Le cours du café a atteint un sommet inégalé depuis près de quatre mois cette semaine à New York, les spéculateurs étant fortement attirés par cette matière première.
Les mois de juillet et août ont en effet été affectés par une importante sécheresse dans les régions productrices brésiliennes, si la récolte actuelle ne devrait certes pas être impactée, il n’en va pas de même pour la prochaine en cas de persistance des conditions météorologiques actuelles.
C’est dans un tel contexte qu’à New-York, jeudi, le prix de l’arabica est grimpé à son plus haut niveau depuis début mai, à 290,65 cents la livre.
Parallèlement à Londres sur le Liffe de Londres, la tonne de robusta pour livraison en novembre fléchissait, s’échangeant à 2274 dollars vendredi en début d’après-midi contre 2395 dollars la semaine précédente à la même période.
Sur le NYBoT-ICE à New York, la livre d’arabica pour livraison en décembre cotait quant à lui 288 cents contre 279 cents la semaine précédente.
Sources : AFP, ats