERBERA, médecin (que vous avez rencontré ?), parle dans son livre d’un black out au niveau du corps médical de l’hopital Rangueil voisin, pourtant là aussi il y doit avoir des traces ,idem chez EDF et autres .
La justice a demandé à la SNPE la liste des équipements informatiques et des enregistreurs… mais avec plusieurs mois de retard. AUCUN, je dis bien AUCUN appareil n’était capable de fournir la moindre trace d’événement électrique de ce matin du 21-9-2001 à la SNPE. Tout a été recyclé, reformaté ou parait-il détruit. Sur la destruction due à l’explosion, j’ai des très gros doutes : les équipements du type disque dur sont très constauds, d’ailleurs AZF avaient encore de nombreuses traces fournies à la justice. Les systèmes d’enregistrements de la SNPE ont été déclarés comme très limités, perdant leur mémoire dès la première coupure électrique etc… !? si, si tout cela est mentionné par les responsables de la SNPE eux-mêmes ! Très rassurant pour le sérieux d’une telle société.
Bien-entendu tout cela est pure DISSIMULATION DE PREUVES avec complicité de la justice. Et les experts d’aujourd’hui s’acharnent sur des salariés d’AZF qui auraient dissimulé les quelques composants bêtements mis en présence du tas d’ammonitrate du Hangar 221, composants qui manquaient en 2002 pour réussir les reconstitutions d’explosion de ces experts. Tout cela est FOUTAISE et le juge Perriquet, le procureur, ainsi que la quasi-totalité des média répètent ces ANERIES sans le moindre esprit critique. Les DISSIMULATIONS DE PREUVES, la SNPE est championne N°1, en N°2, EDF-RTE qui a fourni en se faisant tiré les oreilles une chonologie encore trop limitée géographiquement, en N°3 l’armée qui a détruit les trajectographies de ses aéronefs du 21-9-2001, en N°4 le CEA-DAM qui n’a jamais communiqué officiellement à la justice les données sismiques précises de ses stations, en N°5 : France Télécom qui n’a jamais proposé le listing des début et durée de communication pour retrouver des témoins en ligne au moment de l’explosion, en N°6 : AZF aussi dissimule depuis le début l’explosion de la tour verte antérieur de 2 secondes à celle du Hangar (des dizaines de témoins l’ont vu décoller alors qu’ils étaient à moins d’une seconde du souffle) etc… etc…
Voilà l’état pitoyable de l’enquête AZF officielle qu’aucun homme politique n’ose regarder de près, alors que certains par leur fonction et leur formation scientifique comme M. François Loos pourraient sans problèmes dénoncer ses carences et ses mensonges.
Voilà l’état de pur obscurantisme des média français !
On se cache derrière des experts pour la plupart dépendant de l’armée, du CEA, de la DGA, de la SNPE et en parfait accord pour sortir les mêmes mensonges !
Les quelques experts indépendants intervenus en sismologie font partie des mêmes groupes d’amis (loges et Cie).
Ce tableau digne d’une dictature africaine à la Bokassa est l’image de la justice française, image que l’ensemble des avocats scientifiquement incompétents laissent perdurer pendant des années !
Une affaire sur un listing à la « Clearstream », ça c’est bien plus accessible, bien plus bêta pour les média, les politiques et la justice… alors on en fait des tonnes pour cacher la misère sur le fond de grosses affaires similaires à celle d’AZF. De telles affaires simplistes à la « Clearstream » permettent également d’écarter futilement quelques responsables politiques, quelques juges génants, et quelques initiés des grandes entreprises impliquées !
« N°5 : France Télécom qui n’a jamais proposé le listing des début et durée de communication pour retrouver des témoins en ligne au moment de l’explosion, »… 😉 …..
Deux points :
1 – J’étais en ligne au moment de l’explosion …
etant à Paris et communiquant avec une amie intérimaire à Orange Portet , j’ai bien entendu 2 alarmes successives du batiment, mon amie me faisant part d’un mouvement de la dalle.
Les personnes ont cru tout de suite à un crash d’un avion militaire de la base de Francazal voisine.
2 – J’étais l’apres- midi en reunion à Paris donc, avec un operateur telecom américain MCI WCOM (dans le cadre de son interconnexion au réseau FT) qui nous a bien mentionné avoir vu immédiatement après l’explosion – via ses statistiques – la tombée/le rejet du trafic en sortie sur ses commutateurs suite impact immédiat de la saturation des commutateurs de transit interurbains de FT, également interconnectés aux commutateurs de WCOM.
TOUS les opérateurs interconnectés au réseau FT doivent également avoir des stats … l’echange de données trafic étant obligatoire dans le cadre de la convention d’interconnexion pour éviter que les operateurs utilisent le réseau de FT uniquement en débordement ou lors de pointes horaires. (étude de la variance notamment)
… à creuser …
Les deux alarmes dont vous parlez, Elisabeth, sont-elles forcément déclenchées par deux événements successifs ? Ont-elles eu une signification particulière de mentionnée ?
Quel délai avez-vous évalué entre ces deux alarmes ?
Avez une idée de l’heure exacte juste avant et juste après les alarmes ?
Je ne sais pas , je vais me renseigner , si ce sont deux stades d’alarmes successifs comme le voudrait par exemple la procedure de secours ou si elles ont été declenchées l’une independamment de l’autre.
Je vous tiens au courant.
No comment …
——————————————————
BELLACIAO – jeudi 29 décembre 2005 (02h05) :
TEST : ETES VOUS EN FAVEUR DU COUVRE FEU POUR LES CASSEURS ?
32 est le nombre de :
– policiers morts dans les cités en 2004 (France entière) ?
– chauffeurs de bus sauvagement agressés pendant les dernières émeutes ?
– décès lors de l
Le blog ne peut être tenu pour responsable de la mise en ligne de commentaires et informations susceptibles de porter atteinte au secret de l’instruction.
Elisabeth STUDER
j’aimerais comprendre pourquoi aucun dirigeant de total n’est inculpe alors que la l’enquete a conclu a un accident de nature chimique, donc a des negligences dans l’organisation du groupe total.
peut etre un deal ;), TOTAL devant peut-etre « payer » compte-tenu du fait qu’il en a les moyens avec ses « super-profits » , et qu’il vaut mieux que cela soit l’Etat ou nos impots si la responsabilite de la SNPE est mise en cause.
, de la à dire que les dirigeants de Total sont responsables au moins de négligence … peut etre une action du CHSCT du site pourrait changer la donne mais c’est surement David devant Goliath 🙁
En tout cas , je suis l’affaire de tres pres avec mon « collegue » de Valeurs Actuelles, lui aussi sur Toulouse, extrement moteur et dynamique sur le sujet.
Nous vous tenons au courant de l’avancé des investigations.
Merci de rectifier :
« et qu’il vaut mieux que cela soit TOTAL plutot que l’Etat ou nos impots si la responsabilite de la SNPE est mise en cause. »
Je repete et re repete :
TOUS les opérateurs interconnectés au réseau FT doivent également avoir des stats … l’echange de données trafic étant obligatoire dans le cadre de la convention d’interconnexion pour éviter que les operateurs utilisent le réseau de FT uniquement en débordement ou lors de pointes horaires. (étude de la variance notamment)
… à creuser …
5 ans déjà … ca ne s’oublie pas …
Complexe pétrochimique de Lavéra: fuite d’acide chlorhydrique chez Arkema
MARSEILLE, 20 mars 2007 (AFP)
Une fuite d’acide chlorhydrique s’est produite dans la nuit de lundi à mardi à la société Arkema sur le site du complexe pétro-chimique de Lavéra, au port autonome de Marseille, a annoncé mardi la CGT.
Le groupe a confirmé l’information en précisant que l’incident n’avait eu « ni conséquence humaine ni impact sur l’environnement ».
Dans la nuit, un bac de stockage de 40 m3 d’acide chlorhydrique s’est vidé de son contenu dans l’atelier de fabrication de chlorure ferrique.
Selon la CGT, cet accident « potentiellement grave (…) aurait pu avoir de plus amples conséquences si le vent fort soufflant n’avait pas été un vent du nord (mistral) permettant ainsi au gaz de se répandre en direction de la mer ».
Dans un communiqué, Arkema a affirmé que « l’intervention rapide des équipes de sécurité du site a permis de diluer la solution d’acide chlorhydrique et de prévenir un écoulement éventuel ». « Il n’y a pas eu d’émanation gazeuse ni de nuage », a affirmé le responsable hygiène, sécurité et environnement, Patrick Abadi, joint au téléphone par l’AFP. Selon lui, la solution contenue dans le bac présentait un taux de dilution entre 18 et 22%, « une concentration trop faible pour qu’elle se transforme ».
M. Abadi a affirmé que le bac était inspecté régulièrement, la dernière visite de contrôle remontant à décembre 2006. La CGT a pour sa part émis l’hypothèse d’un défaut d’entretien.
Une enquête est en cours pour déterminer les causes de l’accident.
Dans un communiqué, la CGT a dénoncé « l’insécurité grandissante sur l’ensemble de la plate-forme de Lavéra et ce, malgré les campagnes médiatiques organisées par les directions laissant croire tout le contraire ».
Eric Clément, secrétaire général de la CGT du complexe de Lavéra, a déclaré ne pas se souvenir d’un autre accident de ce type.
la piste provenant de la SNPE a fait long feu. Total vient de payer 150 millions d’euros à la SNPE pour qu’elle ne soit pas présente au procès pénal. En l’absence de cette partie civile et de ses avocats, on peut continuer à parler de cette piste, mais sans avoir de répondant… C’est plus pratique. Qui a des centaines de milions d’euros à payer pour éliminer des adversaires devant la Justice. Et tout ça dans l’indifférence générale. Dormez braves gens , à coté de sites gérés par Total, quoiqu’il arrive, les gros bras de cette société s’emploieront à nettoyer le secteur avant que la police ne passe…
@Paul, l’enquete a certes conclu à un accident d’origine chimique, ce que TOTAL et Grande Paroisse recusent
l’objet du procès est justement de determiner une éventuelle responsabilité de l’usine et de ses dirigeants
moult témoins et experts defilent actuellement à la barre pour tenter de demeler un echeveau bien complexe
S’agissant de Total, rappelons par ailleurs que l groupe TOTAl FINA ELF n’est devenu propriétaire des lieux qu’apres la fusion qui est intervenue en l’an 2000.
Total est actionnaire de Grande Paroisse
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Je relis tres attentivement vos commentaires et reviens vers vous .
Il est aberrant d’occulter l’Arc électrique …. mais qui dit Arc électrique dit creuser le phenomène en amont qui a provoqué l’arc…. et c’est la que cela derange !!!!
merci encore pour la Vérite et les victimes .
TOUT de même aberrant , la contradiction de la justice sur le fait qu’il y ait eu ou non deux explosions.
…. d’autant + que Tout Toulouse parle de 2 explosions !!
evidemment cela pose pb , s’il y a eu deux explosions , l’une est-elle à l’origine de l’autre et quel est le phenomene initial ? On nous demande de ne pas trop fouiller ….
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II
Concernant les arcs électriques…
Attention, en aucun cas l’hypothèse d’arc électrique géant ne peut être crédible. Cette thèse mentionnée par les experts qui savent très bien techniquement qu’un tel arc est impossible (souterrain ou aérien) est alimentée pour créer une confusion et est bien entendu du pain béni pour ces experts qui cachent plus de 50 témoignages relatifs aux faisceaux et aux éclairs précurseurs.
Je parle de FAISCEAUX ELECTROMAGNETIQUES qui formeraient effectivement des arcs mais l’énergie est transférée sous forme d’ondes électromagnétiques pas électriques !
Pour schématiser c’est une variante en géant de ce que l’on peur faire avec la lumière et les fibres optiques. Là les faisceaux électromagnétiques, avant de parcourir l’atmosphère, ont des fréquences calibrées pour traverser depuis la source énergétique souterraine sous la colline de Pech David, les anciennes conduites d’eau de la SAUR !
Ce réseau abandonné par la SAUR fin des années 90, en partie disponible (notamment celui concernant l’ancien réseau du rectorat) a eu avec des conduites conductrices vide un rôle dans l’apparition des faisceaux sur le site industriel AZF-SNPE. Une partie de ce réseau qui était en relation avec tout le pôle chimique a une extrémité qui aboutit au nord de la zone déserte des ballastières (AZF-Sud). C’est de là que sont partis de grands faisceaux quasi-verticaux des deux grands arcs Nord et Sud à deux reprises : 10H18’00 et 10H18’25. Je donne 10000 d’euros à celui qui trouvera le plan complet du réseau d’eau auprès de la SAUR, de la CGE ou de la Mairie de Toulouse, réseau dont je peux prouver l’existence d’une partie allant vers la base souterraine !
Le député Jean Diébold, adjoint de la mairie de Toulouse justement chargé de ce type de réseau n’est pas venu le 7 mars 2006 rencontrer le ministre de la justice et le minsitre des affaires étrangères M. Douste-blazy, avec 5 autres députés du 31 pour le simple plaisir de forcer la justice à aller plus vite. Ce monsieur sait PARFAITEMENT que la mairie de Toulouse a détourner un réseau abandonné pour ces essais. Véolia (CGE) a même fait croire à des riverains qu’une des conduites souterraines dont une toute petite partie a été découverte par des ravinements faisait partie du réseau actuel : hors il n’en est rien et on peut encore le prouver. La Mairie a camouflé l’accès à d’autres infrastructures souterraines l’été 2005 justement dans le secteur de l’épicentre principal. Mais elle ne peut tout camouffler sous le sol et je sais que mon calcul de l’épicentre réalisée en Décembre 2004 à partir des données sismiques complètes du réseau des Pyrénées a déjà été effectué par d’autres pays hors-CEE depuis.
Les faisceaux électromagnétiques comme ceux des pistolets tétaniseurs ne sont pas obligatoirement visibles sur toute leur longueur et à toute instant de leur formation. Les essais ont surtout porté sur la directivité et la finesse de ce type de faisceau qui permet à la fois de garantir un très bon transfert d’énergie et de toucher une cible très éloignée de manière efficace qu’elle soit un système de reconversion d’énergie (faisceau nord) ou une base de tests électroniques avec unités spéciales du C.O.S.(faisceau Sud)
Le 21 Septembre 2001, le faisceau Sud destiné au secteur des anciens emetteurs radio du Vernet à 10H18’00 n’a pas fonctionné. Suite au séisme souterrain dans la base, lui-même probablement issu des désordres électriques intervenus à partir de 10H17’55.77 sur les postes HT SETMI-MOUNEDE, RAMPIER-SNPE, LAFOURGUETTE, PORTET-SUR-GARONNE, le réseau de conduite souterraine initialement prévu a débordé sur la partie Nord de ce réseau de la SAUR et a propagé les ondes à travers ce réseau souterrain de la colline Pech David pour déboucher face au site industriel plein Est avec des faisceaux quasi-horizontaux à différentes altitudes sortant des conduites interrompues (apparemment trois selon les témoignages).
Pourquoi au-dessus du pôle chimique de Toulouse : parce que la dégradation nécessaire de l’atmosphère avant les tirs passent inaperçue au-dessus de ce type d’usine, même depuis des mesures satellitaires classiques, parce que l’espace aérien de la SNPE enjambé par le faiscau Nord a un statut tout à fait particulier et parce qu’à Grand-Quevilly, le fief d’un des principaux instigateurs de ces essais secrets, M. Fabius, le site de la Grande Paroisse ne permettait pas autant de discrétion.
…
Mais le 21-9-2001, M. Fabius était à Toulouse à 10H15, et il effectuait la navette en hélicoptère entre Blagnac et Labège-Diagora, avec un petit arrêt photo au nord du Pont d’Empalot.
Merci beaucoup pour la precision
« Pourquoi au-dessus du pôle chimique de Toulouse : parce que la dégradation nécessaire de l’atmosphère avant les tirs passent inaperçue au-dessus de ce type d’usine, même depuis des mesures satellitaires classiques, parce que l’espace aérien de la SNPE enjambé par le faiscau Nord a un statut tout à fait particulier » ,
je me posais la question , ceci etant un elément cle du dossier permettant d’argumenter sur la credibilite
sur « Je parle de FAISCEAUX ELECTROMAGNETIQUES qui formeraient effectivement des arcs mais l’énergie est transférée sous forme d’ondes électromagnétiques pas électriques ! » peut-on lier cela au soliton ?
http://www.ccomptes.fr/Cour-des-comptes/publications/rapports/rparmement/rapport/chap1.html
« Toulouse, avril 2002, sept mois après l’explosion des 300 tonnes de nitrate d’ammonium de l’usine AZF,
en pleines élections présidentielle et législatives.
Le chef du gouvernement, le candidat Lionel Jospin, dans son dernier livre nous donne enfin une réponse claire sur l’avenir de la Société nationale des poudres et explosifs (Snpe), indirectement sur l’avenir du site chimique et sur l’avenir de la population de l’agglomération : « … (la fermeture définitive)
***mettrait en cause la dissuasion nucléaire *** parce que la Snpe fabrique non seulement des carburants pour Ariane (la fusée) mais aussi pour nos missiles stratégiques et tactiques… » Cette production serait donc vitale pour l’image et la puissance de la France, pour la Défense nationale et européenne… »
SNPE suite
Quelques explications … pour ce qui est évident pour un Toulousain mais beaucoup moins pour un Parisien …
Franchement à Paris , qui sait qu’AZF et la SNPE sont reliés notamment pas un pipe contenant du phosgène (gaz moutarde) intervenant notamment dans la fabrication du carburant d’Ariane ???? et que les pompiers ont passés la journée du 21 septembre à arroser pipe et reservoir de phosgene en priant très certainement pour qu’il n’y ait pas une autre explosion encore + fatale ?
cf.
« La Snpe est une usine beaucoup plus dangereuse qu’AZF, elle est beaucoup plus inquiétante : à cause des risques potentiels engendrés par la fabrication et l’utilisation de produits extrêmement toxiques (phosgène, chlore
SNPE
http://www.snpe.fr/fr/groupe/en_bref.asp
A mediter
http://www.manicore.com/documentation/articles/entretiens/liberation.html
et notamment selon Jean-Marc Jancovici, 40 ans, Ingénieur Conseil, polytechnicien et diplômé de l’Ecole nationale supérieure des télécommunications, qui est l’auteur de L’Avenir climatique (Seuil, collection Science ouverte, mars 2002).
« Après les attentats du 11 septembre, on a évoqué le risque d’un crash d’avion sur le site de La Hague. Mais si j’étais terroriste, j’aurais plutôt visé le dépôt de phosgène qui se trouvait sur le site de la SNPE [société nationale des poudres et explosifs, ndlr], pas très loin de l’usine AZF de Toulouse. Là, on aurait eu des milliers de morts. Quand on sait cela, est-ce vraiment sur le nucléaire civil que l’on doit faire porter un effort supplémentaire de recherche de la sécurité ? »
A quoi on a echappé avec le phosgene
http://vivevoix.site.voila.fr/elements1.html
SNPE et Carburant ARIANE
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SNPE TOULOUSE
La production de l’ergol MMH pour l’étage à propergol stockable (EPS) ainsi que pour les étages d’ Ariane 4 est réalisé à Toulouse dans l’ usine de la SNPE la société nationale des poudres et explosifs depuis 1984 pour le tir V10.
La décision de produire de l’UDMH français pour Ariane remonte à 1976, mais le CNES et la Direction des Poudres de l’époque y avaient en fait déjà pensé depuis 1962. Pourtant, le projet n’avait jamais pu aboutir, d’abord par suite des difficultés techniques, puis faute de disposer d’un procédé économique et inoffensif. Le vieux procédé Raschig utilisé couramment à l’étranger a en effet le grave défaut d’être cancérigène. Ce qui avait d’ailleurs fait brutalement fermer en 1973 la seule usine de production américaine qui produisait alors d’énormes quantités d’UDMH pour les fusées Titan. Les USA durent améliorer le procédé pour reprendre la production. Mais cela fit monter les prix.
L’UDMH s’achète en 1983 ainsi à environ 50 F/kg an URSS, 60 F/kg en Chine et beaucoup plus cher encore aux USA. L’UDMH français produit à Toulouse coûte environ 70 F/kg, ce qui en fait pourtant la production la plus économique d’UDMH selon un procédé non-cancérigène.
L’UDMH français est en fait le fruit d’une longue recherche et d’une coopération exemplaire entre le CNES, le CNRS, la SEP et la SNPE qui menaient des études sur le sujet depuis 1961. C’est une variante du procédé Raschig, mais beaucoup plus pure (à 98 %) et dépourvue d’agent cancérigène (nitrozamine), qui a été mise au point en France et testée d’abord sur une autre unité pilote par la SEP et Chimie Developpement Industriel, avant que l’industrialisation ne soit confiée en 1980 à la SNPE qui a investi 44 millions de F dans la construction de l’usine UDMH de Toulouse.
Cette unité de production très automatisée a été mise en oeuvre dans les délais prévus,. Elle a été achevée en mars 1983 et la production, très automatisée (20 personnes se relayant 24 h /24), a démarré en mai 1983. La capacité de production de l’usine est limitée pour l’instant à 750 t/an, mais elle pourrait être rapidement (en 6 à 8 mois) portée à 1 000 t/an si nécessaire. Les besoins prévus pour les lanceurs européens étant actuellement d’environ 70 à 80 tonnes par tir dans la version Ariane 1 et environ 120 tonnes par tir avec la nouvelle fusée Ariane 4.
cf.
http://www.capcomespace.net/dossiers/espace_europeen/ariane/CSG/usine_carburant.htm
La notion d’attentat exercé avec l’appui d’avion de grosse taille chargé de produit inflammable est une notion, qui, si elle devait être prise en compte pour le risque 0, obligerait à fermer une très grande partie des bassins industriels restant en France et demeurant très souvent au milieu de la population. Un argument de plus pour que tout ceci soit expatrier en Chine ou en Corée histoire de faire croire que le risque terroriste est une composante uniquement occidentale. Idem pour les centrales nucléaires… La surveillance de l’espace aérien, le meilleur suivi possible des vols avec des accords mondiaux solides tenant en compte tous les termes de sécurité, ceci est la seule réponse à des attentats aériens dont on n’est même pas sûr qu’ils proviennent tous de l’extérieur !
Le passage du phosgène qui ne circule jamais en continu était à l’arrêt le matin du 21-9-2001 depuis 8H du matin. Le vrai danger de la SNPE est qu’après la catastrophe, la SNPE a osé affirmé que tous ses systèmes de traçage électrique étaient HS, non horodaté de manière absolu, et que ses ordinateurs ont été détruits ou recyclés avant que la justice ne s’y intéresse ! AZF complètement ravagée a fourni nombre d’éléments qui ont continué à fonctionner malgré le clash. Mais la SNPE n’a jamais avoué que le troisième Vendredi de Septembre des années impairs, une des instructions de service était de réaliser des « coupure électriques des ateliers en cas de sinistre » ‘I.S. N°867. La culture du mensonge, de l’obstruction, du silence : là est le vrai danger. Il est le même concernant les centrales nucléaires.
« Le passage du phosgène qui ne circule jamais en continu était à l’arrêt le matin du 21-9-2001 depuis 8H du matin. » !!!! pourquoi les pompiers ont -ils passe la journée à arroser , avec un stress plus que certain ? manque d’infos ? necessite de taire le fait ?
Tout de même , et quelle que soit la cause , inquietant de savoir qu’AZF et SNPE etaient cote à cote , deux poudrieres cote à cote en quelque sorte !!! implante dans le carrefour le plus embouteillé de Toulouse
D’ailleurs entre parenthese, une directive datant de la même semaine suggére de faire en sorte que le trafic routier s’ecoule le plus rapidement possible dans le secteur compte-tenu du haut degré de pollution, merveilleux à deux niveaux ( ecouler les fameux bouchons de l’ONIA !! et affirmer ouvertement qu’il y a bien pollution !!)
» la SNPE a osé affirmé que tous ses systèmes de traçage électrique étaient HS, non horodaté de manière absolu, et que ses ordinateurs ont été détruits ou recyclés avant que la justice ne s’y intéresse ! AZF complètement ravagée a fourni nombre d’éléments qui ont continué à fonctionner malgré le clash. » …..
c’est une question que je me suis toujours posée … tout de même , il y a du en avoir des ordinateurs, materiels electriques connectés à cette heure là
Mr SERBERA, médecin (que vous avez rencontré ?), parle dans son livre d’un black out au niveau du corps médical de l’hopital Rangueil voisin, pourtant là aussi il y doit avoir des traces ,idem chez EDF et autres .
La justice a demandé à la SNPE la liste des équipements informatiques et des enregistreurs… mais avec plusieurs mois de retard. AUCUN, je dis bien AUCUN appareil n’était capable de fournir la moindre trace d’événement électrique de ce matin du 21-9-2001 à la SNPE. Tout a été recyclé, reformaté ou parait-il détruit. Sur la destruction due à l’explosion, j’ai des très gros doutes : les équipements du type disque dur sont très constauds, d’ailleurs AZF avaient encore de nombreuses traces fournies à la justice. Les systèmes d’enregistrements de la SNPE ont été déclarés comme très limités, perdant leur mémoire dès la première coupure électrique etc… !? si, si tout cela est mentionné par les responsables de la SNPE eux-mêmes ! Très rassurant pour le sérieux d’une telle société.
Bien-entendu tout cela est pure DISSIMULATION DE PREUVES avec complicité de la justice. Et les experts d’aujourd’hui s’acharnent sur des salariés d’AZF qui auraient dissimulé les quelques composants bêtements mis en présence du tas d’ammonitrate du Hangar 221, composants qui manquaient en 2002 pour réussir les reconstitutions d’explosion de ces experts. Tout cela est FOUTAISE et le juge Perriquet, le procureur, ainsi que la quasi-totalité des média répètent ces ANERIES sans le moindre esprit critique. Les DISSIMULATIONS DE PREUVES, la SNPE est championne N°1, en N°2, EDF-RTE qui a fourni en se faisant tiré les oreilles une chonologie encore trop limitée géographiquement, en N°3 l’armée qui a détruit les trajectographies de ses aéronefs du 21-9-2001, en N°4 le CEA-DAM qui n’a jamais communiqué officiellement à la justice les données sismiques précises de ses stations, en N°5 : France Télécom qui n’a jamais proposé le listing des début et durée de communication pour retrouver des témoins en ligne au moment de l’explosion, en N°6 : AZF aussi dissimule depuis le début l’explosion de la tour verte antérieur de 2 secondes à celle du Hangar (des dizaines de témoins l’ont vu décoller alors qu’ils étaient à moins d’une seconde du souffle) etc… etc…
Voilà l’état pitoyable de l’enquête AZF officielle qu’aucun homme politique n’ose regarder de près, alors que certains par leur fonction et leur formation scientifique comme M. François Loos pourraient sans problèmes dénoncer ses carences et ses mensonges.
Voilà l’état de pur obscurantisme des média français !
On se cache derrière des experts pour la plupart dépendant de l’armée, du CEA, de la DGA, de la SNPE et en parfait accord pour sortir les mêmes mensonges !
Les quelques experts indépendants intervenus en sismologie font partie des mêmes groupes d’amis (loges et Cie).
Ce tableau digne d’une dictature africaine à la Bokassa est l’image de la justice française, image que l’ensemble des avocats scientifiquement incompétents laissent perdurer pendant des années !
Une affaire sur un listing à la « Clearstream », ça c’est bien plus accessible, bien plus bêta pour les média, les politiques et la justice… alors on en fait des tonnes pour cacher la misère sur le fond de grosses affaires similaires à celle d’AZF. De telles affaires simplistes à la « Clearstream » permettent également d’écarter futilement quelques responsables politiques, quelques juges génants, et quelques initiés des grandes entreprises impliquées !
« N°5 : France Télécom qui n’a jamais proposé le listing des début et durée de communication pour retrouver des témoins en ligne au moment de l’explosion, »… 😉 …..
Deux points :
1 – J’étais en ligne au moment de l’explosion …
etant à Paris et communiquant avec une amie intérimaire à Orange Portet , j’ai bien entendu 2 alarmes successives du batiment, mon amie me faisant part d’un mouvement de la dalle.
Les personnes ont cru tout de suite à un crash d’un avion militaire de la base de Francazal voisine.
2 – J’étais l’apres- midi en reunion à Paris donc, avec un operateur telecom américain MCI WCOM (dans le cadre de son interconnexion au réseau FT) qui nous a bien mentionné avoir vu immédiatement après l’explosion – via ses statistiques – la tombée/le rejet du trafic en sortie sur ses commutateurs suite impact immédiat de la saturation des commutateurs de transit interurbains de FT, également interconnectés aux commutateurs de WCOM.
TOUS les opérateurs interconnectés au réseau FT doivent également avoir des stats … l’echange de données trafic étant obligatoire dans le cadre de la convention d’interconnexion pour éviter que les operateurs utilisent le réseau de FT uniquement en débordement ou lors de pointes horaires. (étude de la variance notamment)
… à creuser …
Les deux alarmes dont vous parlez, Elisabeth, sont-elles forcément déclenchées par deux événements successifs ? Ont-elles eu une signification particulière de mentionnée ?
Quel délai avez-vous évalué entre ces deux alarmes ?
Avez une idée de l’heure exacte juste avant et juste après les alarmes ?
Je ne sais pas , je vais me renseigner , si ce sont deux stades d’alarmes successifs comme le voudrait par exemple la procedure de secours ou si elles ont été declenchées l’une independamment de l’autre.
Je vous tiens au courant.
No comment …
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BELLACIAO – jeudi 29 décembre 2005 (02h05) :
TEST : ETES VOUS EN FAVEUR DU COUVRE FEU POUR LES CASSEURS ?
32 est le nombre de :
– policiers morts dans les cités en 2004 (France entière) ?
– chauffeurs de bus sauvagement agressés pendant les dernières émeutes ?
– décès lors de l
Excellent dossier FACTUEL et ARGUMENTE du journaliste de Valeurs Actuelles sur le sujet, constamment mis à jour.
http://perso.orange.fr/enduro.roumanie/azf-toulouse.htm
Le blog ne peut être tenu pour responsable de la mise en ligne de commentaires et informations susceptibles de porter atteinte au secret de l’instruction.
Elisabeth STUDER
j’aimerais comprendre pourquoi aucun dirigeant de total n’est inculpe alors que la l’enquete a conclu a un accident de nature chimique, donc a des negligences dans l’organisation du groupe total.
peut etre un deal ;), TOTAL devant peut-etre « payer » compte-tenu du fait qu’il en a les moyens avec ses « super-profits » , et qu’il vaut mieux que cela soit l’Etat ou nos impots si la responsabilite de la SNPE est mise en cause.
, de la à dire que les dirigeants de Total sont responsables au moins de négligence … peut etre une action du CHSCT du site pourrait changer la donne mais c’est surement David devant Goliath 🙁
En tout cas , je suis l’affaire de tres pres avec mon « collegue » de Valeurs Actuelles, lui aussi sur Toulouse, extrement moteur et dynamique sur le sujet.
Nous vous tenons au courant de l’avancé des investigations.
Merci de rectifier :
« et qu’il vaut mieux que cela soit TOTAL plutot que l’Etat ou nos impots si la responsabilite de la SNPE est mise en cause. »
Je repete et re repete :
TOUS les opérateurs interconnectés au réseau FT doivent également avoir des stats … l’echange de données trafic étant obligatoire dans le cadre de la convention d’interconnexion pour éviter que les operateurs utilisent le réseau de FT uniquement en débordement ou lors de pointes horaires. (étude de la variance notamment)
… à creuser …
5 ans déjà … ca ne s’oublie pas …
Complexe pétrochimique de Lavéra: fuite d’acide chlorhydrique chez Arkema
MARSEILLE, 20 mars 2007 (AFP)
Une fuite d’acide chlorhydrique s’est produite dans la nuit de lundi à mardi à la société Arkema sur le site du complexe pétro-chimique de Lavéra, au port autonome de Marseille, a annoncé mardi la CGT.
Le groupe a confirmé l’information en précisant que l’incident n’avait eu « ni conséquence humaine ni impact sur l’environnement ».
Dans la nuit, un bac de stockage de 40 m3 d’acide chlorhydrique s’est vidé de son contenu dans l’atelier de fabrication de chlorure ferrique.
Selon la CGT, cet accident « potentiellement grave (…) aurait pu avoir de plus amples conséquences si le vent fort soufflant n’avait pas été un vent du nord (mistral) permettant ainsi au gaz de se répandre en direction de la mer ».
Dans un communiqué, Arkema a affirmé que « l’intervention rapide des équipes de sécurité du site a permis de diluer la solution d’acide chlorhydrique et de prévenir un écoulement éventuel ». « Il n’y a pas eu d’émanation gazeuse ni de nuage », a affirmé le responsable hygiène, sécurité et environnement, Patrick Abadi, joint au téléphone par l’AFP. Selon lui, la solution contenue dans le bac présentait un taux de dilution entre 18 et 22%, « une concentration trop faible pour qu’elle se transforme ».
M. Abadi a affirmé que le bac était inspecté régulièrement, la dernière visite de contrôle remontant à décembre 2006. La CGT a pour sa part émis l’hypothèse d’un défaut d’entretien.
Une enquête est en cours pour déterminer les causes de l’accident.
Dans un communiqué, la CGT a dénoncé « l’insécurité grandissante sur l’ensemble de la plate-forme de Lavéra et ce, malgré les campagnes médiatiques organisées par les directions laissant croire tout le contraire ».
Eric Clément, secrétaire général de la CGT du complexe de Lavéra, a déclaré ne pas se souvenir d’un autre accident de ce type.
la piste provenant de la SNPE a fait long feu. Total vient de payer 150 millions d’euros à la SNPE pour qu’elle ne soit pas présente au procès pénal. En l’absence de cette partie civile et de ses avocats, on peut continuer à parler de cette piste, mais sans avoir de répondant… C’est plus pratique. Qui a des centaines de milions d’euros à payer pour éliminer des adversaires devant la Justice. Et tout ça dans l’indifférence générale. Dormez braves gens , à coté de sites gérés par Total, quoiqu’il arrive, les gros bras de cette société s’emploieront à nettoyer le secteur avant que la police ne passe…
@Paul, l’enquete a certes conclu à un accident d’origine chimique, ce que TOTAL et Grande Paroisse recusent
l’objet du procès est justement de determiner une éventuelle responsabilité de l’usine et de ses dirigeants
moult témoins et experts defilent actuellement à la barre pour tenter de demeler un echeveau bien complexe
S’agissant de Total, rappelons par ailleurs que l groupe TOTAl FINA ELF n’est devenu propriétaire des lieux qu’apres la fusion qui est intervenue en l’an 2000.
Total est actionnaire de Grande Paroisse
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