(7 commentaires)

  1. Cela sera t’il suffisant pour apurer les 1500% d’augmentation du Dow Jones et du Standard and Poors depuis 25 ans.
    Ceci correspond à des augmentations de 12% par an soutenues sur 25 ans.
    Quand on sait la croissance réelle des entreprises est de 5% par an soit 800% sur 25 ans
    .
    1500%-800%=700%
    .
    700% de surcôte des actions incontournable et qu’il faudra payer un jour.
    Je vous épargne dans un tel calcul les erreurs monumentales des organismes financiers du genre « subprimes » et autres « junk bonds » qui font sans doute grimper la facture car leur croissance réelle n’est pas de 5% annuelle mais plutot-5%.
    Espérons que les sociétés reviennent rapidemment à l’investissement productif innovant.
    Les constructeurs auto, les distributeurs d’énergie, les transports aériens et ferroviaires, le secteur de la santé et des services et bien d’autres secteurs ont besoin d’importantes rénovations et innovations pour redevenir rentable.

  2. Entre le point de plus bas de 1974 et le niveau d’aujourd’hui, je trouve une hausse de 1771%, soit un tout petit peu moins de 9% par an.
    On dit que la croissance moyenne est de 7% par an pour le marche action.
    Etant donne qu’on regarde un indice (qui a tendance a etre modifier (en ajoutant les meilleures/plus grosses entreprise et en supprimant les plus faible), je dirai que 9% par an n’a rien de scandaleux…
    Je ne pense pas non plus que la fin de la crise est pour aujourd’hui, cependant, faites attention en announcant des chiffres farfelus, certaines personnes pourraient vous croire!

  3. Les banques américaines ont accordé des crédits immobiliers à des emprunteurs de moins en moins solvables. Ces prêts ont été refinancés par l

  4. en 1974 le Dow Jones est à 604
    en 2007 le Dow est à 14000
    soit 2300% d’augmentation en 33 ans
    soit 10.5% d’augmentation
    soit 500% de hausse non justifiée par la réalité économique des entreprise
    .
    de toute façon le réelle probléme est la totale discordance entre la réalité de la croisance des entreprises depuis une 20aine d’année
    .
    Et cette cassure est apparu dans le courant des années 80.
    La courbe du Dow Jones devient irréaliste à partir de 1985.
    Et pour cause les fonds de pension et l’effet levier ont crée une spéculation non productive.
    Le summum de ces erreurs de placement c’est la titrisation des subprimes sur les marchés financier
    .
    @Birof: les couleuvres ne peuvent plus être avalées par les actionnaires.

  5. L’article de Stiglitz dans The Guardian d’hier explique d’ailleurs cette escroquerie financiére depuis 20 ans à l’échelle de Wall Street
    @Birof: Stiglitz est sans doute un farfelu également!

  6. Guéant sur la crise: « Personne ne sait véritablement ce qui va se passer »
    « Personne ne sait véritablement ce qui va se passer », a déclaré dimanche à la presse le secrétaire général de l’Elysée Claude Guéant à propos de la crise financière partie des Etats-Unis.
    « Personne n’a vu venir l’intensité, l’ampleur de cette crise », a-t-il ajouté lors de l’émission « Dimanche soir politique » (Itélé/France Inter/Le Monde).
    « C’est très récemment en France que nous avons décroché, a-t-il relevé, le premier trimestre de cette année a encore été un trimestre brillant sur le plan de la production et sur le plan de l’emploi ».
    Le secrétaire général de l’Elysée a rappelé que le président Nicolas Sarkozy s’est engagé à ce que l’Etat vienne en aide aux institutions financières et bancaires françaises, si elles étaient à leur tour menacées.
    « Il est clair que si une banque française était en difficulté les pouvoirs publics feraient le nécessaire pour que les personnes qui déposent leurs fonds dans ces banques n’aient aucun souci à se faire », a-t-il déclaré.
    « J’irai même plus loin, a-t-il ajouté. Les pouvoirs publics français feraient en sorte que la banque française dans son ensemble garde sa capacité de service au profit de notre économie ».
    Il a rappelé que les banques « font des crédits aux particuliers » mais aussi « à la machine économique, c’est à dire aux entreprises ».
    « Et il faut absolument que les pouvoirs publics clairement prennent leurs responsabilités pour que la machine continue à être alimentée financièrement », a-t-il poursuivi.
    http://www.boursorama.com/international/detail_actu_intern.phtml?&news=5913416

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