Comme quoi mes propos tombaient juste … Si il y a a deux jours encore je parlais de « réunion de l’hypocrisie » pour dénommer l’assemblée des Six grandes puissances réunies en vue de discuter d’éventuelles sanctions à appliquer contre l’Iran pour freiner son projet de nucléaire civil … la réalité vient appuyer nos dires.
La police helvète a en effet découvert 41 millions de francs suisses sur un compte, qui aurait permis à TOTAL d’obtenir du régime de Téhéran une concession d’exploitation. Une information judiciaire pourrait être ouverte à Paris.
Que Total se « rassure » dans son « malheur » … comme nous l’évoquions déjà depuis quelques semaines, France, Russie, Chine, Espagne, Japon, et même Allemagne et Etats-Unis sont présents ou en négociation
Total se livre à un lobbying intensif auprès de l
merci bcp,
bcp d’élements aussi dans les articles mis en lien .
et sur AREVA également …
Attention , tout de même , la France est un peu pieds et poings liés compte tenu d’Eurodif
Un négociant français mis en examen dans « pétrole contre nourriture »
AFP 04.12.06 | 15h20
Un négociant en pétrole français Jean-Paul Cayre, patron de la société Ibex Energy, a été mis en examen le 21 novembre à Paris dans le dossier « pétrole contre nourriture », a-t-on appris lundi de sources proches du dossier.
Mis en examen pour « corruption de fonctionnaire étranger » par le juge du pôle financier de Paris Philippe Courroye, il a été placé sous contrôle judiciaire. La société de M. Cayre était agréée pour commercer avec l’Irak pendant l’embargo sur le pétrole fixé par les Nations unies (1996-2003). Dans le programme onusien baptisé « pétrole contre nourriture », l’Irak pouvait exporter une quantité limitée de pétrole pour subvenir à ses besoins en denrées de première nécessité. L’argent était versé sur un compte séquestre à l’ONU à New York. C’est l’organisation internationale qui réglait les achats irakiens. Mais le gouvernement irakien a détourné l’embargo, engrangeant ainsi des milliards de dollars. M. Cayre est soupçonné d’avoir versé des « surcharges », ou commissions occultes destinées à obtenir des Irakiens des barils de pétrole supplémentaires en violation de l’embargo.
Par ailleurs, selon une source proche du dossier, c’est par son intermédiaire que Patrick Maugein, homme d’affaires présenté comme proche de Jacques Chirac, aurait été l’un des allocataires français de bons de barils de pétrole obtenus en détournement de l’embargo. M. Maugein n’est pas mis en examen dans ce dossier. En revanche, d’autres allocataires présumés comme Charles Pasqua, ou l’ancien représentant permanent de la France au Conseil de sécurité de l’ONU l’ambassadeur de France Jean-Bernard Mérimée, sont poursuivis. L’instruction avait été ouverte à Paris en 2002 sur des faits d' »abus de biens sociaux » au préjudice du groupe pétrolier Total.
Israël et l’Iran mènent des pourparlers sur les dettes pétrolières (Haaretz)
06/12/2006 18:21 TEL-AVIV, 6 décembre – RIA Novosti. L’Iran ne reconnaît pas le droit d’Israël à l’existence, mais il examine depuis 20 ans avec l’Etat hébreu le problème de plusieurs millions de dollars de dettes pour les livraisons de pétrole à l’époque du régime du Shah, écrit mercredi le quotidien Haaretz.
Selon les renseignements du quotidien, cette question (il s’agit de centaines de millions de dollars) est examinée à la Cour européenne d’arbitrage dans le plus grand secret. Cette procédure d’arbitrage est divisée en trois procès, dont l’un s’est terminé par la reconnaissance des créances par plusieurs compagnies israéliennes de combustibles, écrit le quotidien en se référant à des sources anonymes en Israël et en Suisse.
Israël et l’Iran avaient étroitement coopéré dans divers domaines jusqu’à 1979, lors la Révolution islamique renversa le régime pro-occidental du Shah et les nouvelles autorités avec l’ayatollah Khomeiny à leur tête cessèrent d’entretenir les contacts avec l’Etat hébreu.
Selon Haaretz, avant la révolution, les deux pays avaient fondé la compagnie Trans Asiatic Oil chargée des livraisons de pétrole iranien à Israël, dont une partie est restée non payée.
Des compagnies israéliennes ont également des griefs financiers, bien que sensiblement inférieurs, envers les contractants iraniens, lit-on dans la publication.
L
he! je reve mais j’ai l’impression que quand on parle plus de lui il en profite pour remonter le coquin,bien sur je parle du petrole!!!!!
oui et attaque au Nigéria
site de Total en Iran
http://www.total.ir/lub/lubiran.nsf/VS_SWI/C1256F8E00532C4DC1256EF3004DB954?OpenDocument
manière détournée d’être présent sur Pars Nord, le qatar et l’Iran partageant l’exploitation de ces champs off shore ,
mais cà , il faut le savoir, donc plus discret d’annoncer Qatar qu’Iran ….
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Total renforce sa position dans le secteur du GNL (08/12/2006 :: 12:54)
Total annonce la signature ce jour de l
on joue avec les mots/ les noms
Pars Sud ou Pars South faisant partie de North Field
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South Pars, Qatar North Field, Iran
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The Iranian South Pars field is the northern extension of Qatar’s giant North Field.
It covers an area of 500 square miles and is located 3,000m below the seabed at a water depth of 65m. The Iranian side accounts for 10% of the world’s and 60% of Iran’s total gas reserves. Iran’s portion of the field contains an estimated 436 trillion ft³.
The field is planned to be developed in around 30 phases, each of which will require an initial investment of around $1 billion. The first 12 phases of the development are underway and will have the capacity of 1 billion ft³ and 40,000 barrels of condensate per day.
cf.
http://www.offshore-technology.com/projects/southpars/
The field is planned to be developed in around 30 phases, each of which will require an initial investment of around $1 billion. The first 12 phases of the development are underway and will have the capacity of 1 billion ft³ and 40,000 barrels of condensate per day.
PHASE ONE
The $770 million development is operated by Petropars (NIOC Pension Fund 60%, Industrial Development and Renovation Organisation 40%). Around $300 million of contracts were signed with Samsung and Sadra. The first stage is slated for early 2003 with a total output of 1bcf/d of gas, 40,000b/d of gas condensates.
PHASES TWO AND THREE
The $2 billion development came on stream in 2002. In total, the two identical unmanned platforms, SPD 3 and SPD 4, were placed in 65m of water. Each platform receives gas from ten deviated wells, all located within a radius of 3,000m. The platforms are linked to the onshore treatment system by two 32in diameter, 105km-long multiphase lines. It initially produced 13.5 million ft³/d of gas rising to 60 million ft³/d.
It will eventually be ramped up with the second and third phases of the project to an output of approximately 2bcf/d of natural gas and 80,000b/d of condensates. The field is operated by TotalFinaElf (40%) on behalf of Petronas (30%) and Gazprom (30%).
PHASES FOUR AND FIVE
Phases four and five are expected to be completed by 2006. The field will be operated by ENI (under a buyback contract) with Petropars holding the remaining 40%.
PHASES SIX TO EIGHT
Phases Six to Eight cost a total of $2.65 billion. The field was appraised by a three-well programme in 2001, estimating the field to contain 3 billion ft³/d gas, 120,000b/d condensate and 3,300t/d LPG.
The phase is operated by Statoil on behalf of its Iranian partner Petropars, which is operator for land side of the development. The group will be responsible for constructing three production platforms for installation about 100km from land. It will also lay a 31in pipeline from each of these facilities to a gas treatment plant on the Iranian coast.
Condensate and liquefied petroleum gases (LPG) will be separated from the gas stream at the treatment plant and exported via a new terminal being constructed nearby. The lean gas will be transported through a 500km pipeline to the Agha Jari field for injection as pressure support to help maintain oil production.
Plans call for the first stage of the project to come on stream in late 2004, with the third and final phase due to start production by the summer of 2006.
PHASES NINE TO 12
Phases Nine to 12 were bid for in 2001. The $1.6 billion contract to develop Phases nine and ten was awarded to Lucky Goldstar (LG) Construction of South Korea BP. TotalFinaElf and ENI are seeking to win contracts for Phases 11 and 12. Statoil has a dialogue with the NIOC on producing separate oil-bearing zones in the South Pars field.
Phases 13 to 14 are under bid from Shell and Repsol.