Le prix du baril dégringole à un plus bas depuis 2003

Les cours du pétrole ont à nouveau chuté lundi, débutant l’année 2016 à des niveaux qui n’avaient pas été enregistrés depuis plus de 10 ans. Les prix sont ainsi tombés à New-York à leur plus bas depuis décembre 2003, les investisseurs étant la proie à un important pessimisme que les craintes sur la demande chinoise ne sont pas faites pour restreindre.

Le cours du baril de « light sweet crude » (WTI) pour livraison en février aura ainsi perdu 1,75 dollar dans la journée, s’échangeant à 31,41 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), ce qui correspond à son plus bas niveau de clôture depuis plus de douze ans. Rappelons qu’il avait déjà perdu plus de 10% la semaine précédente.

Parallèlement, à Londres, le baril de Brent de la mer du Nord, également pour livraison en février, qui avait connu le même niveau de baisse la semaine dernière, a reculé de 1,61 dollars, s’échangeant à 31,55 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE), ce qui correspond son plus bas niveau depuis le printemps 2004.

Une situation due en grande partie à la dégringolade des bourses chinoises estiment quant à eux les analystes. Après avoir lourdement chuté la semaine précédente, la Bourse de Shanghai a en effet de nouveau dégringolé de plus de 5% lundi, alors que les investisseurs s’inquiètent de la santé de l’économie chinoise, première importatrice mondiale de pétrole tout en doutant de l’efficacité des politiques menées par Pékin. Le gouvernement chinois se fait désormais lui-même l’écho d’une baisse des estimations de la croissance du pays.

Des rumeurs laissent également entendre que les autorités chinoises pourraient prochainement ne plus acheter de pétrole pour leurs réserves stratégiques, ce qui le cas échéant pourrait influer quelque peu sur les prix.

Les observateurs notent également que la chute des cours est accentuée par un mouvement massif de retrait de la part des investisseurs. Leurs paris à la hausse ont même atteint à New York leur plus bas niveau depuis 2009. Un phénomène qui laisse entrevoir leur peu d’espoir quant à un reversement de tendance à court terme.

Elisabeth Studer – 11 janvier 2016 – www.leblogfinance.com

(37 commentaires)

  1. Shanghai clôture en chute de 5,33%, regain d’inquiétude sur l’économie

    Shanghai (awp/afp) – La Bourse de Shanghai a de nouveau dégringolé lundi, poursuivant ses plongeons de la semaine précédente, dans un marché toujours affolé par la morosité de la conjoncture dans la deuxième économie mondiale après la publication d’indicateurs sans éclat durant le weekend.

    L’indice composite shanghaïen a chuté en clôture de 5,33%, ou 169,71 points, à 3.016,70 points. De son côté, la Bourse de Shenzhen s’est enfoncée de 6,60% à 1.848,10 points.

    La place shanghaienne avait déjà abandonné quelque 10% la semaine dernière, dans un climat de panique générale qui rappelait le krach boursier de l’été 2015, et l’onde de choc avait encore une fois ébranlé les marchés mondiaux.

    Si les Bourses de Chine continentale restent largement déconnectées du reste du monde du fait de restrictions drastiques et des contrôles des flux de capitaux, la finance planétaire, elle, est suspendue aux moindres indices d’essoufflement de l’économie chinoise.

    Outre les inquiétudes persistantes sur l’assombrissement de la conjoncture, l’affolement des investisseurs chinois –pour l’écrasante majorité des petits porteurs– avait été exacerbé par la mise en place d’un « coupe-circuit » interrompant automatiquement les échanges en cas de forte baisse.

    Le mécanisme, à l’origine de deux séances de débâcle, avait finalement été suspendu par les autorités vendredi, rassurant quelque peu le marché –Shanghai avait rebondi de presque 2% vendredi. Un sursaut très temporaire.

    Des indicateurs décevants publiés samedi par le gouvernement sont venus alimenter le pessimisme ambiant, provoquant dès l’ouverture lundi un nouveau repli des Bourses chinoises.

    Ainsi, si l’inflation a légèrement accéléré à 1,6% sur un an en décembre, elle reste à un niveau très bas, bien en deçà du niveau cible des autorités, signal d’une demande sans éclat.

    Surtout, l’indice qui mesure l’évolution des prix à la vente à la sortie d’usine (PPI) a plongé en décembre pour le 46e mois consécutif, rappelant les déboires du secteur manufacturier chinois, contraint de sacrifier ses prix dans un contexte de baisse des exportations et de demande intérieure atone.

    « Les marchés sont déjà entraînés dans une spirale baissière, et ils tentent encore de se trouver un plancher », observait Zhang Yanbing, expert du courtier Zheshang Securities.

    « L’économie reste morose, on ne voit nulle part l’ingrédient d’un éventuel rebond », a-t-il indiqué à l’AFP.

    La croissance économique de la Chine devrait avoir ralenti en 2015 à son plus bas niveau depuis un quart de siècle, et pourrait continuer de s’enfoncer en 2016, selon les prévisions médianes des analystes.

  2.  » prendre un rendez-vous pour des services de plomberie à Washington, DC et les zones environnantes. »
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    Charenton le Pont à Washington, DC et les zones environnantes?

  3. ES penses-tu une seconde au temps qu’il faut pour faire un stock de cuivre en brûlant les gaines ? Car si le brut chute tous les stocks de « matières premières » chutent également !!!
    Si ça continue on va tous mourir de rire !! Ce qu’il reste de l’économie c’est uniquement comment cacher sa cassette.
    L’histoire des fouilles archéologique nous indique que visiblement ceux qui cachent ne peuvent pas toujours utiliser leur magot !!

  4. Le pétrole dégringole à proximité des 30 dollars, aggravant les tensions au sein de l’Opep

    Londres – Les cours du pétrole se rapprochaient mardi du plancher des 30 dollars le baril sous lequel ils n’ont plus chuté depuis 12 ans, et cette dégringolade sans fin provoque des remous au sein de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep), dont certains membres voudraient réduire la production.

    Nouveau contrecoup de la surabondance d’or noir qui déprime le marché depuis dix-huit mois, les prix du baril ont atteint mardi vers 06H30 GMT de nouveaux plus bas à 30,43 dollars pour le Brent, la référence européenne du brut, et à 30,41 dollars pour le WTI, son équivalente américaine.

    Les cours ont perdu plus de 30% en 2015 et plus de 15% supplémentaires depuis le début de l’année et menacent, d’après certains analystes, de chuter encore davantage.

    Il faut bien reconnaître que nous sommes dans une zone d’incertitude élevée concernant l’évolution du marché. Personne n’est vraiment en mesure de savoir jusqu’où la baisse peut aller, a expliqué à l’AFP Christopher Dembik, analyste chez Saxo Banque.

    Il y a encore quelques mois, le seuil des 30 dollars paraissait complètement improbable. Aujourd’hui, il est quasiment atteint. On peut donc aller encore plus bas à terme, a-t-il ajouté, tout en penchant personnellement pour un plancher autour des 30 dollars.

    Cette dépréciation sabre non seulement les profits de toute l’industrie pétrolifère, qui doit souvent tailler dans ses effectifs, mais grève aussi les budgets des pays producteurs: les États les plus dépendants de cette manne sont poussés à lancer de sévères cures d’austérité, dans un Venezuela en pleine crise comme dans l’opulente Arabie saoudite, en passant par une Russie confrontée à une remise en cause de son modèle d’émergence bâti autour de l’or noir.

    Mais les grincements de dents deviennent acerbes contre cette situation de plus en plus difficile et les regards se tournent avec insistance vers l’Arabie saoudite: Ryad est souvent accusée d’inonder à dessein le marché pour conserver ses parts de marché, que ce soit face aux producteurs de gaz de schiste américains ou vis-à-vis d’une Iran impatiente de voir levées les sanctions occidentales qui entravent ses exportations d’or noir.

    Au sein même de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), où la voix de l’Arabie saoudite donne souvent le la, la stratégie de Ryad est contestée de façon de plus en plus ouverte, au point que le ministre nigérian de l’Énergie, Emmanuel Ibe Kachikwu, a jugé mardi nécessaire la tenue d’une réunion extraordinaire du cartel début mars.

    Nous avions dit que si le (prix) atteignait 35 (dollars le baril), nous commencerions à examiner la convocation d’une réunion extraordinaire, a-t-il souligné lors d’un forum à Abou Dhabi (Émirats arabes unis).

    Les membres du cartel divergent néanmoins toujours sur la nécessité d’intervenir pour redresser les cours, malgré l’insistance de pays comme le Venezuela, l’Algérie ou le Nigeria.

    Un groupe sent la nécessité d’intervenir. Un autre pense que même si on le fait, on ne représente que 30 à 35% de la réalité du marché pétrolier, a mis en exergue M. Kachikwu.

    Lors de sa précédente réunion de décembre, l’Opep avait décidé de maintenir en l’état sa production de pétrole, déjà supérieure au quota officiel de production que s’était fixé le cartel précédemment. Cette décision, perçue par les acteurs du marché comme la preuve que l’Arabie saoudite était prête à voir chuter encore davantage les cours, a contribué à intensifier la dégringolade tarifaire ces dernières semaines.

    L’Opep a fait un gros pari qui ne fonctionne pas jusqu’à présent, mais les dégâts sont déjà faits et ça ne voudrait rien dire de la part du cartel de réduire sa production désormais, avertit Fawad Razaqzada, analyste du secteur chez Forex.com qui juge improbable que les petits de l’Opep convainquent les Saoudiens de pomper moins d’or noir.

    L’analyste met en outre en exergue les fortes tensions actuelles entre l’Arabie saoudite et l’Iran, membre de l’Opep également, qui devraient rendre d’autant plus difficile l’établissement d’un consensus au sein du cartel alors même que Téhéran prépare son grand retour sur le marché.

    (©AFP / 12 janvier 2016 13h23)

  5. Pétrole: le président de l’Opep veut une réunion extraordinaire début mars

    Abou Dhabi (awp/afp) – Le président de l’Opep a déclaré mardi souhaiter une réunion extraordinaire du cartel « début mars » pour examiner la dégringolade des prix du pétrole.

    Lors d’une conférence à Abou Dhabi, Emmanuel Ibe Kachikwu, également ministre d’Etat nigérian pour les Ressources pétrolières, a estimé nécessaire une réunion extraordinaire du cartel sur les cours, qui ont atteint leur plus bas niveau en 12 ans.

    « Nous avions dit que si le (prix) atteignait 35 (dollars le baril), nous commencerions à examiner la convocation d’une réunion extraordinaire », a-t-il dit.

    Mardi matin, le cours du baril de « light sweet crude » (WTI) est tombé sous les 31 dollars, un plus bas de 12 ans, en raison de l’excès d’offre, de l’appréciation du dollar et de la demande morose.

    Le baril WTI pour livraison en février reculait mardi matin de 45 cents à 30,96 dollars vers 03H00 GMT dans les échanges électroniques en Asie.

    Le baril de Brent, référence européenne du brut, également pour livraison en février, cédait 47 cents à 31,08 dollars.

    Le WTI n’avait plus été si bas depuis décembre 2003, le Brent depuis avril 2004.

    Les cours de l’or noir ont plongé de 10% la semaine dernière alors que les investisseurs s’inquiètent de l’excès d’offre et de la faiblesse de l’économie chinoise, première consommatrice de pétrole.

    Mais le président de l’Opep a souligné qu’il fallait encore vérifier la disposition de tous les Etats membres, parmi lesquels figurent les exportateurs menés par l’Arabie saoudite, qui ont refusé jusqu’ici de réduire la production afin de conserver leurs parts du marché.

    « Je n’ai pas encore beaucoup parlé avec les ministres du Pétrole » de l’Opep, a-t-il dit, reconnaissant que les membres du cartel divergeaient sur la nécessité d’intervenir pour redresser les cours.

    « Un groupe sent la nécessité d’intervenir. Un autre pense que même si on le fait, on ne représente que 30 à 35% de la réalité du marché » pétrolier, a déclaré le président de l’Opep.

    « 65% du marché sont hors des mains de l’Opep et à moins d’avoir ceux qui représentent ces 65% à la table des négociations on ne peut pas changer fondamentalement » la donne du marché, a-t-il reconnu.

    afp/al

    (AWP / 12.01.2016 10h31)

  6. Tout cela est d’une drôlerie extraordinaire. Les réserves prouvées augmentent, mais à la marge. Le pétrole demeure une matière première en voie d’épuisement.
    On cherche du pétrole dans les zones de fracture soumises à des séismes potentiels majeurs, alors que la fonte des glaces en allégeant les pôles modifie l’organisation des dérives continentales et donc des collisions de plaques.
    Le pétrole dit de schiste qui sera le dernier recours plombe surtout l’industrie touristique. Alors que son coût devient prohibitif.
    On ne voit aucune augmentation de la production alors que la crise qui pointe à peine son nez fait disparaître les acheteurs, ce qui est le cas pour toutes les matières premières.

    C’est dans ce contexte que les USA et leurs minables alliés ont déclenché des guerres religieuses dont ils ne maîtrisent plus l’évolution et dont la seule base est l’interprétation débiles de textes gribouillés dans des contextes où la pierre était encore une arme redoutable.

  7. Est-ce que cela suffira à inverser cette tendance à la baisse des cours du pétrole ? Je n’en suis pas sûr… En attendant, les consommateurs se frottent les mains de cette baisse continue sans toujours chercher à en comprendre les raisons…

  8. les consommateurs se frottent les mains …. mais si on regardait de plus pres …. le prix du diesel devrait etre nettement inférieur à un euro, compte-tenu du prix du baril !!!

  9. Le patron du gendarme boursier français s’inquiète des nombreux risques qui pèsent sur les marchés

    FINANCE
    OLJ14/01/2016

    Entre tensions géopolitiques, finance de l’ombre ou forte volatilité, le patron du gendarme français de la Bourse, Gérard Rameix, s’est inquiété hier des risques qui pèsent sur les marchés en ce début 2016. « Il y a pas mal de points très positifs », mais « ils n’effacent pas un certain nombre d’inquiétudes et j’avoue ne pas en avoir vu autant » depuis longtemps, a affirmé le président de l’Autorité des marchés (AMF) en présentant ses vœux à la presse.
    Il a évoqué en premier lieu les « risques géopolitiques extrêmement préoccupants ». Si la montée du jihadisme « a pour l’instant relativement peu affecté la sphère des marchés, nous pouvons nous demander si un événement ne peut pas venir bouleverser la donne ». « L’autre risque » vient, selon lui, du « shadow banking » ou finance de l’ombre, à la faveur du « basculement d’un système de financement principalement bancaire à un modèle faisant davantage appel aux marchés » et à ces échanges hors des sentiers régulés.
    Il s’est également inquiété du niveau de liquidités sur certains actifs actuellement suffisant, mais peut-être pas en cas de « choc politique ou financier ». « La forte volatilité des marchés » est également un « sujet de préoccupation » avec un « risque propre à notre pays qui est que beaucoup de grands champions » français sont de fait détenus majoritairement par des groupes étrangers, a-t-il estimé. Et « les investisseurs nationaux éprouvent de plus en plus de difficultés à détenir longtemps des actions », autant d’éléments qui constituent « une situation dangereuse à terme pour notre économie », a souligné M. Rameix.
    (Source : AFP)

  10. Honnêtement, je ne comprends pas ce ton alarmiste autour de la baisse du pétrole, tout du moins du point de vue français.
    La France est importateur de pétrole et je pense d’énergie, elle est donc gagnante.
    J’ai trouvé un article qui dit que 45 milliards (2014) sont dus aux produits pétroliers. Le déficit de la balance commerciale française étant de 53 milliards (2014). Les prix du pétrole devaient être vers les 80€, on peut donc s’attendre à une forte baisse d’importation (en valeur) de produits pétroliers et une nette amélioration de la balance commerciale (mais toujours négative).

  11. Mik ! Mak!
    Et wouii la terre est ronde, et si le prix du pétrole baisse alors que les réserves baissent et que la production stagne, c’est parce que les poches des utilisateurs sont vides! et les tiennes probablement

  12. Bah non ! Raté !
    Mes poches ne sont pas vides et je suis très liquide ce qui est un avantage dans un contexte déflationniste et de chute de la bourse.
    Mais mon commentaire faisait référence à monsieur tout le monde en France ou au gouvernement.
    La baisse du pétrole est une très bonne nouvelle pour l’économie. Il faudra cependant regarder vers le futur et continuer à trouver d’autres sources d’énergies car à mon avis (comme le tiens) le pétrole va retourner à la hausse à moyen terme. Coté écologie, il est pénalisant et du point de vue géopolitique il n’est pas à l’avantage de la France.
    Il faut profiter de cette accalmie.

  13. ES comment la baisse du coût du brut pourrait-elle réduire les conflits ?
    La cause des guerres actuelles est bien plus large que le simple coût de l’énergie.
    Les attaques des USA montrent que ce n’est ni le « communisme », ni l’URSS qui étaient dans le viseur des anglosaxons, mais n’importe quel état qui pourrait leur faire de l’ombre.
    Nous devons faire une Europe forte avec une expulsion des bases US et la constitution d’une véritable armée.
    La menace qui se précise sur deux côtés de la Méditerranée va conduire à une guerre généralisée dans laquelle nous devrions laisser une place de choix à nos amis US, comme nous avons du le faire au Vietnam:
    « Après vous! je n’en ferai rien ! » Qu’ils aillent donc se tremper dans la m…. dont ils sont responsables
    Quand les Français ont des dirigeants qui servent les intérêts du pays, nous sommes victimes de blocus sournois appliquons leur la même recette !!
    Oui il faut des énergies renouvelables !! c’est sur.

  14. reduire les conflits en Afrique ? lesquels sont souvent liés à la course pour les matières premières …
    allez, il est – encore – permis de rêver 😉 C’est déjà pas si mal 😉

  15. par contre on parle du prix du baril et de la demande en pétrole …. mais le discours est faussé … car la bataille se joue enormément sur gaz de chauffage, et pour l’energie liée aux besoins industriels.

  16. Elizabeth, un certain nombre de personnes se chauffent au fioul en France, et c’est indexé sur le pétrole.
    Il y a fort à parier que cela soit le cas dans les autres pays européens dans les zones pas fortement urbanisées.
    Je pense que l’utilisation du gaz est plus récente. Il est beaucoup moins polluant et l’Europe de l’ouest avant les années 90 ne devait probablement pas importer du gaz venant de la Russie, et le GNL ne devait pas être importé comme il l’est maintenant.
    Donc au doigt mouillé, l’utilisation du gaz est récente et donc pas si développée dans la partie ouest de l’Europe

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