Malgré la crise, les Français emprunteraient toujours mais à des niveaux bien moindres … à moins plutôt que la crise ne les oblige à emprunter pour faire face à leurs besoins de première nécessité.
En tout état de causse, les micro-crédits ont progressé de 56 % en volume durant le 1er semestre 2010.
Selon des informations communiquées mercredi par la Fédération bancaire française (FBF), les banques ont en effet accordé 3.926 micro-crédits personnels accompagnés au premier semestre en France, en nette hausse par rapport à la même période de 2009.
Pour rappel, les microcrédits sont des crédits personnalisés de faible montant accordés dans des cas très ciblés, (quelques milliers d’euros au plus), destiné à des particuliers en situation de précarité, ayant des revenus modestes et exclus du crédit bancaire traditionnel.
Les personnes ayant droit à la souscription de ce type d’emprunt sont celles qui sont refusées dans le réseau de crédit bancaire classique : salariés précaires, chômeurs, allocataires du RSA (ancien RMI). Le micro-crédit est avant tout destiné à favoriser un projet d’insertion ou de retour à l’emploi.
En ce qui concerne la création d’entreprise en France, l’Adie (Association pour le Droit à l’Initiative Economique) s’occupe d’accorder des microcrédits quelque soit la forme juridique de l’entreprise. Il s’agit la plupart du temps d’un accompagnement pour que le créateur d’entreprise puisse regagner à terme une solvabilité auprès des banques. Le microcrédit personnel a été établi quant à lui en faveur des particuliers dans le cadre de situations bien définies, et étudiées au cas par cas.
Parmi ces situations figurent notamment le maintien d’un logement, l’obtention d’un permis de conduire, des frais médicaux dentaires, l’accès à la formation ou à l’éducation…
Le microcrédit social (ou personnel) a été institué quant à lui par la Loi de programmation pour la cohésion sociale du 18 janvier 2005, dans le cadre du volet emploi du Plan de cohésion sociale (dit Plan Borloo).
A noter que les microcrédits ne sont pas délivrés pour des rachats de crédits, quel que soit le demandeur. Ils ne peuvent pas non plus vraiment être considérés comme étant une aide sociale urgente, L’emprunteur fait généralement l’objet d’un suivi par un accompagnateur social, bénévole ou associatif.
Désormais, plusieurs associations s’occupent, dans toute la France, de faire l’intermédiaire entre le demandeur de crédit et la banque. Parmi elles : la Croix Rouge, les Restos du C
je pense que le micro-crédit peut-etre une bonne chose notamment pour les personnes souhaitant créer leur entreprise.
Mais n’est-ce pas trop impersonnel d’etre suivi par un accompagnateur…?Est-ce vraiment obligatoire dans tous les cas…?je me pose la(les) question(s) !!
Bonjour,
Si j’ai bien compris seul les personnes en situation précaire en droit au micro-crédit.
Pour quelle raison nous les salariés moyen n’ayant pas droit à ce micro-crédit.
C’est toujours pareil, la classe moyenne n’a droit a rien.
Fabrice
Pas faux ..;. et cela risque de s’accentuer
les precaires et Rmistes peuvent avoir des aides, les autres ont des boucliers ou assez de ressources pour ne pas être touchés,
reste « ceux du milieu » qui gagnent « assez » pour ne pas être autorisés à se plaindre mais sont ponctionnés un peu plus chaque jour …
Bon courage !
L’augmentation sensible du nombre de micro crédits accordés n’est pas un signe alarmant d’une france qui s’appauvrit ? Dans un autre sens , c’est une source d’économie réelle car ces micro credits financent des projets concrets qui seront suivis et dont les risques seront calculés . On ne peut pas laisser 2 à 3 millions de gens dans la précarité .
Le micro crédit au service de l’autoentrepreneur.
Effectivement le micro-crédit est un plus pour certaines personnes qui n
Le micro crédit au service de l’autoentrepreneur.
Effectivement le micro-crédit est un plus pour certaines personnes qui n
Le micro crédit au service de l’autoentrepreneur.
Effectivement le micro-crédit est un plus pour certaines personnes qui n