Limitation de vitesse pour le cours du pétrole ? Après être récemment passé sous la barre des 90 dollars, il a désormais franchi

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Limitation de vitesse pour le cours du pétrole ? Après être récemment passé sous la barre des 90 dollars, il a désormais franchi
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Aprés vous avoir présenté mes plus respectueuses et cordiales salutations, »éminences grises » de notre merveilleuse sphére économicopolitique,
peut-on me dire, qui depuis le mois de juillet a pu voir une « once » de baisse de prix pour le « gogo de base » à la plus inconnue des pompes perdues dans la campagne en France et en Navarre?
Y-a-t-il une période, disons « tampon » pour qu’un jour, nous puission avoir une répercution » de déperdition positive »(sic) au plus profond » voire tréfonds »de nos plus maigres escarcelles françaises, oups je voulais dire européennes…
Si je viens de poser une question « sotte voire saugrenu » ne m’en veuillez point, je ne suis qu’un simple errant dans un monde de cohérence et de totale logique où il tellement facile de perdre la raison et l’entendement.
Un lecteur assidu de votre travail à toutes et tous…
Ah esope ! quel plaisir de vous lire …
rien qu’à la « verve » j’ai reconnu votre esprit
N’hesitez pas à venir égayer ce blog de vos commentaires forts judicieux
le cours a baisse de presque 50% depuis juillet mais pas le prix de l’essence … qui en profite, that’s the question
tous ceux compris dans la chaine à mon avis SAUF …. le consommateur …
C’est amusant, parce qu’à la station du coin, j’ai observé une baisse de plus de 15 cents sur le prix de mon SP95, de 1.43 à 1.27 (je vis en province), ce qui fait une baisse de 10%.
La vraie question est quelle part représente le baril de brut dans le prix que nous payons à la pompe?
De manière très grossière (voir le lien en fin de commentaire), le prix du baril représente environ 25% du prix à la pompe, les taxes 50% et les 25% restant étant attribuables à la distribution et au raffinage.
Donc, une baisse de 50% du prix du baril (de $150 à $75) doit se répercuter à hauteur de 25% * 50% = 12.5%. On n’en est pas loin…
C’est un phénomène bien connu des économistes, mais il est toujours frappant de voir à quels points les consommateurs sont prompts à remarquer les hausses de prix et ont tendance à ignorer les baisses réelles…
On est donc revenu au niveau prévu par la tendance observée depuis le début du siècle.
Autrement dit, la bulle spéculative est complètement dégonflée (comme celle du cuivre).
Reste à voir si le cours du baril va overshooter à la baisse. Je verrais bien un passage temporaire par un creux vers 55$ dans les semaines à venir. Puis des oscillations apparemment incohérentes qui se stabiliseront vers 70$ lorsque le calme sera revenu sur les marchés ( ca nous amène vers 2010).
Hum, disons plutot un baril à terme non pas vers 70$, mais vers 50
Ca continue …
Le pétrole chute sous 70 dollars à New York, au plus bas depuis août 2007
NEW YORK – Les prix du baril de pétrole ont de nouveau chuté jeudi à New York, tombant sous les 70 dollars pour la première fois depuis août 2007, après l’annonce d’une forte hausse des stocks pétroliers aux Etats-Unis la semaine dernière.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » pour livraison en novembre a fini à 69,85 dollars, en baisse de 4,69 dollars par rapport à la clôture de mercredi.
A Londres, le baril de Brent à échéance identique a perdu 4,48 dollars, à 66,32 dollars. Il est tombé pendant la séance à 68,57 dollars à New York et à 65,45 dollars à Londres.
Après avoir perdu 4 dollars mercredi, les cours ont replongé après la publication du rapport hebdomadaire du département américain à l’Energie (DoE), qui ont révélé une progression spectaculaire des stocks pétroliers la semaine dernière.
Les stocks de brut se sont étoffés de 5,6 millions de barils (mb) la semaine dernière et les stocks d’essence ont bondi de 7 mb, des chiffres dépassant largement les attentes des analystes.
Seules les réserves de produits distillés (gazole et fioul de chauffage) ont reculé, de 500.000 barils.
Le recul de la demande s’est par ailleurs confirmé: sur les quatre dernières semaines, les Américains ont consommé en moyenne 18,6 millions de barils par jour de produits pétroliers, en baisse de 8,9% comparé à un an plus tôt.
1°/ Réponse à esope : A la pompe de mon coin, le prix de vente est monté jusqu